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imaginaire
La vision du nucléaire portée par cette industrie est « déterrestrée », explique le chercheur Ange Pottin, pensée en dehors du sol. De quoi permettre au capitalisme de poursuivre ses ambitions de croissance.
qu’allons-nous transmettre aux générations futures ? Crise climatique, essor de l’intelligence artificielle, totalitarisme, relation au vivant, effondrement ou renoncement sont autant de sujets fréquemment évoqués d’une rencontre à l’autre. Présente à certaines d’entre elles, la Mission Agrobiosciences-INRAE livre ici quelques-unes des questions en tension, sans aucune prétention à l’exhaustivité. Premier volet, les difficultés rencontrées par les scientifiques comme les écrivains pour penser autrement l’avenir et décrire le réel.
armi les acteurs qui éclairent et influencent les imaginaires sociaux figurent le monde culturel et artistique, les marques, les médias et les influenceurs. Ils sont les plus à même de pouvoir infuser à court terme des visions revitalisantes. https://lnkd.in/e8MdASEV La transition écologique nécessite une transformation culturelle portée par des récits et des imaginaires positifs qui agissent sur les représentions mentales de nous même et les représentations collectives inconscientes de ce qui fait société. L’ambition de la Fresque des Imaginaires de Nous Sommes Vivants est justement de sortir de cette crise des imaginaires en faisant émerger des imaginaires écologiques positifs, responsables et désirables.
Pas besoin d’être un docteur en anthropologie ou un grand penseur de plateau télé pour constater la déprimante évidence : les avancées culturelles des promesses de la Transition écologique patinent comme un skieur de décembre sur de l’or blanc de canon à neige. Pour susciter la motivation intrinsèque de chaque citoyen, l’écologie ne devrait donc plus apparaître comme contraignante. Fini la théorie du grand renoncement – de l’avion, de quelques degrés de chauffage en plus, des sapins coupés de leurs forêts ? Ce n’est pas si simple. Ce qui l’est par contre, c’est de comprendre que pouvoir s’incarner dans un nouveau mode de vie désirable adopté avec plaisir peut être une réponse pour la grande bascule collective. On en parle avec Jérémy Dumont, créateur de la Fresque des Imaginaires.
La vision techno-capitaliste affiche une domination écrasante. Pourtant, la "bataille des imaginaires" peut être gagnée.
J’entends de plus en plus souvent parler de la nécessité de constituer de nouveaux récits afin d’imaginer et de dessiner un futur désirable. Je vous propose ici de prendre le temps de faire le point sur cette notion, pour nous promener dans un second article sur quelques chemins aussi généreux qu’inspirants.
Faire sauter le "plafond de verre" d'un futur désirable. C’est le but de l’Assemblée citoyenne des imaginaires qui va proposer aux citoyens de penser un monde de demain bas-carbone et souhaitable, sans dystopie et scénario catastrophe. Une nécessité pour créer des nouveaux récits et une culture à la hauteur des enjeux contemporains.
Alors que s’essouffle le mythe de l’éternelle croissance providentielle et que, sous le vocable de la décroissance, se diffuse sa critique, celle-ci n’a su jusqu’à présent engendrer les transformations sociopolitiques qu’elle appelle. C’est aussi que la trajectoire de bifurcation proposée reste floue et abstraite. Pour éclairer ce chemin incertain mais nécessaire d’une décroissance dont il faut prendre le pari, la prospective offre des outils précieux, invitant à préciser les propositions concrètes pour mieux en évaluer la portée. Il reste à la mettre au service d’une démocratie directe et continue dont le déploiement devrait constituer la priorité commune des luttes sociales, car de ce combat dépend notre capacité à surmonter les autres.
C'est une addiction française qui a été ravivée par la crise sanitaire. Désir de liberté, d'espace, de tranquillité, le pavillon reste ancré dans l'imaginaire comme l'habitat idéal. Deux sociologues, Hervé Marchal et Jean-Marc Stébé lui dédient un livre : "Le pavillon, une passion française". Mais derrière le rêve, la réalité est plus sombre. Le pavillon, excentré des centres-villes, territoire de l'automobile, est le premier responsable de l'artificialisation des sols. Est-il voué à disparaître ? Réponse avec Hervé Marchal.
À partir des années 1950, le nucléaire est envisagé comme une technologie permettant aux humains de se défaire des contraintes que la géographie avait fait peser sur leur développement.