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n2o
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.
Wereldwijd worden steeds grotere hoeveelheden N2O uitgestoten, ook bekend als lachgas. De emissie van dit broeikasgas – vele malen krachtiger dan CO2 – is de voorbije eeuw verdrievoudigd. Vooral stuwmeren vormen het probleem.
the sediments below oxygen-depleted waters are a significant source of nitrous oxide (N2O). This gas is released into the atmosphere when deep water rises to the surface in a process known as upwelling. Nitrous oxide, more commonly known as “laughing gas,” is a potent greenhouse gas, 300 times more powerful than carbon dioxide. Global emissions of N2O are increasing as a result of human activities that stimulate its production.
Pourtant, le N2O est environ 300 fois plus puissant que le dioxyde de carbone pour réchauffer l'atmosphère. Et comme le CO2, il a une longue durée de vie, puisqu'il passe en moyenne 114 ans dans le ciel avant de se désintégrer.
Communément dénommé "gaz hilarant", le protoxyde d’azote n’a rien d’amusant. C'est en effet le troisième gaz à effet de serre le plus présent dans l'atmosphère, responsable du changement climatique mais aussi de la destruction de la couche d'ozone. Et sa concentration ne cesse de croître : + 30 % depuis 1980 en raison de l'explosion de l'utilisation d'engrais azotés dans l'agriculture. En France, les citoyens de la Convention climat appellent à taxer leur utilisation.
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De récentes mesures montrent que la concentration atmosphérique en protoxyde d’azote, un gaz à effet de serre notable, augmente bien plus rapidement qu’attendu. En cause, l’utilisation grandissante d’engrais et de fertilisants synthétiques à l’échelle globale. Des résultats rendus publics le 18 novembre dernier.
La fonte de ces immenses terres gelées pourrait non seulement rejeter d’énormes quantités de carbone mais aussi du protoxyde d’azote, un gaz 300 fois plus réchauffant que le CO2, selon de nouvelles observations.
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