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En Corée du Sud, les flammes sont reparties, tôt samedi 29 mars, à Andong, ville de la province du Gyeongsang du Nord (dans le sud-est du pays), poussant les autorités à déployer huit hélicoptères dans cette zone, selon un responsable des services forestiers. Les pompiers, aidés par la pluie, étaient pourtant parvenus à éteindre, vendredi, le principal foyer de la région.
Une série de feux de forêt, parmi les plus dévastateurs de l'histoire de la Corée du Sud, a fait au moins 24 morts, entraînant des "dommages sans précédent" et dépassant toutes les prévisions.
Depuis samedi, des feux de forêt ravagent l’est du pays. Vingt-trois personnes ont été tuées dans les incendies et douze autres sont gravement blessées. Le pilote d’un hélicoptère déployé pour lutter contre les feux est mort dans le crash de son appareil ce mercredi.
Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie "montrait sa volonté de guerre" en multipliant les conditions à un cessez-le-feu, à la veille d'un sommet international convoqué à Paris pour soutenir l'Ukraine. De son côté, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, en déplacement en Jamaïque, a reconnu que parvenir à un accord de paix entre Moscou et Kiev "ne sera pas simple" et "prendra du temps", nuançant l'optimisme manifesté depuis des semaines par le président Donald Trump.
Une délégation emmenée par le ministre de la défense ukrainien, Rustem Umerov, a échangé avec des responsables américains, dimanche à Riyad, en vue d’un éventuel cessez-le-feu. Lundi, c’est au tour des Russes de s’asseoir à la table des négociations.
Plus de 2 600 pompiers et soldats, appuyés par des dizaines d’hélicoptères, sont mobilisés dans le sud et le sud-est de la Corée du Sud pour lutter contre les violents incendies de forêt qui ravagent la région
Un établissement sous tutelle. L’université new-yorkaise Columbia a accepté vendredi 21 mars d’engager les réformes drastiques demandées par l’administration de Donald Trump, pour ne pas perdre ses 400 millions de dollars de subventions fédérales. Il s’agit d’une concession majeure pour la prestigieuse université, depuis plusieurs semaines sous le feu du président américain.
La coalition de "pays volontaires" en ordre de marche ? Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine se retrouvent jeudi 20 mars à Londres pour discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Le dossier ukrainien et celui de la défense européenne face à la menace russe figurent également au menu d'un sommet de l'UE à Bruxelles jeudi, le troisième sommet de chefs d'État en six semaines.
Vladimir Poutine et Donald Trump se sont accordés mardi sur une trêve limitée aux infrastructures énergétiques mais leur conversation téléphonique très attendue s'est conclue sans percée majeure en vue d'un réel accord de cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine.
Le cessez-le-feu évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Le président russe et son homologue américain sont convenus mardi d’un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine concernant uniquement les infrastructures énergétiques. Pour la presse européenne, cette trêve limitée permet à Trump de “sauver la face” mais montre surtout que Poutine continue d’imposer “son tempo et ses conditions”.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Les négociations sur un cessez-le-feu en Ukraine "vont commencer dimanche à Jeddah", en Arabie saoudite, a affirmé mardi l'émissaire américain Steve Witkoff sur la chaîne Fox News mardi, après une discussion téléphonique entre le président Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine.
Les présidents de la Russie et des États-Unis se sont entretenus longuement ce mardi par téléphone. Le Kremlin a accepté une pause de trente jours des frappes russes et ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques. Un résultat qui paraît en deçà des espoirs de la Maison-Blanche, selon la presse d’outre-Atlantique.
La trentaine de dirigeants soutenant l'Ukraine qui ont participé samedi à un sommet virtuel organisé par Londres ont décidé d'exercer une "pression collective" sur la Russie, qu'ils soupçonnent de vouloir poursuivre la guerre, pour la pousser à accepter un cessez-le-feu.
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
En posant des conditions inacceptables à la proposition de cessez-le-feu des États-Unis tout en affirmant vouloir dialoguer avec Donald Trump, le président russe emploie une tactique éprouvée : gagner du temps.
