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Trump est-il fasciste ? La question peut sembler excessive, mais elle est essentielle pour comprendre notre époque. Et pour y répondre, il faut revenir à l’histoire du fascisme, voir comment il a pris le pouvoir en Italie, en Allemagne et ailleurs, et identifier les logiques profondes qui se répètent aujourd’hui. Aux États-Unis, avec Trump. Mais aussi en Europe, où les droites radicales progressent et transforment le paysage politique. Que faire ? Comment résister sans céder à la panique ni au déni ? Comment nommer les choses sans tomber dans l’exagération ? Et surtout : comment éviter que l’histoire ne se répète, sous d’autres formes ? Une plongée dans l’histoire et dans les méandres du présent.
Alors que le fascisme a pris le pouvoir aux États-Unis et que l’extrême droite prospère en Europe, notre planète continue de brûler et des millions de vies s’en retrouvent brisées. Pourtant, de plus en plus de responsables politiques font tout pour nous le faire oublier tout en jetant de l’huile sur le feu.
Salomé Saqué est une journaliste française connu pour ses chroniques sur la chaîne Blast, où elle traite de sujets économiques et sociétaux. En 2023, elle publie son premier livre, Sois jeune et tais-toi, qui dresse un portrait des difficultés de la jeunesse en France, confrontée à des crises économiques, sociales, et climatiques. Elle est également très présente sur les réseaux sociaux, où elle s'exprime régulièrement sur ces thématiques, bien qu'elle ait dénoncé le harcèlement en ligne auquel elle fait face, en particulier de la part de l'extrême droite. Dans son nouveau livre, Résister, Salomé Saqué tente de déconstruire les discours et les stratégies imposées par l'extrême droite, qui s'étend à travers le monde. Dans cette vidéo, nous allons analyser les thèmes récurrents, les récits construits, ainsi que le vocabulaire d'une extrême droite qui est, plus que jamais, à nos portes.
Dans cette nouvelle ère politique où la confusion et l’extrême droite marquent des points, le climat n’est plus seulement une affaire de polémiques : il devient un objet de bataille culturelle. Aux États-Unis, Donald Trump a fait de l’écologie une ennemie, une menace pour l’économie, le bouc émissaire parfait pour justifier sa politique de dérégulation totale. Mais en Europe aussi, l’écologie est de plus en plus décrite comme uniquement « idéologique », et « punitive» ; la droite et l’extrême droite du Parlement européen s’échinent à démanteler les politiques pour le climat ; et les scientifiques spécialistes du climat ou de la biodiversité sont attaqués pour leurs études. Comment et par qui ce grand déni est-il organisé ? Comment se protéger contre cette grande désinformation sur le climat et la biodiversité ?
"L'Observatoire des multinationales vient de sortir un rapport. Un rapport qui nous a beaucoup intéressé pour Rhinocéros parce qu'il détaille les ramifications d'un réseau qui s'étend sur toute la planète et qui est bien sûr présent en France. Le but de ce réseau, c'est de peser sur le débat public, d'influencer les politiques publiques et d'installer un climat favorable aux idées de la droite. La plus dure, la droite des libertariens. Ce réseau, c'est le réseau Atlas."
C’est un débat qui a créé la polémique mais qui en réalité pose des questions bien plus larges sur l’écologie politique. Le 13 avril, Hugo Clément est allé débattre d’écologie avec le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, chez Valeurs actuelles. La présence du journaliste à une soirée organisée par un média d’extrême droite condamné pour injure raciste et provocation à la haine a enflammé les réseaux sociaux. D’un côté, les personnes qui le soutiennent et trouvent courageux et nécessaire d’aller débattre avec l'extrême droite sur ces sujets, de l’autre celles qui l’accusent de banaliser et légitimer le Rassemblement national. Au-delà des affrontements, cet événement raconte l’évolution de l’écologie politique. Le Rassemblement national comme tous les autres partis commencent aujourd’hui à parler d’urgence écologique. Ses figures comme Jordan Bardella, mettent de plus en plus en scène leur volonté d’agir sur le sujet tout en décriant les autres partis et donc en cherchant à s'approprier l’éco
Dans cette conférence, donnée devant des étudiants du master EEET de l'Université Paris-Saclay, Laurent Mermet développe ses réflexions à partir du livre "Où atterrir?" de Bruno Latour. Il critique la cartographie politique proposée par l'auteur, très stimulante, mais fort imparfaite, pour la débarrasser de son manichéisme, pour maintenir la pertinence des tensions entre droite et gauche, entre "local" et "global" (ou modernité), et pour apaiser la phobie du concept de Nature.
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