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Dans cette vidéo Bad Influence, Vinz et Swann Périssé se plongent dans l'univers de l'influence, de la consommation et des prises de conscience écologiques. Swann raconte son parcours dans le monde de l'influence, son passage à l'humour et à l'influence, avant de connaître un réveil écologique. Ils discutent de l'impact de l'influence sur la planète, de la difficulté d'être à la fois créatif, éthique et financièrement stable, tout en confrontant les incohérences de leur travail face à l'urgence écologique. Une conversation honnête et bienveillante sur la transition nécessaire pour transformer le secteur de l'influence.
In this episode, I’m joined by ecologist Thomas Crowther to discuss the critical importance of biodiversity as an intricate web of life that supports all other living beings, not just through the sheer number of species, but because of the complexity of interactions within ecosystems. Thomas highlights the power of data in empowering individuals to make informed choices that positively impact nature, and the critical need to address inequality in order to foster ecological recovery.
Dans cet échange entre Vinz et Théo, un ingénieur en IA et co-président de l'ONG Data for Good, on explore l'impact écologique et social de l'intelligence artificielle. Théo Alves Da Costa analyse l'explosion des données et des algorithmes et met en lumière les défis liés à la croissance exponentielle de l'IA, notamment en matière de consommation énergétique et de perte de compétences. Ils discutent de l'optimisation continue de notre société par les GAFAM, des questions éthiques et écologiques autour de l'IA, et de l'importance de réguler l'usage de ces technologies pour éviter un futur où la machine prendrait trop de contrôle sur l'humain. Le tout est abordé avec un regard critique sur l'avenir et des propositions alternatives pour une IA plus responsable.
Sophie Dubuisson-Quellier est directrice de recherche au CNRS au sein du Centre de Sociologie des Organisations, membre du Haut Conseil pour le climat et spécialiste de la transition énergétique. Dans cette conférence, elle explique comment, face à la transition écologique, on accuse à tort la population de : "ne pas vouloir" changer, "ne pas savoir" qu'il faut changer ou encore "ne pas pouvoir" changer, ce qui soulève les questions de l'acceptabilité sociale, de l'absence de mobilisation et de l'impuissance des imaginaires.
Historicus Jacques Pauwels benadrukt het cruciale belang van geschiedenis om het waarom van hedendaagse conflicten te kennen. Media en politici verkopen een simplistisch zwart-wit-verhaal van goeden tegen slechten, zonder oorzaken uit te leggen. Oekraïne, Gaza of de toenemende sociale ongelijkheid: voor wie de échte geschiedenis niet kent is oorlog iets dat zomaar, plots gebeurt, zonder dat je daar iets aan kan doen. Niets is minder waar.
La science peut-elle nous sauver ? Faut-il encore croire au progrès scientifique ? Le physicien Étienne Klein et l'entrepreneure Barbara Belvisi se rencontrent au Collège des Bernardins pour échanger sur ce thème lors d'un débat exceptionnel. Une rencontre animée par Hélène de Vogüé
Dans cette vidéo, Vincent Mignerot, un expert en théorie de l'existence, discute de la faisabilité de la transition énergétique et des grandes questions existentielles qui en découlent. À travers une analyse critique des théories scientifiques actuelles, Vincent remet en question la logique des transitions énergétiques proposées par la science conventionnelle, notamment la conversion des énergies fossiles vers les énergies renouvelables. Il explore l'idée de la "domestication de l'humain" par la technologie et les dangers d'une science relativiste qui pourrait mener à une impasse écologique.
Sophie Dubuisson-Quellier est directrice de recherche au CNRS au sein du Centre de Sociologie des Organisations, membre du Haut Conseil pour le climat et spécialiste de la transition énergétique. Dans cette conférence, elle explique comment, face à la transition écologique, on accuse à tort la population de : "ne pas vouloir" changer, "ne pas savoir" qu'il faut changer ou encore "ne pas pouvoir" changer, ce qui soulève les questions de l'acceptabilité sociale, de l'absence de mobilisation et de l'impuissance des imaginaires.
Nous avons construit depuis dix mille ans, un monde d’abondance de ressources, un écosystème stable, qui nous a poussé à optimiser et à performer. Le culte de la performance est à son apogée et nous incite à toujours gagner en efficacité, à maximiser nos résultats, avec moins de moyens possibles. Cette approche atteint ses limites dans un monde en constante évolution. Aujourd'hui la nature se réveille, elle devient fluctuante et nous devons apprendre à vivre dans un monde instable, imprévisible. Comment vivre dans ce nouvel environnement ? Comment passer de la performance à un nouveau modèle ? Comment abandonner la performance et passer à une autre forme de société ? Olivier Hamant est biologiste et chercheur, il se lève le matin stimulé par l’étude de la vie des plantes. Dans la nature, les systèmes robustes prospèrent parce qu’ils acceptent l’incertitude. Le chercheur s’inspire de cet environnement pour nous apprendre à vivre dans un environnement instable par le concept de la robustesse, et nous incite à
"Il est urgent de mettre l’IA en pause."
