Uniquement les Articles de la décennie 2020
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Brésil
La Chambre des députés a voté un texte sur l’assouplissement des réglementations qui permet d’ignorer largement les impacts sur l’environnement des projets jugés stratégiques. Sur ce sujet, la position du président Lula est ambiguë.
La COP30 de Belém, qui se tiendra en novembre prochain, est un rendez-vous crucial pour relancer la dynamique climatique internationale dix ans après l'Accord de Paris. Des premiers rendez-vous se sont tenus à Bonn et Séville pour entamer les discussions mais le clivage Nord-Sud semble à son apogée. Le Brésil a la lourde tâche de réussir à apaiser les tensions dans un contexte particulièrement difficile.
Le président américain a annoncé, mardi, imposer une surtaxe de 50 % sur les produits brésiliens importés aux Etats-Unis. Il accuse son homologue brésilien de mener une « chasse aux sorcières » contre son prédécesseur d’extrême droite, actuellement jugé pour une tentative de coup d’Etat.
Brazil records 62% jump in area burned by forest fires: monitor
Ces prix exorbitants compromettent la participation des pays du Sud à la Conférence mondiale sur le climat, laissant craindre de voir l’événement se transformer en « COP des élites », selon les mots du quotidien économique « Valor ».
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva affirme que "le monde n'est pas prêt à vivre sans pétrole", défendant ses projets d'extraction de combustibles fossiles à quelques mois d'accueillir la COP30, dans une interview publiée jeudi. "Je suis favorable à travailler à l'idée d'un jour sans combustibles fossiles, mais je suis très réaliste : le monde n'est pas prêt à vivre sans pétrole", a déclaré Lula dans une interview au podcast du rappeur brésilien Mano Brown.
Les militantes du Mouvement des personnes affectées par les barrages ont manifesté à Brasilia, le 5 juin, pour dénoncer les « crimes environnementaux » commis sur leurs terres. Trois d’entre elles nous ont confié leur histoire.
La destruction de la couverture forestière a augmenté de 9,1 % entre août 2024 et mai 2025 par rapport à la même période l’année précédente.
Sept anciens ministres de l'Environnement du Brésil ont publié jeudi une lettre ouverte critiquant un projet de loi controversé visant à assouplir les règles pour l'obtention de licences environnementales. Déjà approuvé au Sénat, ce projet de loi doit être débattu prochainement à la Chambre des députés, alors que le pays sud-américain s'apprête à accueillir en novembre la conférence de l'ONU sur le climat COP30 dans la ville amazonienne de Belem.
L’Union européenne, la Chine ou encore le Canada ont suspendu leurs importations de volailles en provenance du pays sud-américain.
Un nouveau rapport d'une ONG brésilienne montre que plus de 500 000 hectares d’écosystèmes naturels ont été détruits au Brésil entre 2018 et 2023, en lien avec la viande vendue par le géant français de la grande distribution. Un chiffre qui pourrait peser lourd dans une procédure judiciaire en cours à Paris.
L’ancienne ministre de la justice occupe depuis l’automne 2024 une prestigieuse chaire universitaire au Brésil. Elle prépare activement la COP30, où elle défendra la préservation de la forêt amazonienne, en s’appuyant sur le travail des chercheurs qu’elle dirige.
Pour la première fois, les acteurs les plus éminents de la lutte contre la désinformation climatique à travers le monde sont rassemblés au même endroit, à Brasília (Brésil). Encore mieux : ils sont explicitement soutenus par le gouvernement brésilien et les Nations unies.
Les chauves-souris ne sont pas seulement des agents de dispersion de graines ou des contrôleurs naturels des populations d’insectes. Malheureusement, elles sont aussi des réservoirs de virus potentiellement dangereux pour l’Homme. Une récente étude au Brésil vient de mettre en lumière un nouveau coronavirus découvert chez ces animaux. Ce dernier présenterait des similitudes inquiétantes avec celui responsable du Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Cette découverte soulève des questions cruciales sur la surveillance des virus zoonotiques et les risques qu’ils représentent pour les humains.
Ce lundi 10 février marque la date limite pour que les États de l'accord de Paris rendent leur copie. Tous les cinq ans, les 194 pays et l'Union européenne doivent mettre à jour leurs « plans climat » afin de limiter le réchauffement climatique bien en dessous de deux degrés. Ce sera l'enjeu de la COP30 au Brésil en fin d'année, mais seulement une poignée d'entre eux ont rendu leur travail en temps et en heure.
