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L'essor des centres de données s'accompagne d'une hausse massive de leurs besoins en électricité, dopés par l'intelligence artificielle (IA), qui soulève des défis pour la sécurité énergétique et le changement climatique. Voici cinq chiffres d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) consacré aux répercussions de l'IA sur le système énergétique publié jeudi.
Le gouvernement indien a approuvé une enveloppe budgétaire de 1,8 milliard d'euros pour sécuriser son approvisionnement en matières premières indispensables à son industrie en matière d'énergies renouvelables et de défense. L'Inde importe pour l'essentiel de Chine, son grand rival régional, des minerais dits stratégiques comme le lithium ou le cobalt, essentiels à la fabrication des véhicules électriques.Même si ses relations avec Pékin se sont récemment réchauffées, le pays le plus peuplé de la planète souhaite réduire sa dépendance.
L'irruption du Chinois DeepSeek, qui ébranle les géants de la Silicon Valley en raison du bien moindre coût de son modèle d'intelligence artificielle, remet aussi en question un autre aspect fondamental pour le secteur de l'IA: ses besoins en énergie.
Après des décennies d'insouciance, le secteur technologique, réuni au salon CES de Las Vegas, commence à chercher des solutions à ses énormes besoins en énergie, démultipliés par l'émergence du "cloud" et de l'intelligence artificielle (IA)."S'il y a cinq ans, on m'avait proposé de faire le CES, je n'aurais pas forcément vu le sens", reconnaît Sébastien Fiedorow, patron d'Aerleum, une start-up française qui fabrique du carburant de synthèse à base de CO2 et d'hydrogène.
Les géants de la tech se sont lancés dans une course à l'énergie abondante et décarbonée pour nourrir les appétits d'ogre de l'intelligence artificielle, mais leurs besoins en électricité doivent être mieux connus pour éviter la surchauffe du système, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Les centres de données, ces millions de serveurs qui hébergent nos données informatiques, représentent certes seulement 1% de la consommation d'électricité mondiale, selon l'AIE.
Aujourd’hui, nous allons parler des infrastructures dont nous avons hérité, comme les autoroutes, les stations de ski ou les usines à engrais. Des infrastructures toujours plus nombreuses et toujours plus polluantes, pour remplir des besoins toujours plus superflus, rendant nos territoires toujours plus inhabitables. Face à la crise socio-écologique, certaines infrastructures devront disparaître. Mais lesquelles choisir ? Et comment bien les démanteler ? En somme, comment apprendre à renoncer ? Pour parler de ces sujets, j’ai le plaisir d'accueillir Alexandre Monnin. Alexandre est philosophe, directeur du master "Stratégie et Design pour l’Anthropocène", et directeur scientifique d’Origens Medialab. Ses recherches portent sur la redirection écologique, le démantèlement d'infrastructures, et le renoncement.
Devant les besoins électriques exponentiels de leurs logiciels, Microsoft, Amazon et Oracle veulent relier des centres de données à des réacteurs.
L’empreinte eau d’un Français est en moyenne de 4 900 litres... par jour. Un chiffre astronomique, principalement dû à notre alimentation, explique l’hydrologue Charlène Descollonges.
Plus de la moitié de la consommation d'électricité de l'Allemagne sera neutre pour le climat pour la première fois en 2023, selon les principaux organismes de recherche sur les énergies renouvelables.
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