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virus mpox
Les différentes épidémies de mpox en Afrique répondent à des logiques différentes, montre une étude parue jeudi, constatant que le nouveau variant du virus se transmet surtout entre humains alors que les contaminations par des animaux restent majoritaires pour la version plus ancienne.
Les différentes épidémies de mpox en Afrique répondent à des logiques différentes, montre une étude parue jeudi, constatant que le nouveau variant du virus se transmet surtout entre humains alors que les contaminations par des animaux restent majoritaires pour la version plus ancienne.
Un nouveau test pour détecter le Mpox a été approuvé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ce vendredi 4 octobre. A l’aide d’un prélèvement de type PCR, qui permet de détecter en temps réelle la présence du virus.
Frédéric Valletoux chiffre ce dimanche 18 août à «150 000 personnes» le nombre de vaccinés dans l’Hexagone depuis la première vague de mpox en 2022. La vaccination reste pour l’instant réservée au «public le plus exposé».
Le continent africain fait face à une résurgence d’une nouvelle souche du virus, détectée en RDC et baptisée « clade 1b », plus mortelle et plus transmissible que les précédentes. Des cas ont également été détectés en Suède et au Pakistan.
Le continent fait face à la propagation d’une nouvelle souche du virus, détectée en RDC en septembre 2023, plus mortelle et plus transmissible que les précédentes.
L’OMS s’inquiète de la flambée d’un variant plus contagieux et plus dangereux du virus de la mpox, auparavant appelée “variole du singe”. Les cas se multiplient en Afrique, dans des pays qui n’avaient jamais connu la maladie. Un premier cas a été annoncé en Suède, un autre au Pakistan.
Le séquençage de virus de la Mpox (naguère appelée variole du singe) provenant de personnes infectées en Ouganda et au Kenya a confirmé qu’il s’agissait de la même souche que celle qui circule en République démocratique du Congo. Elle est plus létale que celle qui a provoqué une épidémie mondiale en 2022.