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Après avoir passé au crible les programmes d’information des dix-huit principales chaînes de télévision et de radio au premier trimestre, des associations ont recensé 128 cas de désinformation sur le climat.
Pour la première fois, une intelligence artificielle a rédigé une étude qui nie le rôle des activités humaines dans le réchauffement climatique, suscitant l'enthousiasme des climatosceptiques sur les réseaux sociaux. Grok, c’est son nom, explique avoir été influencée par ses co-auteurs… eux-mêmes climatodénialistes.
Intitulé "Réévaluation critique de l'hypothèse du réchauffement planétaire lié aux émissions de CO2", l'article rejette notamment les conclusions et projections des rapports des experts de l'ONU sur le climat (Giec), se fondant notamment sur des études largement contestées depuis des années dans le domaine scientifique.
Dans cette nouvelle ère politique où la confusion et l’extrême droite marquent des points, le climat n’est plus seulement une affaire de polémiques : il devient un objet de bataille culturelle. Aux États-Unis, Donald Trump a fait de l’écologie une ennemie, une menace pour l’économie, le bouc émissaire parfait pour justifier sa politique de dérégulation totale. Mais en Europe aussi, l’écologie est de plus en plus décrite comme uniquement « idéologique », et « punitive» ; la droite et l’extrême droite du Parlement européen s’échinent à démanteler les politiques pour le climat ; et les scientifiques spécialistes du climat ou de la biodiversité sont attaqués pour leurs études. Comment et par qui ce grand déni est-il organisé ? Comment se protéger contre cette grande désinformation sur le climat et la biodiversité ?
Le dernier baromètre de l’Ademe montre l’existence de plusieurs formes de climatoscepticisme en France, qui doivent être prises en compte dans l’action publique.
Entre juin et décembre 2024, seuls 3,4 % des contenus télévisuels étaient consacrés à l’environnement. Une loi pourrait-elle y changer quelque chose et empêcher aussi la désinformation climatique ?
Les mesures de Trump menacent de faire disparaître des données climatiques vitales pour la recherche
(06/02) - Valisoa RasolofoL’administration Trump a commencé à supprimer les références à la crise climatique des sites web de plusieurs ministères et agences fédérales américaines, menaçant l’accès à des données scientifiques clés et, par conséquent, entravant la lutte contre le changement climatique.
Désarroi du pétrole. Climatosceptique, misogyne et raciste, Donald Trump fait son retour à la Maison-Blanche, ce lundi 20 janvier. Pour son nouveau mandat, le 47ème président des États-Unis a promis de développer les énergies fossiles et de se débarrasser des réglementations environnementales.
Voici le Grand Debunk du @LeRaptor : • LE RAPTOR vs LA RÉALITÉ CLIMATIQUE #R... réalisé par Nayosch. Comme quoi Alberto Brandolini avait parfaitement raison, il faut peu de temps pour dire une bêtise et une masse de temps et de ressources pour rétablir la réalité. Nous saluons @lereveilleur avec qui nous sortons cette vidéo en même temps que son décryptage et qui permettra je l'espère au plus grand nombre d'avoir les idées les plus clair possible sur cette thématique complexe.
Claude Allègre, géochimiste de renom et ancien ministre, est mort le 4 janvier à 87 ans. Ses prises de position climatosceptiques ont largement influencé le débat en France, freinant l’action contre le réchauffement climatique.
Une guerre culturelle a commencé. Continue, ouverte ou cachée, explicite ou détournée, elle concerne le destin de l’humanité tout entière. Elle concerne les savoirs autour de l’énergie, et plus particulièrement les contre-vérités diffusées par les « pétropouvoirs » internationaux.En témoigne l’insolent succès, en librairie, des ouvrages climatosceptiques qui nourrissent explicitement le doute(1).
Aujourd’hui, l’Atlas Network affirme ne plus travailler sur les questions environnementales. Cependant, quand on examine les activités des think tanks qui sont ou ont été partenaires du réseau, ils restent nombreux à s’opposer aux politiques de réduction des émissions de CO2. Leurs messages et leurs tactiques révèlent une convergence entre une vision du monde ultra-libérale, les intérêts de l’industrie fossile… et les narratifs portés par les groupes politiques les plus réactionnaires, de Trump au RN en France.
Déboucher les faux sceptiques. Le rédacteur en chef de Vert revient sur les dernières «zinzineries» des climatosceptiques et en profite pour évoquer Chaleurs actuelles, un grand projet pour apprendre à décrypter les discours les plus dangereux pour le climat et les humains. Cliquez ici pour (ré)écouter cette chronique diffusée sur France inter le 20 novembre 2024.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dresse depuis 1988 un état des lieux de la connaissance scientifique sur le changement climatique. Des faits régulièrement mis en cause par Donald Trump. L’élection de Donald Trump à la tête des États-Unis aura-t-elle un impact sur les rapports du Groupes d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ? Photo AFP
Déni-oui-oui. L’appellation «climatosceptiques» est un grand fourre-tout qui regroupe des familles bien différentes, dont l’organisation Parlons climat vient de brosser le portrait comme jamais auparavant. Sont-ils forcément d’extrême droite ? Plutôt masculins ? Quelles sont leurs préoccupations et comment leur parler ? Tour d’horizon d’un sujet brûlant.
