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financier
2025
Les médias américains se sont entichés d'un nouvel acronyme : "Taco", pour "Trump always chickens out", soit "Trump se dégonfle toujours". Ce simple mot de quatre lettres, inventé par un journaliste du Financial Times, pourrait entraîner de nouvelles secousses sur les marchés financiers. France 24 vous explique pourquoi.
Alors qu’une proposition de loi prévoyant de revenir sur des interdictions d’utilisation de pesticides dangereux arrive bientôt à l’Assemblée nationale, le biologiste Marc-André Selosse déplore, dans une tribune au « Monde », que les pratiques permettant de préserver la santé des agriculteurs et des citoyens ne soient pas encouragées.
Une étude, publiée dans « Nature Climate Change », le 7 mai, quantifie, pour la première fois, à quel point la consommation et les investissements financiers contribuent à accroître les vagues de chaleur et les sécheresses.
Le gouvernement a suspendu en février 2024 le plan Ecophyto, qui vise à réduire l’usage des pesticides en France. Dans une tribune au « Monde », un collectif de 379 élus le déplore en rappelant la haute toxicité de ces produits, ainsi que leur coût pour la communauté, évalué à 18 milliards d’euros par an, entre frais médicaux, indemnisations, dépollutions et soutiens à l’agriculture conventionnelle.
En plein chaos économique et financier, Donald Trump, Elon Musk et le secrétaire au Trésor, Scott Bessent – les trois figures de la politique économique américaine –, ont annoncé chacun une nouvelle, mardi 22 avril, attestant d’un léger retour à l’orthodoxie économique susceptible de requinquer les marchés financiers. Le président américain a fait savoir qu’il n’avait pas l’intention de limoger Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale (Fed) avant la fin de son mandat, en 2026, après l’en avoir menacé depuis quelques jours.
Belgische banken investeren nog steeds miljarden in bedrijven die bijdragen aan grootschalige ontbossing. Dat blijkt uit het nieuwe onderzoeksrapport van FairFin en Bos+.
« L’administration Trump poursuit son détricotage des normes en matière de transparence financière »
- Solène Clément,Patrick Lefas
En mettant fin à l’obligation de déclarer les bénéficiaires effectifs – le nom des détenteurs de sociétés –, les États-Unis tournent le dos à la transparence financière, constatent Solène Clément, avocate, et Patrick Lefas, président de Transparency International France, dans une tribune au « Monde ».
Exceptionnellement réunis en Italie cette semaine, les représentant·es de 196 États ont effacé l’échec de la COP16 sur la biodiversité d’octobre dernier en Colombie. Pays développés et en développement ont trouvé un compromis encourageant sur le financement de la protection de la nature.
Quatre mois après la brutale clôture de la COP16 en Colombie, au cours de laquelle aucun accord financier n’avait été trouvé, les négociations ont débouché sur un compromis lors d'une seconde session à Rome.
Le CFPB, agence de protection financière des consommateurs mise en place aux Etats-Unis après la grande crise de 2008, a été particulièrement ciblé. Tout travail y a été gelé par son nouveau directeur, nommé par le président américain. Et ce n’est qu’un début.
La COP a moitié vide. Après l’échec de la COP 16 sur la biodiversité en octobre dernier, les 196 pays participants se retrouvent à Rome ce mardi. L’objectif des trois jours de négociations : trouver un accord financier sur la protection de la nature.
La commission pour l'efficacité du gouvernement américain (Doge), dirigée par Elon Musk, est en train de se préparer un accès à un système ultra sensible du fisc où se trouvent des données financières détaillées des contribuables et entreprises, affirment lundi plusieurs médias.
Créés pour gérer les excédents budgétaires des États, les fonds souverains sont devenus des acteurs incontournables de l’économie mondiale. Entre stratégies d’investissement à long terme et enjeux de gouvernance, ces instruments financiers suscitent autant d’intérêt que de débats. Pour mieux comprendre leur fonctionnement et leur impact, nous avons interrogé deux professeurs d’économie financière.
Le géant gazier russe Gazprom, en proie à des difficultés financières résultant de l’assaut de Moscou contre l’Ukraine, envisage de supprimer environ 40% des postes au sein de son siège à Saint-Pétersbourg (nord-ouest), a indiqué lundi à l’AFP un porte-parole du groupe.
Le géant gazier russe Gazprom, en proie à des difficultés financières résultant de l'assaut de Moscou contre l'Ukraine, envisage de supprimer environ 40% des postes au sein de son siège à Saint-Pétersbourg (nord-ouest), a indiqué lundi à l'AFP un porte-parole du groupe. Cette annonce intervient deux semaines après la fin du lucratif transit de gaz russe via l'Ukraine, une décision prise par Kiev pour limiter les revenus de Moscou après trois ans de conflit.
2024
Milton, Helene, Beryl, Boris, Kong-rey, Kirk… Ces noms résonnent pour les assureurs et les pays comme des gouffres à milliards, causés en l’espace de quelques heures par des inondations et des intempéries extrêmes. L’Europe, l’Asie et le nord de l’Amérique, aucun territoire n’est à l’abri. Ces événements mettent en question la viabilité et la pérennité des régions touchées au hasard des vents. Si le nombre de morts reste pour l’instant supportable par la communauté, les coûts financiers explosent et la quantité d’hydrocarbures et d’électricité nécessaires à la remise en état grimpe de manière exponentielle.
Ethnobotaniste et directrice de recherche à l’Institut de recherche pour le Développement, Geneviève Michon dénonce le développement de l’industrie de la forêt, encouragé par une supposée «transition verte».
Les soixante-trois projets de terminaux d’exportation de GNL prévus d’ici à 2030 pourraient émettre plus de 10 milliards de tonnes de CO2 à cet horizon, quasiment l’équivalent des émissions annuelles des centrales à charbon, selon l’ONG Reclaim Finance.
Les pays développés se sont engagés dans la nuit de samedi 23 novembre à dimanche 24 novembre à Bakou à financer davantage les pays pauvres, au terme d’un sommet climat chaotique. Mais le texte ne satisfait pas les pays en développement.
Nations riches et en développement sont entrées jeudi dans la dernière phase des négociations autour du montant de l'aide financière à la COP29, et les cartes commencent à s'abattre, avec une demande plus précise de l'énorme groupe de pays du G77+Chine.Une plénière baptisée « kouroultaï »Le représentant de cette alliance de 134 pays du Sud a réclamé à l'UE, au Japon ou aux États-Unis "au moins" 500 milliards de dollars de financements par an pour le climat d'ici 2030.