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Cerveau
2025
Et si les machines pouvaient raisonner avec l’efficacité du cerveau humain, tout en consommant une fraction de l’énergie nécessaire aux géants actuels de l’intelligence artificielle ? C’est le pari audacieux d’une équipe de chercheurs de l’Académie chinoise des sciences, à Pékin, qui vient de présenter SpikingBrain 1.0, un modèle de langage de nouvelle génération. Inspiré du fonctionnement neuronal, ce système pourrait bouleverser notre manière de concevoir l’IA, en alliant rapidité, sobriété énergétique et indépendance technologique.
Et s’il devenait possible de converser avec une intelligence artificielle simplement par la pensée ? Spécialisée dans les interfaces cerveau-machine, la société Neuralink va débuter des essais d’ici sous peu, afin de tenter de valider cette technologie assez particulière.
Imaginez pouvoir communiquer sans prononcer un seul mot, simplement en pensant à ce que vous voulez dire. Ce qui relevait hier encore de la science-fiction devient aujourd’hui une réalité tangible grâce aux travaux révolutionnaires menés par une équipe de l’université de Stanford. Leur dernière innovation pourrait transformer radicalement la vie de millions de personnes privées de la parole, tout en soulevant des questions éthiques fondamentales sur la protection de nos pensées les plus intimes.
Une entreprise singapourienne vient de bouleverser le monde de l’intelligence artificielle avec une approche révolutionnaire. Alors que les géants technologiques misent sur des modèles toujours plus massifs comptant des milliards de paramètres, Sapient a développé une IA de seulement 27 millions de paramètres qui surpasse les dernières créations d’OpenAI et d’Anthropic. Le secret ? S’inspirer directement du fonctionnement hiérarchique du cerveau humain pour repenser entièrement la façon dont les machines raisonnent. […] Lors des tests sur le benchmark ARC-AGI, considéré comme l’un des défis les plus redoutables pour mesurer les capacités de raisonnement des IA, le petit modèle de Sapient a créé la surprise. Avec un score de 40,3%, il a devancé o3-mini-high d’OpenAI (34,5%), Claude 3.7 d’Anthropic (21,2%) et Deepseek R1 (15,8%). Une performance d’autant plus remarquable que ces concurrents mobilisent des ressources computationnelles infiniment supérieures.
Véritable fléau mondial, les microplastiques sont présents un peu partout et de plus en plus, la question de leurs impacts sur la santé humaine se pose. Ces derniers franchissent en effet les barrières naturelles et pénètrent les poumons, le cerveau ainsi que d’autres organes, déstabilisant nos défenses les plus basiques.
Des résultats prometteurs obtenus ces dernières années sur des modèles animaux laissent entrevoir la possibilité, plus proche que jamais, d’appliquer l’édition génétique au cerveau humain. Alors que la technique a déjà fait ses preuves dans le traitement de maladies sanguines ou oculaires, les affections cérébrales semblaient, jusqu’à récemment, inaccessibles. Les chercheurs espèrent désormais lancer les premiers essais cliniques dans les prochaines années.
Peu problématique en France, l’amibe mangeuse de cerveau Naegleria fowleri nécessite la plus grande prudence en cas de voyage dans certains pays chauds. Selon les experts, sa prolifération pourrait être favorisée par l’actuel réchauffement climatique.
Pourquoi avons-nous tant de mal à nous adapter au changement climatique ? Quand l’asphalte chauffe, le thermomètre ne suffit pas à guider notre action : c’est notre manière de lire ses chiffres qui va décider de nos gestes. Perceptions, émotions et normes sociales forment un récit qui guide nos comportements – et qui façonne nos vulnérabilités face aux chaleurs extrêmes.
Israël fait face à une émigration accrue depuis "l'après 7-Octobre", et les départs n'ont pas été compensés par les entrées sur le territoire en 2024. Les Israéliens qui choisissent de partir ont tendance à être plus diplômés que la moyenne nationale. Enlisé dans la guerre, l'État hébreu est-il menacé par une fuite de "ses cerveaux" ?
Le sujet préoccupe de plus en plus les scientifiques, dont certains se veulent prudents.
Des travaux de l’Institut Pasteur, publiés le 22 juillet, montrent que le virus du Covid-19 peut se loger pendant plus de 80 jours dans une partie du cerveau, s’accompagnant de signes de «dépression, de troubles de la mémoire et d’anxiété».
Imaginez un parasite capable d’infiltrer votre cerveau, d’y modifier subtilement vos réactions, vos émotions, voire votre prise de risque. […] Toxoplasma gondii est un protozoaire unicellulaire dont l’hôte final est le chat. C’est chez ce félin que le parasite peut se reproduire sexuellement. Mais pour y arriver, il doit souvent passer par un hôte intermédiaire, comme un rongeur… ou un humain.
Le chef adjoint de cabinet du président américain, fidèle parmi les fidèles, est l’un des artisans de la politique d’expulsion massive qui suscite des manifestations à Los Angeles et dans le reste du pays. Et l’un des plus influents penseurs du trumpisme et de sa contre-révolution réactionnaire.
Des chercheurs ont mis au point des réseaux de neurones artificiels dits « infomorphes », capables d’apprendre de manière autonome et auto-organisée à partir de leur environnement immédiat.
Vitesse de transfert d'information, consommation d'énergie, stockage, réactivité : en cette journée internationale des mathématiques, une comparaison s'impose.
Les licenciements massifs opérés sous la férule d’Elon Musk et de son “département de l’efficacité gouvernementale” (Doge) se poursuivent à un rythme effréné. En tout, rapporte Reuters, 62 530 employés de 17 agences ont perdu leur emploi en janvier et février. “Un exode international est-il à prévoir ?” s’interroge le New York Post.
Des études antérieures ont déjà mis en évidence la présence de microplastiques dans plusieurs organes humains, notamment les poumons, le foie, les reins et même le placenta. Plus récemment, des recherches menées sur des modèles murins ont révélé que ces particules pouvaient s’accumuler dans la circulation sanguine cérébrale, entraînant des obstructions et menant parfois à des troubles neurologiques.
La pollution plastique ne se contente plus d’envahir les océans et l’atmosphère : elle s’insinue dans notre propre organisme, y compris dans notre cerveau. Une étude récente, publiée le 5 février 2025 dans la revue Nature Medicine, révèle une accumulation inquiétante de microplastiques et nanoplastiques dans le cerveau humain, posant de nombreuses questions sur ses impacts sur la santé.
Des chercheurs ont analysé des échantillons de cerveau obtenus lors d'autopsies aux États-Unis et ont fait plusieurs découvertes.
On savait que de toutes petites particules de plastique pénétraient dans le corps humain. Une nouvelle étude montre que leur concentration a augmenté au fil du temps, en particulier dans le cerveau, en même temps que la production de ces matériaux continue de croître.