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Riz
2025
Les pays du monde entier se trouvent à un moment critique de la bataille contre la pollution plastique. Alors que les négociations autour d’un traité mondial sur les matières plastiques touchent à leur fin, l’OCDE présente, dans ce rapport, les résultats d’un exercice de modélisation de scénarios d’action fondés sur différents types d’intervention : limiter la production et la demande, promouvoir l’écoconception, augmenter le recyclage et fermer les voies de rejet. Ce rapport éclaire sur les avantages environnementaux et les conséquences économiques qui pourraient découler des actions engagées pour mettre fin à la pollution par les plastiques d’ici à 2040, selon différents niveaux d’ambition : quels pays agissent, le caractère rigoureux des mesures et les phases du cycle de vie des plastiques auxquelles elles s'appliquent.
Après avoir dévoré plus de 40 000 hectares dans le Grand Canyon, l’incendie, déclenché par un éclair le 4 juillet, poursuit son parcours dans le grand Etat du sud américain.
Les besoins en investissements pour la transition sont énormes, chiffrés dans le plan fédéral énergie-climat de 2023 à environ 60 milliards dans l’énergie et l’isolation des bâtiments, et 22 à 27 milliards pour la mobilité décarbonée d’ici 2030. Une grande partie de ces investissements nécessaires devrait être publique, y compris au niveau fédéral. Pourtant, l’accord Arizona se distingue par l’absence de nouveaux investissements publics dans ces domaines. Pire, il acte des coupes budgétaires importantes dans des secteurs vitaux.
Le changement climatique va réduire la capacité de la planète à se nourrir: même en cas d'adaptation des pratiques agricoles, les rendements caloriques mondiaux de six cultures majeures, dont le blé ou le riz, seront inférieurs de 11 à 24% d'ici 2100, selon une étude publiée mercredi dans Nature.
Benyamin Nétanyahou affirme avoir frappé «le cœur du programme nucléaire militaire» de Téhéran. Le chef des Gardiens de la révolution et plusieurs figures militaires et scientifiques ont été tués, confirment les médias officiels iraniens.
L’usage de ce pesticide néonicotinoïde est autorisé dans le pays, notamment en traitement dans la culture du riz et des monocultures de pins.
Avec des si, on mettrait Paris en bouteille. Mais avec des si, également, la décarbonation de la capitale pourrait rapporter plus qu’elle ne va coûter. Le 20 novembre, le Conseil de Paris adoptait le Plan Climat 2024-2030. Son objectif est clair : diviser par deux les émissions de CO2 d’ici à 2030 et les supprimer totalement pour 2050. Une démarche coûteuse, mais qui pourrait aussi se révéler rentable, selon une étude de l’Observatoire français des conjonctures économiques réalisée à la demande de la mairie… A condition que certaines hypothèses soient validées, et que l’on mette la main au portefeuille.
On ne le goûte pas, on ne le sent pas et pourtant il est là. L’arsenic est naturellement présent dans le riz. Mais les concentrations augmenteraient à cause du réchauffement climatique, selon une étude publiée dans The Lancet Planetary Health. Et cela pourrait avoir un impact bien concret sur notre santé : risques de cancers, de diabète, troubles cardiovasculaires… Alors qu’en est-il vraiment ? Le riz pourrait-il un jour devenir impropre à la consommation ? Y a-t-il des solutions pour consommer du riz en toute sécurité ? On fait le point.
"Des horizons inconnus" : 84 % des récifs coralliens touchés par un épisode de blanchissement inédit
- France24,
Le nouvel épisode mondial de blanchissement des coraux, en cours depuis janvier 2023, a touché 84 % des récifs coralliens du monde, selon l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique. Il s'agit de l'épisode "le plus massif jamais enregistré" – et le deuxième en moins de dix ans.
Le réchauffement climatique menace le riz et la santé de milliards de personnes dans le monde. Dans la revue scientifique The Lancet Planetary Health, une étude tire la sonnette d’alarme : les changements atmosphériques augmentent la concentration d’arsenic dans ce céréale.
Depuis son investiture, Donald Trump multiplie les attaques contre les sciences aux États-Unis. Coupes budgétaires, gel des embauches et interdiction de mots dans les articles scientifiques inquiètent les chercheurs outre-Atlantique. Et nombre d’entre eux pourraient bien songer à changer d’air pour poursuivre leur carrière en Europe ou au Canada. Une chercheuse américaine a accepté de témoigner auprès de France 24 de ses difficultés personnelles actuelles.
Hier zijn we weer: een paar maanden verder, met een nieuwe federale regering in het zadel. Maar van een frisse wind in het klimaatbeleid is amper sprake. De retoriek is er wel: we lezen in het regeerakkoord dat het Akkoord van Parijs gerespecteerd zal worden, maar er staat geen beleid klaar om deze belofte waar te maken. Integendeel. De fossiele subsidiekraan blijft gul openstaan (€15 miljard per jaar), de elektrificatie van bedrijfswagens wordt uitgesteld en de vergroening van de fiscaliteit blijft uit. Op een paar sprokkels na, ja de BTW op warmtepompen wordt verlaagd en de regering zal een combiticket voor het openbaar vervoer invoeren, is het vruchteloos zoeken naar de broodnodige hervormingen om de uitstoot drastisch te verminderen en ons land fossielvrij en klimaatneutraal te maken.
Des chercheurs ont mis au point une nouvelle variété de riz à haut rendement qui réduit de 70 % les émissions de méthane. Elle a été créée sans OGM, par simple croisement sélectif.
En 2030, la Belgique devra avoir réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 47 % par rapport à 2005 dans le transport, le logement, l’agriculture, les déchets, les commerces, etc. Elle s’y est engagée et c’est une obligation européenne.
Les négociateurs du nouveau gouvernement fédéral peuvent faire une croix sur leurs projets de prolongation de réacteurs...
L’asbl Ramur se plaint dans un communiqué de coupes d’arbres massives dans la vallée du Frizet, sur les entités de...
2024
..C’est une crise des vivants : sous la forme de la sixième extinction des espèces, comme de la fragilisation des dynamiques écologiques par le changement climatique, et de la réduction des potentiels d’évolution de la biosphère. Mais c’est aussi une crise d’autre chose, de plus discret, et peut-être plus fondamental. Ce point aveugle (c’est l’hypothèse de travail), c’est que cette crise actuelle, plus qu’une crise des sociétés humaines d’un côté, plus qu’une crise des vivants de l’autre, est une crise de nos relations au vivant.
Le cercle de réflexion, surtout connu pour ses travaux en matière d’énergie, publie une analyse prospective des contraintes qui pèsent sur le secteur agricole et espère, malgré le contexte de tensions, ouvrir le débat sur les transitions à planifier.
Sur la planète Terre, une rivière vivante s’entoure de milieux humides qui protègent la vie. Pourtant, nous lui avons pris ces milieux pour déployer nos villes et nos agricultures industrielles. Corsetées, drainées, bétonnées, les rivières ne peuvent plus nous préserver d’un climat déréglé. Face au péril, il est temps de rendre l’eau à la terre, pour abreuver les déserts que l’extractivisme nous laisse en héritage. Comment ramener l’eau à la vie ?
Phoenix, la capitale de l’Arizona, a enregistré, mardi, son centième jour d’affilée à plus de 37,8 °C. Du jamais-vu.