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bernard
2025
Les auditions au parlement de Wallonie ont été marquées par l’intervention atypique d’Alfred Bernard, en rupture avec les autres experts. Le toxicologue, lui, ne cache pas son action politique.
Le patron multimilliardaire de LVMH s’en prend ce samedi 20 septembre dans le journal britannique «Sunday Times» à l’économiste qui propose la taxe sur les grandes fortunes défendue par la gauche.
Un racisme viscéral, exprimé dans les termes les plus crus, irrigue les décisions du président américain.Tourmentées à raison par les rodomontades zigzagantes du président des États-Unis, Donald Trump, sur les taxes douanières ou les guerres en Ukraine, à Gaza et ailleurs, les opinions publiques européennes ne font plus grand cas, il faut bien le reconnaître, de sa gestion de la question migratoire. Or, l'enjeu est considérable, les convulsions, majeures, et les impacts, désastreux. Certes il est encore trop tôt pour dire si, quantitativement, l'actuel occupant de la Maison Blanche fera "mieux" que ses prédécesseurs – rappelons que le premier mandat de Trump avait enregistré plus d'entrées illégales que sous Obama, bien moins d'expulsions que sous Obama ou Biden et nettement moins de kilomètres de mur frontalier construits... –, mais le caractère humainement ignoble des décisions et actes politiques en cours, lui, est déjà avéré.
Cet été ont débuté les travaux préparatoires d’un très grand aménagement hydroélectrique chinois au Tibet, avec une cérémonie d’inauguration organisée à cette occasion mi-juillet. Ce projet inclut cinq usines hydroélectriques entre la ville de Lingzhi (altitude 2 900 m) et la ville de Medog (altitude 700 mètres), avec une puissance attendue d’environ 60 GW. Soit approximativement la capacité installée de l’ensemble du parc nucléaire français. Que sait-on aujourd’hui de ce projet titanesque(1) ?
Dans le processus de reconnaissance de l'État palestinien, c'est à nouveau la logique du "deux poids, deux mesures" qui prévaut.
La Chambre des députés a voté un texte sur l’assouplissement des réglementations qui permet d’ignorer largement les impacts sur l’environnement des projets jugés stratégiques. Sur ce sujet, la position du président Lula est ambiguë.
Alors que la contestation des politiques issues du constat scientifique du réchauffement climatique gangrène le débat, dans le domaine juridique aussi d’autres formes de vérités parallèles se développent, et pas seulement aux États-Unis, alerte dans sa chronique Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ». […] Lorsque la vérité politique prime sur les faits établis, la démocratie, la science et la rationalité elles-mêmes sont en danger. L’allure de purges et d’opérations de censure qu’ont pris, aux Etats-Unis de Donald Trump, le limogeage massif de scientifiques travaillant sur les questions de climat, de santé et de sciences humaines, et le bannissement de certains sujets de recherche, valide, aussi hallucinant que cela paraisse, la référence au stalinisme.
Bruno Bernard, président écologiste de la métropole de Lyon, appelle tous les responsables politiques à «partager collectivement le constat des périls climatiques à venir».
Dans une interview au « Soir », Pierre Wunsch, le gouverneur de la Banque nationale de Belgique, se montrait très critique sur le « narratif » de la transition climatique. Et s’interrogeait sur des publications scientifiques trop pessimistes. Nadia Cornejo (Greenpeace Belgique) se dit « atterrée ».
Poutine restera dans l'Histoire comme celui qui a déclenché la plus grande guerre en Europe depuis la fin de la deuxième guerre mondiale il y a 80 ans. On retiendra que cette guerre n'aura pas eu de réel vainqueur et n'a fait que des perdants.
L’Arizona confirme les engagements climatiques, axe sa politique sur la décarbonation de l’électricité, un changement de fiscalité indirecte et le soutien aux entreprises. Nucléaire prolongé, TVA ajustée, tax shift envisagé… en veillant à ne pas nuire à la compétitivité.
2024
«On ne peut poursuivre un développement infini dans un monde fini. » La formule est familière des cercles écologistes et décroissantistes, mais qui connaît son véritable auteur ? Bernard Charbonneau l’employait dès 1944 selon son ami le penseur libertaire Jacques Ellul.
Près de Paris, l’association Halage travaille à développer la biodiversité sur un terrain utilisé pendant plus de deux siècles pour stocker débris et matériaux. Un projet écologique doublé d’une dimension sociale.
Animale ou végétale, locale ou de saison, gaspillée ou suremballée... L’alimentation est une cause majeure de la production de CO2.
La lutte contre l'A69, projet d'autoroute qui relie Toulouse à Castres, pourrait s'intensifier sous peu. Les opposants appellent à un rassemblement à Saïx (Tarn) ce 28 août.
Le média d'investigation De Olho Nos Ruralistas se veut comme la vigie de l'agrobusiness brésilien, de ses atteintes à l'environnement et de ses liens avec les sphères politiques.
Des incendies massifs ravagent le Pantanal, plus grande zone humide au monde, dans l’ouest du Brésil. Les coupables ? Possiblement les grands éleveurs bovins, qui ont déjà déclenché des feux pour gagner des terres de pâturage. Rio de Janeiro (Brésil), correspondance Après les mégafeux de 2020, les gigafeux de 2024 ? Dans le Pantanal, plus grande zone humide au monde située à l’ouest du Brésil, l’Institut national de recherches spatiales enregistre déjà plus de 3 200 foyers d’incendie depuis le début de (...)
Il a plu souvent et beaucoup le mois dernier, relève l’IRM dans son bilan climatologique mensuel. A Uccle, on a enregistré 23 jours de précipitations. Le printemps 2024 a été le deuxième plus humide depuis 1833.
Le Brésil vit l’une des pires catastrophes naturelles de son histoire, avec les inondations dans le sud du pays. Le gouvernement local est pointé du doigt, accusé d’avoir mal anticipé, puis mal géré ce désastre. Rio de Janeiro (Brésil), correspondance 162 morts, 82 disparus, 580 000 déplacés, 178 000 personnes sans électricité… Les inondations en cours dans le Rio Grande du Sud, dans le sud du Brésil, sont encore loin d’être finies, mais elles sont déjà l’une des plus graves catastrophes naturelles de (...)
Une mine de terres rares est creusée dans le flanc d’une montagne à Pangwa, dans l’Etat Kachin (Birmanie), en 2022. Ah Brang, un travailleur birman (son prénom a été modifié), traîne des sacs d’acide oxalique jusqu’au bassin de collecte d’une mine située dans l’Etat Kachin, dans le nord de la Birmanie. Il mélange ensuite ce produit chimique à de l’eau avec un bâton, protégé uniquement par un imperméable et des gants. « Même si vous portez un masque, votre gorge vous brûle et vous toussez beaucoup. C’est comme si vous mangiez [ce produit], ça a un goût aigre et piquant », décrit-il.