À quelques mois du prochain sommet mondial sur le climat, qui se tiendra en novembre à Belém, la construction d’une quatre voies à travers une zone protégée de l’Amazonie suscite une vive controverse. Si le gouvernement du Pará défend un projet “durable” pour moderniser la ville, écologistes et habitants dénoncent une menace pour l’environnement et les communautés traditionnelles locales.
Climat : une partie de la forêt amazonienne abattue pour construire une autoroute en vue de la COP30
(12/03) - Belga,Une partie de la forêt amazonienne a été abattue pour construire une autoroute en vue de la COP30 qui se tiendra à Belem dans le nord du Brésil, rapporte la BBC mercredi. Belem accueillera la COP30, la prochaine conférence sur le climat de l’ONU, du 10 au 21 novembre. Quelque 50.000 visiteurs sont attendus pour l’occasion. Pour faire face à cet afflux, les autorités ont lancé la construction d’une autoroute à quatre voies, qui traverse des dizaines de milliers d’hectares de forêt amazonienne protégée.
Les surfaces déboisées représentaient 80,95 kilomètres carrés en février contre 226,51 kilomètres carrés un an plus tôt, selon les données recueillies par les satellites de l’Institut de recherches spatiales. Le président, Luiz Inacio Lula da Silva, s’est engagé à éradiquer d’ici à 2030 la déforestation illégale dans le pays.
Les deux plus gros fabricants de chaussures de Decathlon s’approvisionnent en cuir susceptible de venir de zones déforestées illégalement au Brésil, révèlent Disclose et Follow the Money, qui ont remonté la chaîne de production des célèbres chaussures de randonnée Quechua.
A Rio de Janeiro, au Brésil, le thermomètre s’affole. Mi-février, la température a atteint le niveau record de 44°C.
Le Brésil, pays hôte de la COP30 en novembre, a annoncé mardi son entrée dans la Charte de coopération entre pays producteurs de pétrole (CoC), liée à l'Opep, au grand dam des écologistes.En décembre 2023, le président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva avait annoncé que le huitième producteur de pétrole au monde allait rejoindre l'Opep+, sans donner de détails sur les modalités, ni l'avancée du processus d'adhésion.
La « COP30 » désigne la 30e Conférence internationale des parties de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Cette COP fait suite à la COP28 de Dubaï en 2023 et à la COP29 de Bakou qui s'est tenue fin 2024. La COP30 aura lieu du 10 au 21 novembre 2025 à Belém, capitale de l'État du Para située au nord du Brésil. Cette ville de près de 1,5 million d'habitants se trouve dans l'estuaire des fleuves Tocantins et Pará, aux portes de la forêt amazonienne.
Une étude inédite de l’Alliance brésilienne pour la culture océanique a constaté que, entre 1991 et 2023, le nombre annuel moyen de catastrophes naturelles liées au climat s’était accru de 460 % dans le pays. Chaque augmentation de 0,1 °C de la température moyenne de l’air dans le monde a entraîné 360 événements supplémentaires au Brésil.
En dépit des critiques des écologistes, le président brésilien Lula a renforcé cette semaine la pression en faveur d'un méga-projet d'exploration pétrolière près de l'embouchure de l'Amazone, en pleins préparatifs pour la COP30 dans la ville amazonienne de Belem."Nous voulons le pétrole, car il va encore exister longtemps", a déclaré mercredi Luiz Inacio Lula da Silva, argumentant que la manne de l'or noir doit servir "à financer la transition énergétique, qui coûtera très cher".
Le Brésil organisera en novembre, à Belem, la prochaine conférence mondiale sur le climat, quelques mois après l’annonce par les États-Unis de leur retrait. Un défi à la fois sur le plan des négociations et de l’organisation.
Fléau récurrent au Brésil, les incendies de végétation, pour la plupart d’origine humaine, ont ravagé l’an dernier 30,8 millions d’hectares, une surface en hausse de 79 % par rapport à 2023, et ont surtout touché l’Amazonie. Une dévastation qui reflète notamment les effets d’une longue sécheresse liée au changement climatique, mais pour laquelle le gouvernement brésilien est aussi mis en cause.
La superficie végétale détruite par des incendies au Brésil a augmenté de 79% en 2024 à 30,8 millions d'hectares, supérieure à celle de l'Italie, selon un rapport de la plateforme de surveillance MapBiomas publié mercredi.
COP ou pas cap ? Mardi, le président brésilien Lula a nommé le diplomate André Corrêa do Lago à la tête de la 30ème conférence mondiale sur le climat, qui se tiendra en novembre prochain au Brésil. Un choix validé par les organisations écologistes.