Avec Trump, le climatoscepticisme de nouveau au pouvoir
Les français sont de plus en plus climatosceptiques, révèle le 25e baromètre des représentations sociales du changement climatique, publié par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) en octobre 2024. Selon cette étude basée sur un échantillon de 1 505 personnes, près de 30 % des personnes interrogées considèrent que les désordres climatiques et leurs conséquences, à l’image des canicules, des tempêtes, des sécheresses, des inondations plus fréquentes et sévères, la (…)
La vingt-neuvième conférence de l'ONU pour le climat s'ouvre lundi à Bakou en Azerbaïdjan. Principal objectif : trouver des centaines de milliards de dollars pour aider les pays les plus vulnérables à s'adapter au changement climatique. Des débats qui s'annoncent difficiles, d'autant plus que de nombreux chefs d'États ne seront pas présents. Un sommet qui débute six jours après l'élection du climato-sceptique Donald Trump à la présidence des États-Unis, deuxième pays le plus émetteur de CO2.
L'occasion de remettre en cause l'image stéréotypée que nous en avons et de réinterroger les stratégies d'info et de communication sur le changement climatique et la transition écologique.
Nos émissions de gaz à effet de serre ne faiblissent pas, au contraire. Les températures planétaires augmentent inexorablement. On nous annonce que la France doit se préparer à + 4° d'ici la fin du siècle : notre organisation sociale, notre modèle économique et nos modes de vie vont être bouleversés. Nous « adapter » va devenir une nécessité. Mais à quoi, comment, et jusqu'où ?
Le doute sur l’origine ou l’existence du réchauffement climatique ne découle pas d’un manque de connaissances ou d’une défiance des scientifiques, mais d’un rejet de ce qui menace certains modes de vie et valeurs, selon une enquête de l’ONG Parlons climat.
Dans cette deuxième vidéo avec Serge Zaka, nous sortons des sentiers battus ! Aujourd’hui, on se glisse dans la peau de ceux qu’on voit de plus en plus sur les réseaux : les climato-sceptiques, climato-rassuristes, et climato-négationnistes. Pour une fois, je vais jouer le rôle de celui qui remet en question le changement climatique avec les arguments qu’on entend souvent dans les débats publics et sur les réseaux sociaux. Face à moi, Serge Zaka répond sans détour, déconstruit et met en lumière les réalités climatiques pour une discussion sans filtre. Ce format inédit saura, je l’espère, capter votre attention et vous donner des outils pour comprendre et répondre aux arguments de ceux qui nient l’urgence climatique. À regarder absolument !
Comme le souligne un article du Temps publié ce lundi 21 octobre, depuis 2020, de plus en plus de villes américaines se présentent comme des « paradis » climatiques, soi-disant « épargnés » par les conséquences du dérèglement. Au grand dam de la plupart des spécialistes du sujet, voire des habitants concernés eux-mêmes.
Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné estime qu'il faut "trouver un chemin raisonnable de transition" énergétique sans invoquer "la fin du monde" face au réchauffement climatique, dénonçant un "retour à une forme d'obscurantisme", jeudi dans une interview au magazine L'Express."La science nous dit que l'activité humaine est largement à la source du changement climatique. Je le tiens pour acquis", déclare d'abord le patron, interrogé sur le changement climatique et ses bases scientifiques.
"Avant je suivais Bon Pote pour le climat, mais vous êtes devenu trop politique". Neutralité journalistique, journaliste militant, voilà
Eruption volcanique, astéroïde, ou changement climatique, les scientifiques discutent encore de comment s’est déroulé l’extinction des dinosaures, mais celle-ci ne fait plus aucun doute… Pourtant Ismaïl Ouslimani, dit @LeRaptor a contrairement aux raptors d’antan des gros bras et une petite bouche ce qui ne l’empêche pas de dénoncer et vociférer sur ce qu'il appelle les arnaques de wokistes, d’ultra féministes et des hommes sojas sur les réseaux. Après une hibernation youtubesque de 2 ans, il revient déter comme Zidane en 2005 et nous sort une vidéo qu’il a qualifié de super importante, cruciale, et qu'il dit repousser depuis plus de 4 ans parce qu'il a peur "du degré de fanatisme et de terrorisme intellectuel chez la secte du climat."
Les pires dingueries de la vidéo du «Raptor» sur le climat décryptées avec des scientifiques du Giec
(12/09) - Anne-Claire Poirier,Dans une vidéo de 1h20, déjà vue des centaines de milliers de fois, l’influenceur d’extrême droite parvient à énoncer des dizaines de fausses informations censées démonter «l’escroquerie climatiste». Décryptage de ses principaux mensonges avec les premiers intéressés : les scientifiques du climat.
Dans une vidéo, le youtubeur d’extrême droite Le Raptor y réfute le réchauffement climatique, qualifié d’« arnaque mondiale ». Un buzz inquiétant, qui va au-delà d'internet, selon le journaliste Maxime Macé, spécialiste de la fachosphère.
Plus de 30 mensonges à réfuter… nous revenons dans cette vidéo sur les principaux, en espérant que certaines personnes changeront d’avis.
L’édition du mois de mars du magazine "Popular Mechanics” rapportait que le climat de l'année précédente était bizarre mais surtout... chaud. Les villes cuisaient sous le soleil brûlant, des cultures subissaient des dommages et les agriculteurs perdaient un million de dollars par jour… Les bons vieux hivers d'antan, avec des chutes de neige de 4 mètres et demi de haut et durant six mois, étaient révolue. L'auteur expliquait à l'audience que les émissions humaines de dioxyde de carbone étaient la cause du réchauffement planétaire. Cela vous semble familier ? En effet, c’est le genre de reportage que nous entendons tout le temps maintenant… Mais cette édition n'a pas été publiée en 2024. Elle l'a été en 1912…
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