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zoönose
La Californie a déclaré l'état d'urgence dans la crise de la grippe aviaire. Dans le même temps, un premier cas grave de contamination humaine au virus H5N1 a été détecté en Louisiane. L'analyse de l'épidémiologiste Marius Gilbert et du virologue Steven Van Gucht.
Un patient a été hospitalisé en Louisiane en raison d'une infection par le virus de la grippe aviaire, le premier cas grave aux États-Unis, ont annoncé mercredi les autorités sanitaires américaines.
Un adolescent au Canada et un enfant en Californie sont tombés malades sans que l’on sache comment, après une première personne dans le Missouri. Les épidémiologistes redoutent une circulation à bas bruit du virus qui est à l’origine d’une épizootie parmi les vaches laitières aux Etats-Unis.
Ce nouveau cas est le deuxième détecté en Amérique du Nord et suscite de vives inquiétudes.
Au Canada, les responsables de la santé sont actuellement en état d’alerte. L’Agence de la santé publique Canadienne a confirmé le tout premier cas humain de grippe aviaire H5N1 au pays. Le sujet concerné est un adolescent qui a été admis aux urgences en Colombie-Britannique. Selon les chercheurs, la souche qui a infecté l’adolescent est différente de celle impliquée dans l’infection chez les vaches laitières.
Chercheurs et responsables internationaux s’inquiètent du manque de communication de la part des autorités sanitaires américaines à la suite d’un premier cas humain sans aucun contact avéré avec un animal infecté dans l’Etat du Missouri.
Virus H5N1 : le patient "mystère" du Missouri ouvre-t-il la porte à une transmission entre humains ?
(21/09) - France24,Un homme du Missouri, contaminé par le virus H5N1, est devenu le premier patient pour lequel il n’a pour l’instant pas été possible de comprendre la voie de transmission. De quoi réveiller le spectre d’une contagion de la grippe aviaire entre les humains. Mais les experts interrogés par France 24 estiment qu’il est encore tôt pour s'inquiéter d'une pandémie.
Le clade 1b est à l’origine de l’épidémie de mpox actuelle, considérée depuis le 14 août comme une urgence mondiale de santé publique par l’OMS. Voici ce qu’il faut savoir à son sujet.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché mercredi son plus haut degré d'alerte au niveau international face à la résurgence des cas de mpox en Afrique. Identifiée en 1958, cette maladie n’a rien de nouveau. Pourquoi suscite-t-elle de nouvelles inquiétudes ? France 24 fait le point.
L’OMS a déclenché mercredi son niveau d’alerte le plus élevé. Pékin va renforcer ses contrôles vis-à-vis des personnes et des biens susceptibles d’avoir été en contact avec la variole du singe.
L’OMS s’inquiète de la flambée d’un variant plus contagieux et plus dangereux du virus de la mpox, auparavant appelée “variole du singe”. Les cas se multiplient en Afrique, dans des pays qui n’avaient jamais connu la maladie. Un premier cas a été annoncé en Suède, un autre au Pakistan.
Industriële veeteelt is geen wondermiddel tegen de opkomst van nieuwe ziekten - integendeel. In de realiteit kan het net hun opmars versnellen, stelt Brits onderzoek.
usqu’au troisième quart du XXe siècle, un virus de la grippe aviaire qui se serait propagé à un poulet ou à un porc domestique se serait rapidement retrouvé dans une impasse. Presque tous les poulets étaient élevés dans des fermes familiales, dans des troupeaux de quelques dizaines d’unités: 400 formait déjà un très grand élevage. Les porcs étaient élevés en nombre beaucoup plus restreint. Par conséquent, même si le virus était très contagieux, il aurait rapidement manqué de nouveaux hôtes à infecter. Les choses ont changé avec ce que l’on a appelé «l’altération la plus profonde de la relation entre l’animal et l’homme depuis 10 000 ans» [6], à savoir l’expansion rapide d’exploitations d’alimentation animale concentrée (CAFO), plus précisément appelées «fermes industrielles».
Pour les autorités sanitaires, l’évaluation du risque pour la population américaine reste toutefois «faible».
Une revue de près de 1 000 études, parue ce mercredi 8 mai, montre que les activités humaines augmentent le risque infectieux touchant les plantes, les animaux et les individus.
L’Organisation mondiale de la santé a fait part ce jeudi 18 avril de sa crainte face à la propagation croissante de la souche H5N1, au «taux de mortalité extraordinairement élevé», à de nouvelles espèces, y compris les humains.
Vendredi dernier, les CDC ont émis une alerte concernant le premier cas aux États-Unis de transmission à l'Homme du virus H5N1 par un mammifère (bovin).
Les élevages sont sous haute surveillance pour freiner le développement de bactéries résistantes aux antibiotiques. Mais les organisations internationales se heurtent à l’explosion du modèle d’élevage industriel.
Dans l’est de la RDC, à la lisière d’un parc naturel dévasté par le braconnage et la déforestation, médecins, vétérinaires et environnementalistes s’allient pour prévenir le risque de voir émerger un nouveau pathogène de la faune sauvage, sur le mode du Covid-19. Médecins du Monde et Vétérinaires sans frontières, deux ONGs belges et leurs partenaires congolais, misent sur la formule “Une seule santé” pour éviter l’émergence d’une telle pandémie. Reportage.
Les pangolins indonésiens sont très prisés en Chine, alerte la version indonésienne de “The Conversation”. Depuis la pandémie de Covid-19, Pékin a pourtant interdit l’utilisation des écailles et de la viande de ce petit mammifère pour concocter des remèdes de médecine traditionnelle.