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octobre 2025

Selon un sondage réalisé par Eenvandaag en septembre, le climat est désormais loin derrière les autres préoccupations des électeurs avant le scrutin de mercredi 29 octobre.
C'est un grand ouf de soulagement. Jeudi 23 octobre, après de longs mois de blocage, les pays de l'Union européenne se sont accordés sur un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de -90% d'ici 2040. Un compromis qui aura nécessité de nombreux assouplissements sur la loi déforestation, l'interdiction des véhicules thermiques neufs en 2035 ou encore l'extension du marché carbone européen en 2027.
Une cour d’appel a estimé que Donald Trump avait bien le pouvoir d’envoyer des troupes, mais seulement pour faire face aux manifestations autour du bâtiment de la police fédérale de l’immigration, ICE.
L’entrée en vigueur de cette loi avait déjà été reportée d’un an, à la fin de 2025, et la Commission avait demandé, en septembre, un report supplémentaire d’un an.
La droite et l'extrême droite du Parlement européen ont enterré mardi une proposition de la Commission sur la surveillance des forêts, qui était destinée à mieux protéger ces écosystèmes contre les ravageurs, les sécheresses et les incendies, aggravés par le réchauffement climatique.
« L’avenir n’est pas un destin écrit, c’est une décision collective. » L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
Sept millions d’Américains ont défilé contre Trump ce samedi 18 octobre, redoublant d’inventivité dans leurs costumes et slogans.
Sept millions de participants, selon les organisateurs, ont défilé samedi lors de 2 600 rassemblements à travers les Etats-Unis pour protester contre les dérives du président républicain.
Des Américains de tout âge sont descendus dans les rues samedi en nombre pour faire entendre leur opposition à Donald Trump lors d’une journée de mobilisation nationale dépeinte par la droite comme un mouvement "de haine de l’Amérique".
Environ 7 millions de personnes ont participé samedi aux manifestations "No Kings" contre l'administration Trump aux États-Unis, ont annoncé les organisateurs.
Les manifestations "No Kings" ("Pas de Rois") reprennent samedi aux États-Unis, où plus de 2.700 rassemblements sont prévus à travers le pays pour dénoncer la dérive autoritaire du président Donald Trump.
Plus de 2 700 rassemblements sont prévus dans la journée, dans les grandes villes américaines comme dans des bourgades d’Etats républicains, ainsi qu’à proximité de la résidence de Donald Trump en Floride.
Le long d’un pays fracturé, de New York à San Francisco, des millions d’Américains s’apprêtent à défiler derrière un même cri : « No Kings ». Face à un président qui se rêve en monarque, la rue entend rappeler que la démocratie américaine n’a jamais porté de couronne.
Des millions d’Américains devraient défiler ce samedi 18 octobre dans tout le pays pour dénoncer la dérive autoritaire du président républicain. Un test pour un mouvement que les démocrates, très critiqués, peinent à incarner.
Face à un président qui réprime l’opposition et distille la peur, les citoyens américains se mobilisent. Une façon de pallier l’impuissance des démocrates. Samedi, la rue sera le baromètre de cette résistance.


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