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Dans une tribune au « Monde », la chercheuse Marine Ragnet pose la question de la gouvernance de l’intelligence artificielle et de ses usages. Ce sujet, souligne-t-elle, n’est « pas seulement une question d’éthique, c’est aussi une question de pouvoir ».
Pays le plus peuplé du monde et troisième plus gros émetteur de gaz à effet de serre de la planète, l'Inde reste profondément dépendante au charbon pour satisfaire sa demande en énergie. Et pourtant, elle est aussi un poids lourd de la diplomatie du climat. Voici ce que l'on sait des engagements de New Delhi en matière de climat, avant l'ouverture lundi au Brésil de la COP30, la conférence des Nations unies sur le climat. - Emissions - L'Inde a émis 4,4 milliards de tonnes équivalent CO2 en 2024 - une unité de mesure des gaz à effet de serre favorisant le changement climatique - selon l'ONU, dépassée seulement par la Chine et les Etats-Unis. Mais avec une population de 1,4 milliard d'habitants, ses émissions par tête sont loin de figurer en haut du tableau.
Le paradoxe est frappant : alors que le pouvoir d’achat culmine en tête des préoccupations de nos contemporains, nous consommons beaucoup trop au regard de nos besoins réels et des limites planétaires. Samuel Sauvage décrypte les rouages de cette addiction généralisée et de son corollaire, la production de masse. Une spirale implacable qu’il analyse à travers les mécanismes du « Bémol » : Besoins artificiels, Extension des marchés, Marchandisation de la société, Obsolescence programmée et Low cost. Pour sortir de cette spirale, la voie de l’action individuelle – la fameuse « consommation responsable » – doit être repensée et surtout intégrée à une démarche collective et systémique pour mettre un terme à la surconsommation. Face au Bémol, l’auteur appelle à un « Dièse » résolument politique : Désarmer la publicité, Impulser un nouvel imaginaire, Encadrer la production, Soutenir les alternatives, Embarquer les acteurs.
Cette étude s’inscrit dans la continuité des travaux d’I4CE engagés depuis plusieurs années sur la qualification et la quantification des besoins et des moyens pour l’adaptation en France. Elle propose une vision d’ensemble de ce que l’on peut dire à date sur ces aspects, basée sur le suivi et l’analyse d’une quinzaine de domaines d’action publique concernés par le changement climatique. Des éléments techniques détaillés, disponibles en annexe, offrent un appui pour approfondir ce rapport.
En limitant la capacité de ses clients à constituer des réserves de terres rares, Pékin veut maximiser le levier géopolitique qu'offre son quasi-monopole.
Grâce à de nouvelles techniques de refroidissement, des puces plus performantes ou l'évolution de la programmation, le secteur de l'intelligence artificielle (IA) cherche à limiter sa consommation d'énergie, dans un contexte de croissance frénétique.
Le géant nucléaire EDF et le fonds français Siparex ont annoncé mardi le lancement d'un 2e fonds d'investissement pour couvrir les immenses besoins de financement de la filière industrielle appelée à participer à la relance du nucléaire en France. "La vocation" du Fonds France nucléaire 2 (FFN2) est d'accompagner des PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire) "disposant d'un savoir-faire important dans le nucléaire" afin de répondre aux "besoins croissants de la filière, laquelle contribue aux enjeux de souveraineté", indique le communiqué commun.
L'essor des centres de données s'accompagne d'une hausse massive de leurs besoins en électricité, dopés par l'intelligence artificielle (IA), qui soulève des défis pour la sécurité énergétique et le changement climatique. Voici cinq chiffres d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) consacré aux répercussions de l'IA sur le système énergétique publié jeudi.
Le gouvernement indien a approuvé une enveloppe budgétaire de 1,8 milliard d'euros pour sécuriser son approvisionnement en matières premières indispensables à son industrie en matière d'énergies renouvelables et de défense. L'Inde importe pour l'essentiel de Chine, son grand rival régional, des minerais dits stratégiques comme le lithium ou le cobalt, essentiels à la fabrication des véhicules électriques.Même si ses relations avec Pékin se sont récemment réchauffées, le pays le plus peuplé de la planète souhaite réduire sa dépendance.
L'irruption du Chinois DeepSeek, qui ébranle les géants de la Silicon Valley en raison du bien moindre coût de son modèle d'intelligence artificielle, remet aussi en question un autre aspect fondamental pour le secteur de l'IA: ses besoins en énergie.
Après des décennies d'insouciance, le secteur technologique, réuni au salon CES de Las Vegas, commence à chercher des solutions à ses énormes besoins en énergie, démultipliés par l'émergence du "cloud" et de l'intelligence artificielle (IA)."S'il y a cinq ans, on m'avait proposé de faire le CES, je n'aurais pas forcément vu le sens", reconnaît Sébastien Fiedorow, patron d'Aerleum, une start-up française qui fabrique du carburant de synthèse à base de CO2 et d'hydrogène.
Les géants de la tech se sont lancés dans une course à l'énergie abondante et décarbonée pour nourrir les appétits d'ogre de l'intelligence artificielle, mais leurs besoins en électricité doivent être mieux connus pour éviter la surchauffe du système, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Les centres de données, ces millions de serveurs qui hébergent nos données informatiques, représentent certes seulement 1% de la consommation d'électricité mondiale, selon l'AIE.
Aujourd’hui, nous allons parler des infrastructures dont nous avons hérité, comme les autoroutes, les stations de ski ou les usines à engrais. Des infrastructures toujours plus nombreuses et toujours plus polluantes, pour remplir des besoins toujours plus superflus, rendant nos territoires toujours plus inhabitables. Face à la crise socio-écologique, certaines infrastructures devront disparaître. Mais lesquelles choisir ? Et comment bien les démanteler ? En somme, comment apprendre à renoncer ? Pour parler de ces sujets, j’ai le plaisir d'accueillir Alexandre Monnin. Alexandre est philosophe, directeur du master "Stratégie et Design pour l’Anthropocène", et directeur scientifique d’Origens Medialab. Ses recherches portent sur la redirection écologique, le démantèlement d'infrastructures, et le renoncement.
Devant les besoins électriques exponentiels de leurs logiciels, Microsoft, Amazon et Oracle veulent relier des centres de données à des réacteurs.
L’empreinte eau d’un Français est en moyenne de 4 900 litres... par jour. Un chiffre astronomique, principalement dû à notre alimentation, explique l’hydrologue Charlène Descollonges.
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