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Selon les Nations Unies, les engagements pris par les parties lors de la COP26 à Glasgow aboutiraient à une hausse de températures de 2,9 à 3,1 degrés d'ici à 2100. Des nouveaux engagements en 2022 seront essentiels pour garder en vie l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C et les pays sont encouragés à accroître l'ambition de leurs engagements avant la COP27 qui se tiendra en Égypte du 7 au 18 novembre.
La climatologue franco-canadienne Corinne Le Quéré, également coauteure pour le GIEC, préside le Haut-Conseil pour le Climat français. Elle revient dans cette interview sur le bilan de la COP26 de Glasgow. Corinne le Quéré estime que bien qu’imparfait, le Pacte Glasgow s’inscrit dans une dynamique d’avancée dans l’action climatique.
Les négociations climatiques de la COP26 ont abouti au Pacte de Glasgow, une déclaration jugée décevante par de nombreux observateurs. Le climatologue Jean Jouzel dresse un premier bilan de la COP26 de Glasgow plus nuancé. Lisez notre entretien avec l’ancien vice-président du GIEC Jean Jouzel pour faire le point sur les négociations climatiques.
La 26e Conférence climat (COP26) qui se tient à Glasgow ferme officiellement ses portes ce vendredi 12 novembre, mais une prolongation du sommet durant le week-end est largement probable. Hier, près de 200 climatologues ont publié une lettre ouverte. Ils dénoncent en substance le peu de considération accordée au dernier rapport du Giec, au regard des conclusions politiques qui se dessinent. Le climatologue français Jean Jouzel, ancien vice-président du Giec et signataire de la lettre, ne cache pas son énervement.
"Après des années de manifestations, de pétitions, de campagnes d'absentéisme climatique, etc. L'heure est maintenant à la colère", a déclaré Xavier De Wannemaeker, porte-parole d'Extinction Rébellion. "Les inondations en Wallonie et le dernier rapport du GIEC montrent clairement que la crise écologique est inévitable.
Que dit ce rapport du GIEC et pourquoi est-il si important? Que faut-il en retenir? On vous explique tout, en quelques minutes! Les rapports du GIEC sont au coeur des négociations internationales sur le climat telles que la COP1 à Paris en 2015 et la COP26 à Glasgow en 2021.
Atteindre la neutralité carbone, améliorer l'adaptation au changement climatique… Que signifient ces expressions utilisées à foison par les institutions et les médias ? France 24 décrypte plusieurs d'entre elles, primordiales pour comprendre les enjeux de la COP26 sur le réchauffement de la planète.
Deux jours après l’ouverture de la COP26, les climatologues ne sont guère optimistes quant aux engagements qui seront pris par les États, à en croire un sondage publié le 1er novembre par la revue Nature.
A l’occasion de la 26e conférence des Nations unies sur le climat, qui se tient du 31 octobre au 12 novembre 2021 à Glasgow (Ecosse), France 3 Hauts-de-France a proposé au chercheur François Gemenne de répondre à dix questions sur le réchauffement climatique.
Depuis, certains de ces engagements climatiques ont été revus, et serviront de base aux négociations entre les 196 pays présents à cette COP. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces nouvelles promesses sont loin d’être suffisantes pour rester sous la barre des 1,5°C, et même des 2°C, laissant présager d’âpres négociations afin d’élever les ambitions climatiques.
"Aucun pays ne prend véritablement le chemin" de la neutralité carbone à l'horizon 2050, a estimé ce dimanche sur franceinfo le climatologue et ancien vice-président du Giec Jean Jouzel.
C’est l’enjeu de la COP26 qui démarre dimache à Glasgow : les 196 pays participants doivent fortement réduire leurs émissions de gaz à effet de serre pour limiter le réchauffement à une augmentation de +1,5° C à l’horizon 2100 par rapport à la période 1850-1900.
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, la transition vers une économie et des énergies plus propres a progressé, mais trop lentement pour limiter le réchauffement à 2 °C, a fortiori à 1,5 °C, par rapport à la fin du XIXe siècle. En août, le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) mettait déjà en garde contre le risque d’atteindre le seuil de plus 1,5 °C autour de 2030, dix ans plus tôt qu’estimé dans sa précédente estimation en 2018, menaçant l’humanité de désastres sans précédent.