Plus de 160 sénateurs de la droite et du centre ont appelé mercredi François Bayrou à "renoncer" à la publication imminente de la future programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), fustigeant l'absence de "vision globale" derrière cette feuille de route.Dans un courrier largement cosigné dont l'AFP a obtenu copie, les parlementaires interpellent le Premier ministre pour l'inciter à "reprendre le travail" sur les ambitions énergétiques de la France afin de "permettre au Parlement de voter sur le futur mix énergétique" du pays.
Des officiels américains et ukrainiens sont tombés d’accord en Arabie saoudite. En retour, Washington a annoncé la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à l’Ukraine et du partage de renseignements avec Kiev. « La balle est à présent dans le camp » de la Russie, a dit le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio.
L’Ukraine a accepté, mardi 11 mars, une proposition des Etats-Unis pour un cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie, se disant « prête pour la paix » après plus de trois ans de guerre et appelant Moscou à se prononcer, à l’issue d’une rencontre américano-ukrainienne en Arabie saoudite. Lors de ces entretiens, en l’absence de la Russie, Washington a annoncé en retour la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à Kiev.
La balle est dans le camp de la Russie et Volodymyr Zelensky ne compte pas lui laisser une once sur le terrain diplomatique. Au lendemain de l’accord sur la proposition de cessez-le-feu construite avec les États-Unis, le président ukrainien a répété sa défiance à l’égard de son grand voisin. L’Ukraine ne fait pas «confiance» à la Russie au sujet d’une trêve, a redit le dirigeant, qui a par ailleurs confirmé prendre «très au sérieux» l’accord conclu la veille. Une méfiance qui s’exprime après que le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Moscou attendait d’être instruit de l’entièreté de la proposition avant de se positionner.
Après neuf heures de négociations en Arabie Saoudite, des représentants de Kyiv et Washington se sont mis d’accord sur le principe d’un cessez-le-feu immédiat, sur la signature d’un accord sur les minerais et sur la reprise de l’aide.
Dans une déclaration commune à l’issue de discussions en Arabie saoudite ce mardi 11 mars au soir, les représentants des Etats-Unis et de l’Ukraine ont fait part de plusieurs avancées notables dans le soutien contre l’invasion russe.
Un choc entre le pétrolier américain “Stena Immaculate” et le porte-conteneurs portugais “Solong” a eu lieu ce lundi 10 mars, au large de la ville anglaise de Hull, en milieu de matinée. Les circonstances précises de l’accident ne sont pas encore connues. Une intervention d’urgence des secours est toujours en cours.
Le comté de Los Angeles County a entamé des poursuites en justice mercredi contre une entreprise énergétique pour les dégâts causés par le terrible feu de forêts Eaton qui a détruit des quartiers entiers de la ville californienne en janvier.
Au moins 2 900 hectares ont brûlé ces sept derniers jours dans la région d’Iwate, au nord-est du Japon. La presse locale parle du “pire incendie qu’ait connu le pays ces cinquante dernières années”.
Près de 1.700 pompiers ont été mobilisés dans le nord du Japon, alors que des feux de forêts records ont entraîné l'évacuation de 4.600 habitants, selon les autorités lundi.
First published in 1903, South China Morning Post is Hong Kong's premier English language newspaper and has the city's most affluent and influential readership. With a reputation for authoritative, influential and independent reporting on Hong Kong and China. The newspaper is supported with its online publication scmp.com and its Sunday edition, Sunday Morning Post.
L’incendie, qui s’est déclaré mercredi 26 février, a déjà endommagé plus de 80 bâtiments autour de la ville d’Ofunato, forçant plus d’un millier d’habitants à évacuer.
Le nord-est boisé de l’archipel est ravagé par plusieurs feux de forêt depuis mercredi, faisant un mort et forçant plus d’un millier d’habitants à évacuer. Une surface record depuis 1992 a déjà été brûlée.


