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altitude
En septembre 2024, alors que l’ouragan Helene frappait violemment la Floride, la station spatiale internationale (ISS) a révélé des phénomènes fascinants dans la mésosphère, une région peu étudiée de l’atmosphère terrestre. Ces observations inédites ouvrent une nouvelle fenêtre sur les interactions complexes entre les conditions météorologiques extrêmes et les couches supérieures de l’atmosphère.
L'ozone (O3) reste l'un des seuls polluants de l'air dont la concentration continue de croître. Et plus les émissions de gaz à effet de serre et la température planétaire en feront de même, plus cette variété instable de l'oxygène, à double tranchant, sera présente dans l'atmosphère. Cette logique, admise depuis longtemps, a été quantifiée pour l'une des premières fois dans une étude (1) publiée, le 2 juin, dans la revue Earth's Future. Quatre chercheurs américains et canadiens ont modélisé l'augmentation de l'O3 aux basses altitudes à l'horizon 2050 en fonction des projections du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (Giec).
En montagne, les températures diminuent avec l’altitude. Le réchauffement climatique entraine la migration de la flore et de la faune en altitude afin d’y trouver un climat plus clément. Le phénomène est connu et documenté, mais une étude récente, publiée dans la revue Nature, apporte un nouvel éclairage à ces deux phénomènes. Leurs travaux mettent en lumière la vulnérabilité des espèces des sommets à la rapidité des changements de température. En effet, selon les chercheurs, la vitesse de migration des espèces est plus lente. Le CNRS, dont un scientifique a pris part à ces travaux conduits par une équipe taiwanaise, écrit : « plus la vitesse de migration verticale des isothermes est élevée, supérieure à 5 m/an, et plus les chances sont faibles pour les espèces d’ajuster leurs répartitions en altitude, suggérant un retard de migration. » La migration vers le haut de certains isothermes de montagne peut atteindre les 8 mètres par an. Dans l’hémisphère nord, l’isotherme augmente de 6,29 mètres par an au niveau
Comme tous les deux ans, une équipe de géomètres-experts a gravi le mont Blanc pour le mesurer au moyen d’outils de haute précision et rendra ce jeudi 5 octobre ses conclusions.
En raison de son influence très importante sur le développement de la végétation, la limite des chutes de neige et le cycle de l’eau, l’isotherme du zéro degré joue un rôle important dans la vie quotidienne de la région alpine.
En moyenne, la limite de la forêt s’est élevée de 1,2 mètre par an entre 2000 et 2010, selon une étude.
Malgré de régulières expéditions de nettoyage, l’Everest croule toujours sous les déchets. Des sherpas tirent la sonnette d'alarme mais...
Les écosystèmes de montagne ne font pas exception, ici comme ailleurs la biodiversité recule et nombre d'espèces sont en voie d’extinction.
Des travaux confirment la présence d’un gonflement rapide de la basse atmosphère depuis le milieu des années 1980 en lien avec le changement climatique provoqué par nos émissions de gaz à effet de serre. Les résultats sont publiés dans la revue Science ce 5 novembre.
Plus on prend de la hauteur, plus les effets du dérèglement climatique se font sentir durement. L’altitude agit comme un révélateur et un accélérateur.
Une étude française, publiée mardi, révèle la présence de microplastiques, issus de la pollution humaine, dans l’air dit “pur” en altitude, transportés entre les continents par le vent. Les polluants proviennent notamment du nord-ouest du continent africain, en passant au-dessus de la Méditerranée, d'Amérique du Nord ou de l'océan Atlantique.
Cet épisode pluvieux intervient alors que des températures inhabituelles de plus de 20 °C ont été enregistrées dans le nord du Groenland pendant l’été.