Au Brésil, l’agro-industrie accusée d’avoir financé un complot visant à assassiner le président Lula
(23/12) - Anne-Dominique CorreaL’ancien ministre de la défense de Jair Bolsonaro aurait reçu de l’argent « de personnes de l’agronégoce » pour un projet d’élimination du président Lula, de son vice-président et d’un juge du Tribunal suprême fédéral, selon l’ancien aide de camp de l’ex-président d’extrême droite.
Depuis 2018, environ 38 600 ânes ont été abattus en moyenne chaque année au Brésil, entraînant une réduction de la population de 60 % entre 2018 et 2023. L’espèce est désormais menacée d’extinction dans le pays.
Une partie de l’Amazonie montre des signes de savanisation: les scientifiques redoutent que le phénomène ne devienne irréversible.
Les leaders du marché du collagène fabriquent des produits qui provoquent la destruction de forêts tropicales au Brésil.
De nombreuses villes brésiliennes ont connu, le 22 septembre 2024, des manifestations importantes contre les incendies et pour la justice climatique. Parce que la construction d’un mouvement pour le climat est vitale pour l’avenir du pays et de la planète. Comment il peut s’opposer à l’agro-industrie et à son alliance avec le gouvernement.
Le Brésil a augmenté son objectif de réduction des gaz à effet de serre de 59 % à 67 % d'ici à 2035, a annoncé le gouvernement du président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva.La nouvelle "contribution déterminée au niveau national" (CDN) du Brésil, basée sur les niveaux de 2005, tente de s'aligner sur les engagements de l'Accord de Paris sur le changement climatique, selon une note officielle publiée vendredi soir.
Les Emirats arabes unis, organisateurs de la COP28 l'an dernier, l'Azerbaïdjan, qui accueillera la COP29 à partir du 11 novembre, et le Brésil, futur pays hôte de la COP30 l'an prochain, prévoient d'augmenter leur production d'énergies fossiles de 32% d'ici 2035, dénonce mercredi un rapport de l'ONG Oil Change International.
Selon une nouvelle évaluation par satellite, les incendies de forêt au Brésil ont incinéré une superficie équivalente à celle de la Suisse, ce qui représente un niveau de destruction qui mettra des décennies à se rétablir, si tant est qu’il se rétablisse.
Une grande partie de la ville de Sao Paulo s’est retrouvée dans l’obscurité et au moins 1,6 million de foyers sont privés d’électricité. Ces tempêtes surviennent après une des pires périodes de sécheresse que le Brésil a connue.
La destruction des forêts se poursuit, notamment en Bolivie, en Indonésie ou au Brésil, à un rythme incompatible avec l’ambition de mettre fin à la déforestation en 2030, selon une étude publiée ce mardi 8 octobre.
L'agent orange, utilisé par les Etats-Unis pendant la guerre du Vietnam, a récemment servi à déforester des zones du Pantanal au Brésil.
Le Brésil brûle. Et pas seulement en Amazonie. Près des deux tiers du territoire du plus grand pays d'Amérique latine sont affectés par la fumée qui émane d'incendies hors norme.
Un feu de grande ampleur a gagné, dimanche, la réserve naturelle de la capitale brésilienne, consumant 1 200 hectares. Lundi, il a recouvert la ville d'un épais nuage de fumée. Face à une pandémie d'incendies, le gouvernement brésilien réfléchit à de nouvelles mesures.
Il s’agit du plus grand incendie de l’année dans la ville, qui a accumulé 145 jours sans pluie et des niveaux d’humidité minimaux. Les flammes ont déjà dévasté 1 200 hectares, selon l’Institut Chico Mendes de conservation de la biodiversité.
Elon Musk et le juge brésilien Alexandre de Moraes s'opposent en raison du refus de Musk de se conformer à une décision de justice ordonnant le blocage de certains comptes sur X. En rétablissant ces comptes, Musk a défié l'autorité du tribunal et a accusé Moraes de favoriser la "censure".
Le Brésil luttait toujours vendredi soir (heure brésilienne) contre des dizaines de milliers d’incendies alimentés par la pire sécheresse jamais enregistrée dans le pays, où des villes majeures comme Sao Paulo et Rio de Janeiro sont menacées.
Qualité de l'air en berne à Sao Paulo et Rio de Janeiro, coucher de soleil rouge orangé à cause de la pollution : la fumée des intenses feux de forêt en Amazonie et dans d'autres régions se répandait, lundi 9 septembre, au Brésil, et atteignait également les pays voisins.
Au Brésil, ravagé par la sécheresse et les flammes, le feu est aussi devenu un allié pour la prévention des incendies dans les savanes. Cette approche s’inspire des savoirs indigènes.