Arthur Keller, expert en risques systémiques et stratégies de résilience, donne une conférence magistrale à l'université de Lausanne. Il nous parle du développement durable, et explique pourquoi cette théorie, comme la théorie économique néo-classique, se fondent sur des hypothèses aberrantes. Quel plaisir d'avoir un conférencier francophone à ce niveau. Je vous invite à regarder la conférence entièrement.
En effet, alors que ces 3 dernières années ont été particulièrement frappantes en termes de sécheresses, d’incendies et d'inondations, les discours climatosceptiques semblent non seulement resurgir dans l’opinion publique mais aussi prendre une nouvelle forme. Et pour parler de ce sujet, j’ai le plaisir d’accueillir Valérie Masson Delmotte. Elle est climatologue, membre du Haut Conseil pour le Climat, et ex-présidente du premier groupe de travail du GIEC.
Adam Greenfield author of Lifehouse, Taking Care of Ourselves in a World on Fire. A Lifehouse is an institution at the heart of each neighborhood that responds to the terrifying reality of climate collapse in our own communities.In this book Adam Greenfield, recovers lessons from the Black Panther survival programs, the astonishingly effective Occupy Sandy disaster-relief effort and the solidarity networks of crisis-era Greece, as well as municipalist Spain and autonomous Rojava, to show how practices of mutual care and local power can help shelter us from a future that often feels like it has no place for us...
L'agriculture d’aujourd’hui repose largement sur l’utilisation d’engrais issus de la pétrochimie pour l’azote (N) et d’origine minière fossile pour le phosphore (P), le potassium (K), etc. Ces ressources proviennent presque exclusivement du commerce international et rendent nos systèmes alimentaires très fragiles sur le plan géopolitique. Parallèlement, l’activité biologique des sols est négligée, appauvrissant la fertilité des terres. Collecter les excréments à la source et les traiter pour produire des matières fertilisantes (engrais, composts), c’est retrouver un lien ville-campagne, faire un pas vers l’agroécologie, introduire plus de circularité dans la gestion des ressources… Alors que les agglomérations urbaines grandissent et que les ressources s’amenuisent, il est grand temps de (re)déployer un assainissement écologique à la campagne et de le ramener jusqu’au cœur des villes. Par le passé, pourtant, des solutions existaient. L’humanité a toujours dû faire face à ces problématiques, l’énergie nous a
Comme le dit souvent Arthur Keller, la peur ne fige pas, elle pousse à l'action. Voici donc quelques propos choquants qui j'espère susciteront de la peur et de l'action chez ceux qui la regarderont. Les intervenants : Cédric Ringenbach, Aurélien Barrau, Jean-Marc Jancovici, Pablo Servigne
Dans cette nouvelle ère politique où la confusion et l’extrême droite marquent des points, le climat n’est plus seulement une affaire de polémiques : il devient un objet de bataille culturelle. Aux États-Unis, Donald Trump a fait de l’écologie une ennemie, une menace pour l’économie, le bouc émissaire parfait pour justifier sa politique de dérégulation totale. Mais en Europe aussi, l’écologie est de plus en plus décrite comme uniquement « idéologique », et « punitive» ; la droite et l’extrême droite du Parlement européen s’échinent à démanteler les politiques pour le climat ; et les scientifiques spécialistes du climat ou de la biodiversité sont attaqués pour leurs études. Comment et par qui ce grand déni est-il organisé ? Comment se protéger contre cette grande désinformation sur le climat et la biodiversité ?
An engaging discussion on groundbreaking research that reveals the unexpected drivers behind the recent unprecedented rise in global temperatures. Moderated by SDSN President Professor Jeffrey Sachs, this virtual event explored Dr. James Hansen and colleagues' findings in the latest publication, “Global Warming Has Accelerated,” their implications for climate sensitivity, and the urgent need for alternative approaches to mitigate the looming "point of no return."
C’est l’un des plus grands scandales sanitaires de notre époque mais aussi la crise de pollution la plus importante que l’humanité n’a jamais eu à affronter. Je veux vous parler ici des PFAS. Une famille de 10 000 produits chimiques qu’on appelle les “Polluants éternels”
Face aux crises existentielles : anthroposphère, la grande accélération, points de bascule et limites planétaires, descente énergétique, la transition n'est pas une solution, l’espoir de la systémique, les plans d'Arthur Keller.
Cyclones, hausse des températures, incendies... Face au réchauffement climatique, tous les indicateurs sont alarmants : rien ne va. Face à cela, le climatologue et ancien vice-président du GIEC Jean Jouzel est sans équivoque : "Nous regardons ailleurs".