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France pesticides agriculture
Depuis ce jeudi 16 octobre, un site interactif mis en ligne par les ONG Générations futures et Data for good permet de visualiser les principaux polluants chimiques présents dans l’eau courante en France.
De 2021 à 2024, les scientifiques de l’Ifremer et du laboratoire EPOC, rattaché entre autres au CNRS, ont recherché dans l’eau de mer et dans des mollusques la présence d’une centaine de contaminants.
Il existe une façon de convaincre pros et antis-loi Duplomb : interdire les importations de produits traités avec des pesticides interdits en France – notamment l'acétamipride. Une mesure juridiquement possible, mais complexe à mettre en œuvre.
Le troisième Appel de La Rochelle pour la sortie des pesticides de synthèse a eu lieu ce week-end. Dans la foulée de la mobilisation anti-loi Duplomb, les participant·es ont débattu d’un projet de convention citoyenne sur la transition agricole. On vous explique.
L’une des conclusions de l’étude sur l’exposition des riverains aux pesticides publiée par l’Anses et Santé publique France était de créer une base de données permettant de savoir quel champ a été traité avec quel produit à quel moment. Une requête de longue date des scientifiques et ONG, qui pourraient ainsi mener des études épidémiologiques.
Jusqu’à 140 tonnes de substances actives, dont certaines sont interdites, sont dissoutes dans les nuages au-dessus du territoire métropolitain, selon une étude franco-italienne. Les écosystèmes éloignés des activités humaines sont exposés à ces molécules par les précipitations.
Les conclusions de l’étude, rendues publiques ce lundi 15 septembre, frustre ceux qui attendent toujours des données précises sur l’impact sanitaire des épandages dans un département façonné par les vignes.
Une étude d’ampleur publiée par l’Anses et Santé publique France, le 15 septembre, est sans appel : les personnes vivant près des vignes sont davantage exposées aux pesticides.
«Alors que début septembre 2025 s’ouvre une séquence d’importantes mobilisations en France, et que la justice vient de rendre une décision historique ordonnant à l’État de revoir ses procédures d’autorisation des pesticides, les attentes des millions de citoyen·nes qui ont signé la pétition contre la loi Duplomb ne peuvent être balayées d’un revers de main», estiment les signataires de cette tribune publiée par Vert.
Au sud-ouest de Nantes, une assistante maternelle à la retraite bataille pour que l’Assurance maladie reconnaisse le lien entre son cancer et les pesticides épandus par ses voisins maraîchers.
Par un arrêt du 3 septembre 2025, la cour administrative d’appel de Paris juge que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) a commis une faute en ne procédant pas à l’évaluation des produits phytopharmaceutiques au vu du dernier état des connaissances scientifiques. En conséquence, la Cour ordonne à l’Etat de mettre en œuvre une évaluation conforme aux exigences requises et de procéder, dans un délai de vingt-quatre mois, à un réexamen des autorisations de mise sur le marché déjà délivrées.
La justice a ordonné à l’État de revoir ses procédures d’autorisation de mise sur le marché des pesticides. Cette décision « historique » reconnaît le « préjudice écologique » de la contamination des milieux par ces substances.
Dans l’affaire «Justice pour le vivant», la cour administrative d’appel de Paris a souligné ce mercredi 3 septembre la nécessaire prise en compte systématique de la sauvegarde de la biodiversité et de la protection de la santé au moment d’autoriser des produits phytosanitaires.
Dans une décision jugée « historique » par les défenseurs de la nature, la cour administrative d’appel de Paris juge que l’usage de ces produits entraîne un « préjudice écologique » envers l’environnement et la santé. Les autorisations de mise sur le marché doivent être réévaluées.
Ce mercredi, la cour administrative d’appel de Paris a condamné l’État français pour son insuffisante protection de l’environnement et de la santé humaine. Elle demande notamment la révision des procédures d'autorisation des pesticides pour mieux tenir compte de leurs impacts sur la biodiversité.
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