Plus d'un millier de communes brésiliennes sont en état d'alerte jeudi, en raison d'une humidité très faible et parfois comparable à celle de déserts comme le Sahara, au moment où le pays affronte une sécheresse historique et des incendies en série.
Fin août, 34 000 hectares ont brûlé dans l'État de São Paulo, au Brésil. Une semaine après, à Ribeirão Preto, la commune la plus affectée, l'air est encore imprégné de fumée et d'autres feux menacent.
Pendant que les médias du monde entier multiplient les papiers sur l’interdiction de Twitter (X) au Brésil l’Amazonie et Pantanal brûlent dans la quasi indifférence, et cela depuis bientôt trois mois. Ce sont à la fois la plus grande forêt tropicale et la plus grande région humide au monde qui souffrent de sécheresses historiques, suivis de mégafeux dont la fumée étouffante fait l’objet de multiples vidéos sur les réseaux sociaux d’habitants ayant des difficultés à respirer.
Le média d'investigation De Olho Nos Ruralistas se veut comme la vigie de l'agrobusiness brésilien, de ses atteintes à l'environnement et de ses liens avec les sphères politiques.
Le Brésil est « en guerre contre les incendies et la criminalité », a déclaré, dimanche 25 août la ministre de l’Environnement, Marina Silva, alors que l’état d’urgence a été déclaré dans quarante-cinq villes de l’État de Sao Paulo, au sud-est du pays. La commune de Ribeirão Preto, qui compte plus de 700 000 habitants et se situe au cœur d’un important pôle agricole, est particulièrement touchée par les flammes.
Le Brésil est "en guerre contre les incendies et la criminalité", a déclaré dimanche 25 août la ministre de l'Environnement Marina Silva, alors que l'état d'urgence a été déclaré dans 45 villes de l'État de Sao Paulo (sud-est). À l'issue d'une réunion de crise avec le président Luiz Inacio Lula da Silva, la ministre a annoncé que des enquêtes avaient été ouvertes par la Police fédérale pour se pencher sur les causes des feux de brousse qui ont touché la région ces derniers jours.
La plus grande forêt tropicale de la planète est ravagée par de terribles incendies ces dernières semaines, en raison d'une sécheresse extrême.
Le prix des grains de café arabica ont grimpé de près de 4% à l’ouverture de la bourse de New York en raison des températures glaciales qui touchent plusieurs régions méridionales du Brésil, principal producteur de café. Les 100 livres de café ont à nouveau dépassé la barre des 240 dollars (environ 220 euros), comme en juillet dernier.
La fièvre d'Oropouche a causé la mort de deux personnes au Brésil, les premiers décès jamais constatés dans le monde dus à cette maladie, a annoncé jeudi le ministère de la Santé du pays sud-américain.
Blackened trees, dead animals and scorched earth – early wildfires have already devastated Brazil’s Pantanal and local people worry they may lose the battle to save them
Nombreux points sur le globe connaissent depuis plusieurs semaines des vagues de chaleur extrêmes accompagnées d’incendies difficilement contrôlables. Des situations appelées à se multiplier.
L'Amazonie brésilienne a connu au premier semestre 2024 une hausse spectaculaire de ses incendies. En cause : une sécheresse exceptionnelle qui a frappé le pays l'an passé.
En raison du déficit hydrique et de l’activité humaine, la plus grande zone humide de la planète brûle un peu plus chaque année, au risque de voir disparaître une biodiversité unique.
Ce n'est pas encore la saison sèche et pourtant, le Pantanal, plus grande zone humide de la planète, est déjà en proie aux flammes.
Des milliers de départs de feu ont eu lieu depuis le début de l’année dans cette importante zone humide, dans le centre-ouest du Brésil. ONG et autorités craignent que la saison sèche, qui vient à peine de débuter, ne donne lieu à des incendies encore plus importants qu’en 2020.
La plus grande zone humide de la planète, le Pantanal, sanctuaire de biodiversité au sud de l'Amazonie, est en proie aux incendies avant même le début de la saison sèche, le record de foyers pour un mois de juin ayant déjà été pulvérisé.
Le président brésilien a adopté une mesure visant à combattre les organisations criminelles qui contribuent à la déforestation de l’Amazonie, appelant son gouvernement à faire preuve d’« agilité » pour sa mise en place rapide.
Fondée en 2016 dans un contexte de vives tensions politiques, l’entreprise de médias Brasil Paralelo propose à ses 400 000 abonnés un vaste catalogue de films et de documentaires, et inonde les réseaux sociaux de contenus. Au programme : négationnisme climatique, faits alternatifs et réécriture de l’histoire.