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mars 2025

En Corée du Sud, les flammes sont reparties, tôt samedi 29 mars, à Andong, ville de la province du Gyeongsang du Nord (dans le sud-est du pays), poussant les autorités à déployer huit hélicoptères dans cette zone, selon un responsable des services forestiers. Les pompiers, aidés par la pluie, étaient pourtant parvenus à éteindre, vendredi, le principal foyer de la région.
Une série de feux de forêt, parmi les plus dévastateurs de l'histoire de la Corée du Sud, a fait au moins 24 morts, entraînant des "dommages sans précédent" et dépassant toutes les prévisions.
Depuis samedi, des feux de forêt ravagent l’est du pays. Vingt-trois personnes ont été tuées dans les incendies et douze autres sont gravement blessées. Le pilote d’un hélicoptère déployé pour lutter contre les feux est mort dans le crash de son appareil ce mercredi.
Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie "montrait sa volonté de guerre" en multipliant les conditions à un cessez-le-feu, à la veille d'un sommet international convoqué à Paris pour soutenir l'Ukraine. De son côté, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, en déplacement en Jamaïque, a reconnu que parvenir à un accord de paix entre Moscou et Kiev "ne sera pas simple" et "prendra du temps", nuançant l'optimisme manifesté depuis des semaines par le président Donald Trump.
Une délégation emmenée par le ministre de la défense ukrainien, Rustem Umerov, a échangé avec des responsables américains, dimanche à Riyad, en vue d’un éventuel cessez-le-feu. Lundi, c’est au tour des Russes de s’asseoir à la table des négociations.
Plus de 2 600 pompiers et soldats, appuyés par des dizaines d’hélicoptères, sont mobilisés dans le sud et le sud-est de la Corée du Sud pour lutter contre les violents incendies de forêt qui ravagent la région
Un établissement sous tutelle. L’université new-yorkaise Columbia a accepté vendredi 21 mars d’engager les réformes drastiques demandées par l’administration de Donald Trump, pour ne pas perdre ses 400 millions de dollars de subventions fédérales. Il s’agit d’une concession majeure pour la prestigieuse université, depuis plusieurs semaines sous le feu du président américain.
La coalition de "pays volontaires" en ordre de marche ? Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine se retrouvent jeudi 20 mars à Londres pour discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Le dossier ukrainien et celui de la défense européenne face à la menace russe figurent également au menu d'un sommet de l'UE à Bruxelles jeudi, le troisième sommet de chefs d'État en six semaines.
Vladimir Poutine et Donald Trump se sont accordés mardi sur une trêve limitée aux infrastructures énergétiques mais leur conversation téléphonique très attendue s'est conclue sans percée majeure en vue d'un réel accord de cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine.
Le cessez-le-feu évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Le président russe et son homologue américain sont convenus mardi d’un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine concernant uniquement les infrastructures énergétiques. Pour la presse européenne, cette trêve limitée permet à Trump de “sauver la face” mais montre surtout que Poutine continue d’imposer “son tempo et ses conditions”.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Les négociations sur un cessez-le-feu en Ukraine "vont commencer dimanche à Jeddah", en Arabie saoudite, a affirmé mardi l'émissaire américain Steve Witkoff sur la chaîne Fox News mardi, après une discussion téléphonique entre le président Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine.
Les présidents de la Russie et des États-Unis se sont entretenus longuement ce mardi par téléphone. Le Kremlin a accepté une pause de trente jours des frappes russes et ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques. Un résultat qui paraît en deçà des espoirs de la Maison-Blanche, selon la presse d’outre-Atlantique.
La trentaine de dirigeants soutenant l'Ukraine qui ont participé samedi à un sommet virtuel organisé par Londres ont décidé d'exercer une "pression collective" sur la Russie, qu'ils soupçonnent de vouloir poursuivre la guerre, pour la pousser à accepter un cessez-le-feu.
