Uniquement les Articles de la décennie 2010
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
2018
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Alors que de sombres nuages s'accumulent sur l'horizon financier, de gros problèmes se profilent dans l'industrie du schiste aux États-Unis. Alors que la plupart des Américains se concentrent sur la couverture médiatique du cirque en cours à Washington D.C., la véritable menace pour l'économie nationale réside dans le centre pétrolier du pays. Et, si nous regardons ce qui se passe dans la plus grande région pétrolière de schiste des États-Unis, les signes sont inquiétants.
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Le verdict est tombé, un peu tard pour cause de shutdown sur les agences américaines, mais il montre une année 2018 où cela a chauffé fort sur la Terre. Et ce n’est pas la faute au Soleil, précisent des scientifiques américains puisque l’astre du jour était… au creux de son cycle. Revue de détail.
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Ce mercredi 4 décembre, les 57 institutions de recherche participant au Global Carbon Project (GCP) publient le Global Carbon Budget 2018 dans les revues Nature, Earth System Science Data et Environmental Research Letters. Le budget examine en profondeur la quantité de combustibles fossiles que les pays du monde entier brûlent et ce qu’il advient des émissions de CO2 associées. Selon les projections du Global Carbon Project, les émissions de dioxyde de carbone (CO2) devraient augmenter de 2,7 % en 2018, principalement en raison de la croissance soutenue de la consommation de pétrole et de gaz. En 2017, les émissions de carbone étaient déjà à la hausse (+ 1,6 %) après une stagnation de trois ans.
abs_empty
Il y a six ans, nous avions commenté sur ce même blog que, parmi tous les carburants dérivés du pétrole, le diesel était celui qui verrait probablement sa production baisser en 1er. La raison de la réduction de la production de diesel avant l’essence, par exemple, était due à la baisse de la production de pétrole brut classique depuis 2005 et au poids croissant des pétroles dits "non conventionnelles", mauvais substituts qui ne conviennent pas toujours à la production de diesel.
Le dernier rapport spécial du GIEC, présenté le 8 octobre dernier, fait suite à la COP21 et à la signature de l’Accord de Paris, dans lequel les États s’engagent à agir pour « contenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels [et à] poursuivre l’action menée pour limiter l’élévation des températures à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels ». Le GIEC a été invité à produire un rapport portant sur les impacts du réchauffement planétaire de 1,5 ° C par rapport aux niveaux préindustriels, et sur les trajectoires d’émissions de gaz à effet de serre.
abs_empty
abs_empty
Le 8 octobre 2018 paraissait le rapport intermédiaire du GIEC sur le réchauffement climatique à 1.5 degrés. Que dit réellement ce rapport ? Quelles sont ses principales conclusions ? Décryptage.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a publié le 8 octobre 2018 un rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C. Il sera au menu de la Conférence sur les changements climatiques prévue au mois de décembre en Pologne pour faire le point sur l’Accord de Paris. Au coeur du rapport, on trouve les estimations du budget carbone compatibles avec un réchauffement de 1,5°C. De nouveaux calculs montrent que la marge est un peu plus importante que les estimations précédentes.
abs_empty
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Hervé Le Treut est Professeur à Sorbonne Université, directeur de l'Institut Pierre-Simon Laplace (IPSL) et membre de l'Académie des sciences. Ses travaux portent sur la modélisation numérique du système climatique. Il s'intéresse également aux impacts des changements climatiques et à l'analyse des risques environnementaux associés (*)
abs_empty
L’analyse des températures au mois de juillet 2018, récemment publiée par la Nasa, montre qu’il s’agit du troisième mois de juillet le plus chaud depuis le début des relevés thermométriques en moyenne planétaire.
abs_empty
abs_empty
abs_empty
La terre se meurt, et nous aussi. L’apathie de l’Homme face à la problématique du changement climatique est le symptôme d’un déni meurtrier et coupable.
Alors que la canicule de cet été rend palpable le changement climatique, le climatologue Hervé Le Treut répond à nos questions sur l’évolution du climat. Ce scientifique, membre de l’Académie des sciences et directeur de l’Institut Pierre Simon Laplace (IPSL) explique les difficultés d’agir face au réchauffement climatique.
abs_empty
abs_empty