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polluants éternels

novembre 2025

Face aux taux alarmants de Pfas, la consommation d’eau du robinet a été interdite ou restreinte dans 26 communes du Grand Est. Les décrets peinent à être appliqués, alors qu’il y a urgence.
Inox, acier, céramique... Bien que plus chers, les ustensiles de cuisine alternatifs aux antiadhésifs sont en plein boom, bénéficiant des craintes pour la santé sur les polluants éternels.
Les interdictions de boire de l’eau du robinet se multiplient dans le Grand Est à cause de «polluants éternels». Une situation vouée à se «multiplier», d’après le gouvernement qui a lancé une enquête administrative, selon nos informations.
Dans plusieurs communes des Ardennes et de la Meuse, environ 3 500 personnes ont interdiction de boire de l’eau du robinet, dont les taux de «polluants éternels» atteignent des records en France. De leurs côté, élus et habitants inquiets luttent contre l’abandon de l’Etat et l’omerta.
Une partie de la population du Hainaut et du Brabant wallon présente des concentrations en PFAS plus grandes que le reste de la population wallonne, selon les résultats d’une étude réalisée par l’Issep (Institut scientifique de service public).
Les PFAS : ils sont invisibles et pourtant présents partout. Depuis plusieurs années, des scientifiques et des professionnels de la santé alertent régulièrement sur leur dangerosité. Mais, c’est quoi exactement, les PFAS ? Céline Bertrand, spécialiste en santé environnementale, nous explique.

octobre 2025

Dans une tribune au « Monde », la chercheuse au sein de l’ONG Corporate Europe Observatory Vicky Cann dénonce le lobbying des entreprises chimiques et s’inquiète de voir s’éloigner la possibilité d’une interdiction européenne des polluants éternels.
Il y a peu, un trio de chercheurs a reçu le prix Nobel de chimie pour une invention surprenante, dont l’un des objectif est de participer à la lutte contre la dégradation de l’environnement. Il est ici question d’une éponge moléculaire capable de séparer de l’eau des produits chimiques dangereux, notamment les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS).
L’Agence nationale de sécurité sanitaire a publié mercredi deux rapports avec des recommandations sur les PFAS, prônant d’étendre le champ des contrôles de ces composés chimiques persistants dans l’environnement.
Dans un avis sur les PFAS, l’Agence nationale de sécurité sanitaire propose une surveillance beaucoup plus rapprochée de ces polluants éternels. Dans l’eau mais aussi dans l’alimentation ou pour les professionnels exposés.
Dans deux rapports publiés ce mercredi, l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a formulé des recommandations pour mieux contrôler les «polluants éternels». Elle appelle à étendre le champ des contrôles de ces molécules persistantes dans le corps et l’environnement.
Six jours après l’interdiction générale dans une commune à vingt kilomètres, la mesure prise ce lundi 20 octobre concerne les personnes sensibles résidant à Tendon.
Depuis ce jeudi 16 octobre, un site interactif mis en ligne par les ONG Générations futures et Data for good permet de visualiser les principaux polluants chimiques présents dans l’eau courante en France.
Les habitants des Arrentès-de-Corcieux ont reçu mardi 14 octobre l’interdiction d’utiliser l’eau du robinet. En cause, un taux trop élevé de polluants éternels qui bouleverse la vie de la commune.
Début septembre 2025, la société civile belge mettait la pression sur le gouvernement fédéral afin de renforcer, sans attendre, la réglementation des produits mis sur le marché afin que nous cessions d’être exposés quotidiennement aux PFAS1. Interdire l’utilisation des polluants éternels dans les biens que nous consommons, voilà ce que nous demandons. Une telle interdiction aura non seulement pour effet de limiter notre exposition en tant que consommateurs, mais également de réduire les potentiels rejets industriels contaminants nos ressources. Pour l’instant, la collectivité paie les pots cassés du manque de régulation en amont : traitement de l’eau polluée pour la potabiliser, soins de santé des personnes massivement contaminées, projets de recherche pour identifier les pistes de solutions, … Quelle politique souhaitons-nous favoriser ? Celles du « pollueur-payeur » ou bien du « pollué-payeur » ?


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