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
En posant des conditions inacceptables à la proposition de cessez-le-feu des États-Unis tout en affirmant vouloir dialoguer avec Donald Trump, le président russe emploie une tactique éprouvée : gagner du temps.
Plus de 160 sénateurs de la droite et du centre ont appelé mercredi François Bayrou à "renoncer" à la publication imminente de la future programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), fustigeant l'absence de "vision globale" derrière cette feuille de route.Dans un courrier largement cosigné dont l'AFP a obtenu copie, les parlementaires interpellent le Premier ministre pour l'inciter à "reprendre le travail" sur les ambitions énergétiques de la France afin de "permettre au Parlement de voter sur le futur mix énergétique" du pays.
Des officiels américains et ukrainiens sont tombés d’accord en Arabie saoudite. En retour, Washington a annoncé la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à l’Ukraine et du partage de renseignements avec Kiev. « La balle est à présent dans le camp » de la Russie, a dit le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio.
L’Ukraine a accepté, mardi 11 mars, une proposition des Etats-Unis pour un cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie, se disant « prête pour la paix » après plus de trois ans de guerre et appelant Moscou à se prononcer, à l’issue d’une rencontre américano-ukrainienne en Arabie saoudite. Lors de ces entretiens, en l’absence de la Russie, Washington a annoncé en retour la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à Kiev.
La balle est dans le camp de la Russie et Volodymyr Zelensky ne compte pas lui laisser une once sur le terrain diplomatique. Au lendemain de l’accord sur la proposition de cessez-le-feu construite avec les États-Unis, le président ukrainien a répété sa défiance à l’égard de son grand voisin. L’Ukraine ne fait pas «confiance» à la Russie au sujet d’une trêve, a redit le dirigeant, qui a par ailleurs confirmé prendre «très au sérieux» l’accord conclu la veille. Une méfiance qui s’exprime après que le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Moscou attendait d’être instruit de l’entièreté de la proposition avant de se positionner.
Après neuf heures de négociations en Arabie Saoudite, des représentants de Kyiv et Washington se sont mis d’accord sur le principe d’un cessez-le-feu immédiat, sur la signature d’un accord sur les minerais et sur la reprise de l’aide.
Dans une déclaration commune à l’issue de discussions en Arabie saoudite ce mardi 11 mars au soir, les représentants des Etats-Unis et de l’Ukraine ont fait part de plusieurs avancées notables dans le soutien contre l’invasion russe.
Un choc entre le pétrolier américain “Stena Immaculate” et le porte-conteneurs portugais “Solong” a eu lieu ce lundi 10 mars, au large de la ville anglaise de Hull, en milieu de matinée. Les circonstances précises de l’accident ne sont pas encore connues. Une intervention d’urgence des secours est toujours en cours.
Le comté de Los Angeles County a entamé des poursuites en justice mercredi contre une entreprise énergétique pour les dégâts causés par le terrible feu de forêts Eaton qui a détruit des quartiers entiers de la ville californienne en janvier.
Au moins 2 900 hectares ont brûlé ces sept derniers jours dans la région d’Iwate, au nord-est du Japon. La presse locale parle du “pire incendie qu’ait connu le pays ces cinquante dernières années”.
Près de 1.700 pompiers ont été mobilisés dans le nord du Japon, alors que des feux de forêts records ont entraîné l'évacuation de 4.600 habitants, selon les autorités lundi.
First published in 1903, South China Morning Post is Hong Kong's premier English language newspaper and has the city's most affluent and influential readership. With a reputation for authoritative, influential and independent reporting on Hong Kong and China. The newspaper is supported with its online publication scmp.com and its Sunday edition, Sunday Morning Post.
L’incendie, qui s’est déclaré mercredi 26 février, a déjà endommagé plus de 80 bâtiments autour de la ville d’Ofunato, forçant plus d’un millier d’habitants à évacuer.
Le nord-est boisé de l’archipel est ravagé par plusieurs feux de forêt depuis mercredi, faisant un mort et forçant plus d’un millier d’habitants à évacuer. Une surface record depuis 1992 a déjà été brûlée.