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eau potable
Que quatre millions de Francilien·nes puissent boire de l’eau sans PFAS, ni micropolluants. C’est le rêve du Syndicat des eaux d’Île-de-France, qui teste une stratégie de pointe pour les filtrer. Une technique efficace mais énergivore, qui entraîne des rejets polluants dans la nature.
Si la majeure partie de la surface terrestre est couverte d’eau, seulement un faible pourcentage concerne l’eau douce. Cependant, les pays ne sont pas égaux face à cette ressource vitale, comme l’indique une récente infographie très parlante.
Gaz incolore et inodore présent dans les canalisations d’eau potable en PVC installées dans les années 1970, le CVM serait présent dans 15 % à 30 % du réseau, notamment en Normandie et en Nouvelle-Aquitaine, selon un chercheur du Centre Jean-Bodin à Angers.
Après une enquête menée par UFC-Que choisir et Générations futures qui révélait la présence de polluants éternels dans l’eau potable de la capitale, la régie lance une action en justice ce vendredi 28 mars pour que les responsables prennent en charge le surcoût de la décontamination. [...] La régie municipale chargée de l’eau à Paris a porté plainte contre X ce vendredi 28 mars pour pollution de son réseau d’eau potable aux polluants éternels (ou PFAS) afin d’établir l’origine de cette contamination et faire appliquer le principe de «pollueur-payeur».
Tirée d’un puits dans la vallée de Lunain, captée dans la Voulzie, charriée dans les égouts… Au fil de l’eau, «Libé» remonte les canalisations pour comprendre l’origine, le traitement et la distribution de la précieuse ressource dans la capitale.
Pour des centaines de milliers de personnes sur notre territoire, l’accès à ce bien commun essentiel est une bataille au quotidien. Assurer un partage digne et sécurisé de l’eau est pourtant un impératif de justice sociale.
Largement disséminés dans l’eau, les polluants éternels sont très difficiles à traiter. Un casse-tête très coûteux pour les collectivités en charge de la distribution d’eau potable. « On est dans une impasse totale. » Au téléphone, Mickaël Derangeon ne cache pas son désarroi. La raison ? La découverte d’un polluant éternel — le TFA, ou acide trifluoroacétique, un résidu de pesticides — dans l’immense majorité des captages d’eau de Loire-Atlantique.
La compagnie pétrolière publique équatorienne Petroecuador a déclaré mardi en situation d'urgence son principal oléoduc et a réduit ses exportations de brut en raison d'une fuite qui a gravement pollué plusieurs rivières et privé d'eau potable des dizaines de milliers d'habitants du nord-ouest du pays.
PFAS, pesticides, microplastiques… La qualité de l’eau en bouteille ou au robinet ne va plus de soi et oblige chacun à trouver des solutions pour boire sans trembler. Mais la filtration miracle ne coule pas de source.
Générations futures a engagé des actions juridiques pour intégrer la recherche du TFA dans les contrôles sanitaires sur l’eau potable et pour interdire deux pesticides à l’origine de la pollution.
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