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2025
Oliewinning in de monding van de Amazone hangt als een donkere wolk over de komende klimaattop, die over precies een maand plaatsvindt. MO* trok alvast naar de Braziliaanse gaststad, Belém, geklemd tussen een zee van groen en een zee van blauw.
Gavin Newsom, qui pourfendait il y a encore un an leurs « mensonges » et leur « cupidité », a opéré un revirement qui consterne les écologistes.
Issus à 99 % du pétrole, les plastiques alimentent la crise écologique et climatique tout au long de leur cycle de vie. Derrière l’image trop familière des déchets qui polluent les rivières puis les océans, la production et le recyclage des plastiques sont aussi source d’émissions considérables de gaz à effet de serre, de quoi compromettre les efforts mondiaux de réduction des émissions. Surtout, les plastiques, un débouché du pétrole, entretiennent la dépendance de l’économie aux énergies fossiles. Le risque serait qu’ils deviennent la planche de salut des industriels de la pétrochimie à l’occasion de la COP30 sur le climat, qui se déroulera du 10 au 21 novembre 2025, à Belem, au Brésil.
Kiev intensifie depuis début août ses frappes sur les raffineries et les infrastructures pétrolières russes, avec une trentaine d'attaques, la dernière en date lundi, afin d'affaiblir la capacité de Moscou à financer sa guerre. Explications.
Des centaines de tankers, dont les propriétaires sont dissimulés derrière des sociétés-écrans, permettent à la Russie d’écouler 60 % de son pétrole. Moscou est accusé d’utiliser ces navires pour endommager des câbles sous-marins et lancer des drones.
Le président français Emmanuel Macron a appelé jeudi à "accroître la pression" sur la flotte fantôme russe, dont l'un des pétroliers a été intercepté au large des côtes françaises et est visé par une enquête pour "délits maritimes". Les commandos marine français ont arraisonné samedi le "Boracay", un navire battant pavillon du Bénin et appartenant à la flotte utilisée par Moscou pour contourner les sanctions occidentales contre ses ventes de pétrole depuis l'invasion de l'Ukraine.
Le président russe a dénoncé, ce jeudi 2 octobre, l’interception au large des côtes françaises d’un navire qui pourrait appartenir à la flotte fantôme de Moscou.
Le navire, qui a jeté l’ancre près des côtes françaises depuis plusieurs jours alors qu’il devait rejoindre l’Inde, est soupçonné d’avoir servi au lancement de drones dans l’espace aérien danois.
Deux membres d'équipage d'un pétrolier de la flotte fantôme russe arraisonné au large de la Bretagne, ont été placés en garde à vue, a annoncé mercredi le parquet de Brest, une semaine après que ce navire a navigué près du Danemark quand le pays a connu des vols suspects de drones au-dessus d'aéroports. Ces deux membres d'équipage "se présentent comme le commandant du navire et son second", a précisé à l'AFP Stéphane Kellenberger, procureur de la République de Brest. Baptisé "Pushpa" ou "Boracay", le navire de 244 mètres de long, battant actuellement pavillon du Bénin, est sous sanctions européennes pour son appartenance à la flotte utilisée par Moscou pour contourner les sanctions occidentales contre ses ventes de pétrole.
L'Irak a repris samedi ses exportations de pétrole de la région autonome du Kurdistan, dans le nord du pays, après plus de deux ans d'interruption en raison de différends juridiques et techniques, a indiqué un média d'Etat. Le contrôle des exportations pétrolières a constitué un point de tension majeur entre Bagdad et Erbil, la capitale du Kurdistan irakien, ce qui avait mené à la fermeture depuis 2023 d'un important oléoduc vers la Turquie. L'agence de presse officielle INA a annoncé la "reprise des exportations de pétrole depuis les champs de la région du Kurdistan irakien".
Si Moscou intensifie ses attaques contre les réseaux gaziers et les centrales électriques ukrainiennes avant l'arrivée de l'hiver, Kiev riposte en accélérant le rythme des frappes sur les installations pétrolières russes. Objectif : enrayer la machine de guerre et déstabiliser l'économie russe.
TotalEnergies a remporté, conjointement avec l'allemand RWE, l'appel d'offres du projet éolien en mer "Centre Manche 2", à une quarantaine de kilomètres des côtes normandes, qui disposera d'une capacité de 1,5 gigawatt, a annoncé mercredi le gouvernement démissionnaire. Pour TotalEnergies, il "s'agira du plus grand projet d'énergie renouvelable jamais développé en France", a indiqué le groupe dans un communiqué.