The floods displaced more than 80,000 people, led to over 150,000 being injured and, on the 29th of May, to 169 fatalities with 44 people still missing (Governo do Estado de Rio Grande do Sul, 2024). Essential services were also disrupted, leaving 418,200 households without electricity and over a million consumer units without water. Dozens of municipalities lost telephone and internet services.
La déforestation de la région du Cerrado au Brésil, une savane réputée pour la richesse de sa biodiversité, a fortement progressé en 2023. Pour la première fois, elle a été supérieure à celle de l’Amazonie, selon un rapport.
Les géants pétroliers TotalEnergies et Petrobras ont décidé de lancer l'extension de deux champs pétroliers au Brésil, a annoncé lundi dans un communiqué TotalEnergies, en "forte croissance" dans ce pays d'Amérique latine.
Le Brésil vit l’une des pires catastrophes naturelles de son histoire, avec les inondations dans le sud du pays. Le gouvernement local est pointé du doigt, accusé d’avoir mal anticipé, puis mal géré ce désastre. Rio de Janeiro (Brésil), correspondance 162 morts, 82 disparus, 580 000 déplacés, 178 000 personnes sans électricité… Les inondations en cours dans le Rio Grande du Sud, dans le sud du Brésil, sont encore loin d’être finies, mais elles sont déjà l’une des plus graves catastrophes naturelles de (...)
Dans un incident bouleversant au large des côtes du Brésil, une jeune orque femelle de seulement 4,8 mètres de long a été retrouvée morte sur la plage de Serra, dans l’État d’Espírito Santo.
Le sud du Brésil, dévasté par des inondations historiques dont le bilan ne cesse de s'alourdir, est de nouveau frappé par d'intenses pluies qui doivent encore se renforcer au cours du week-end, ce qui complique le travail des équipes de secours et fait craindre de nouveaux dégâts. Les fortes averses du début du mois dans cet Etat agricole du sud du pays ont provoqué le débordement des cours d'eau, affectant près de deux millions de personnes et faisant 136 morts et 806 blessés, selon le dernier bilan de la Défense civile samedi soir.
Avec 141 personnes toujours portées disparues vendredi, les autorités craignent que le bilan ne continue de s’alourdir alors que la région s’attend à de « fortes » précipitations tout au long du week-end.
Les initiatives se sont multipliées mardi pour venir en aide aux centaines de milliers de personnes touchées par les inondations dans le sud du Brésil. Le bilan humain ne cesse de s'aggraver et la région redoute de nouvelles pluies en fin de semaine.
Étage après étage, les équipes de secours mènent des opérations délicates à Porto Alegre, métropole du sud du Brésil frappée par des inondations sans précédent, pour sauver les résidents piégés chez eux.
Les pluies torrentielles qui ont dévasté le sud du Brésil ont cessé de tomber lundi, mais la région reste envahie par les eaux et l'inquiétude s'accroît pour l'approvisionnement en eau et nourriture après cette catastrophe qui a fait au moins 83 morts.
Une course contre la montre est engagée dimanche dans le sud du Brésil pour faire face aux inondations monstres qui ont dévasté l’État du Rio Grande do Sul, provoquant la mort de près de 70 personnes et chassant de leur domicile plus de 80 000 autres.
Les précipitations ont diminué pendant la nuit de samedi à dimanche mais devraient persister pendant vingt-quatre à trente-six heures. Les autorités mettent désormais en garde contre les glissements de terrain.
Les inondations qui dévastent le sud du Brésil depuis plusieurs jours ont chassé près de 70.000 personnes de leur domicile et fait une soixantaine de morts et des dizaines de disparus, situation "dramatique" et "sans précédent" qui touche notamment la grande métropole Porto Alegre. Après avoir évoqué 57 morts, la défense civile a fait état samedi soir d’un bilan de 55 morts, avec en outre sept décès faisant l’objet d’une "investigation". Il y a aussi 74 disparus et 107 blessés.
Les inondations provoquées par de fortes pluies dans le sud du Brésil ont fait au moins 56 morts et 67 disparus, selon un nouveau bilan de la défense civile brésilienne samedi. Des routes ont été coupées par les flots et les communications sont perturbées dans l'État du Rio Grande do Sul, dont la capitale Porto Alegre est gravement touchée.
Entre inondations et glissements de terrain, le bilan s’aggrave dans l’Etat du Rio Grande do Sul après de violentes intempéries. De nouvelles pluies sont attendues.
Le bilan des intempéries qui se poursuivent dans le sud de Brésil ne cesse d’augmenter avec les découvertes des corps de nombreux disparus et de zones où les secours n’ont pu encore accéder : à la mi-journée mercredi les autorités ont fait état de 10 morts et 21 disparus.