Un tribunal américain a donné son feu vert à la reprise des travaux d'un des parcs éoliens du groupe danois Ørsted aux États-Unis, bloqué par l'administration Trump, faisant bondir son action mardi. Washington avait ordonné fin août l'arrêt des travaux sur un immense projet en mer au large des côtes de la Nouvelle-Angleterre, baptisé Revolution Wind, pourtant achevé à 80%. Le danois Ørsted, leader du développement d'énergie éolienne offshore, avait quelques jours plus tard, le 4 septembre, déposé une plainte auprès d'un tribunal de la capitale américaine. Lundi, ce tribunal a autorisé la reprise des travaux, le temps de l'examen de la plainte. "Cette décision permet à Revolution Wind, LLC de reprendre les activités affectées pendant que la procédure judiciaire contestant l'ordre de suspension se poursuit", a indiqué Ørsteddans un communiqué(1). "Revolution Wind continuera à travailler en collaboration avec l'administration américaine et les autres parties prenantes afin de parvenir à une résolution
La Belgique s’est engagée à atteindre la neutralité climatique en 2050. Mais à mesure que cette date butoir approche, de nombreuses questions subsistent. C’est notamment le cas pour la façon dont notre pays produira son électricité, dont la consommation pourrait plus que doubler dans les 25 prochaines années. D’où proviendra-t-elle alors ?
La major française devra livrer des documents internes liés à son mégaprojet Eacop, après une décision du tribunal de Paris jeudi. Un pas en avant pour les ONG et les riverain·es, qui dénoncent des expropriations massives et de graves atteintes tant aux droits humains qu’à l’environnement.
Les rapports de l'Agence Internationale de l'Energie sur le futur de l'offre pétrolière sont toujours des documents qui disent quelque chose tout en prenant grand soin de ne pas en dire trop :). Cet organisme, désormais assez connu, a été créé en 1975, à la suite du premier choc pétrolier, et regroupait les principaux importateurs de pétrole à l'époque (dont les USA, devenus depuis autosuffisants). […] ... ce que dit cette analyse est qu'il faut peut-être s'attendre à un déclin subi de l'offre mondiale dans pas très longtemps. A méditer !
Le président nigérian Bola Tinubu a annoncé mercredi que l'Etat d'urgence, déclaré il ya six mois dans l'Etat riche en pétrole de Rivers (sud du Nigeria) en raison d'une crise politique, prendrait fin ce jour à minuit. La mesure permet le retour au pouvoir dès jeudi du gouverneur local civil Siminalayi Fubara. En mars, M. Tinubu a nommé le vice-amiral à la retraite Ibok-Ete Ibas pour administrer temporairement cet Etat, dans un contexte de luttes politiques internes depuis 2023 qui ont paralysé le pouvoir législatif local, ainsi que d'une série d'attaques contre les infrastructures pétrolières.
Investir dans de nouveaux projets pétroliers et gaziers pourrait s'avérer indispensable, rapporte mardi l'Agence internationale de l'Energie, alors que l'administration du président Donald Trump exerce une forte pression pour qu'elle adopte des prévisions moins défavorables aux énergies fossiles. Dans un rapport fondé sur l'analyse des données de 15.000 champs d'hydrocarbures, l'agence de l'OCDE basée à Paris fait le constat que les déclins de production des sites pétroliers et gaziers existants, liés à l'épuisement naturel des réservoirs, "se sont accélérés, avec des implications pour les marchés et la sécurité énergétique". Environ 90% des investissements actuels servent à "compenser les pertes d'approvisionnement dans les champs existants", détaille Fatih Birol, le directeur exécutif de l'AIE, dans un communiqué, mais cela ne suffit pas, selon ses analystes.
[Les idées reçues sur l’énergie] Beaucoup pensent qu’il faudrait arrêter de subventionner l’éolien et le photovoltaïque, qui coûteraient un pognon de dingue, alors que la France peut s’appuyer sur son nucléaire. Vraiment ?
L'administration Trump envisage de lever l'obligation faite aux industries américaines les plus polluantes de calculer leurs émissions de gaz à effet de serre. Une mesure qui empêcherait de tenir pour responsables de leurs actions les entreprises au bilan carbone dévastateur – à commencer par celles du secteur pétrolier.