Après une première réunion virtuelle en ce mois d'octobre, la quinzième rencontre (COP15) des membres de la Convention sur la biodiversité se tiendra en présentiel en Chine, en avril prochain. Il y a urgence, car tout ce qui constitue la vie sur Terre est menacé. Selon le sixième rapport d'évaluation du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), durant les années 2011-2020, la température à la surface du monde a été plus élevée de 1,09 °C que lors des années 1850-1900, qui servent de référence préindustrielle.
Des documents confidentiels consultés par la BBC illustrent le travail des pays membres des Nations unies pour influencer les rapports remis par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Malgré les constats scientifiques, ils minimisent telle ou telle cause du dérèglement climatique en fonction d’intérêts nationaux.
A dix jours de l’ouverture de la conférence internationale sur le climat en Ecosse, des documents consultés par l’équipe de journalistes d’investigation de Greenpeace UK, Unearthed, puis transmis à la BBC, montrent qu’un certain nombre d’Etats et d’organisations essaient d’influencer les travaux du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) afin de ralentir la lutte contre l’utilisation des combustibles fossiles (gaz, pétrole, charbon). A l’heure où l’on attend d’eux de nouveaux engagements pour limiter le changement climatique, certains poussent en coulisses pour… que le Giec dilue ses conclusions.
A deux semaines de l'ouverture de la 26e conférence annuelle de l'ONU sur la climat, les attentes et les enjeux liés à l'urgence climatique n'ont jamais été aussi élevés. Le dernier rapport choc du GIEC sonne comme un coup de semonce aux Etats.
« Dans un article récent, Stéphane Foucart, journaliste au Monde, s’interroge sur le rôle des rapports du GIEC. Fondamental au départ, pour faire prendre conscience de l’ampleur du risque climatique et de l’urgence d’agir, le GIEC ne serait-il pas devenu, avec ses mises en garde répétées, une sorte de caution de l’inaction des gouvernements ?
Le 9 août dernier, le GIEC rendait le premier volet de son ultime rapport d’évaluation. L’occasion de revenir sur quelques chiffres-clés.
Plusieurs ONG estiment que les conditions ne sont pas remplies pour l’organisation de la COP26, qui se tiendra à Glasgow du 1er au 12 novembre 2021.
Si le sixième rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) déposé le 9 août contenait les mêmes signaux d’alarme que dans ses précédentes éditions, la différence était cette fois dans le langage plus robuste. Cela vient du fait qu’en 30 ans, on a accumulé quantité de mesures sur les océans et l’atmosphère: ces mesures n’ayant cessé de gagner en précision, la marge d’incertitude s’est rétrécie. Le Détecteur de rumeurs a identifié 5 éléments dont on peut désormais dire qu’ils ne laissent plus place au doute.
Les engagements déposés par les Etats signataires de l’Accord de Paris mènent le monde à un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C, très loin de l’objectif de 1,5°C espéré pour limiter ses retombées destructrices, s’est alarmée l’ONU à six semaines de la COP26.
Une émission consacrée au climat, avec nos invités en plateau : Christophe Cassou, co-auteur du rapport du GIEC, CNRS François Gemenne, chercheur à l'Université de Liège
Last month, the United Nations Intergovernmental Panel on Climate Change issued its latest report, sounding a “code red for humanity.” The IPCC stressed the need for drastic emissions cuts immediately if we want to maintain a habitable planet and warned that we are running out of time to act to avoid climate catastrophe.
The IPCC is unequivocal: we must take urgent action to curb global heating and prevent catastrophe. Will our policymakers and the Cop26 conference be up to the task?
L’Alliance des petits États insulaires (Aosis), vulnérables aux effets du changement climatique, a ainsi appelé le monde à tout faire pour limiter la hausse de la température à 1,5 °C, alors que le rapport montre que l’accélération de la hausse du niveau des mers menace leur existence.
Le rapport du GIEC est sorti, la presse le relaye et l’appuie : il y a urgence.
Après un mois de juillet émaillé par les catastrophes en Belgique et ailleurs dans le monde, le premier chapitre du sixième rapport du GIEC est venu ajouter ce lundi des éléments d’explication scientifique au drame que nous avons vécu. Côté politique, si les lignes ont bougé depuis quelques années, l’heure n’est certainement pas à l’autosatisfaction...
Le monde doit "avoir confiance" dans les engagements de la Chine en matière de lutte contre le changement climatique, a assuré mardi Pékin, après la publication du rapport des experts climat de l'ONU (Giec).
Le Premier ministre conservateur australien a rejeté mardi les appels à fixer des objectifs plus ambitieux en matière de lutte contre le changement climatique, au lendemain d'un rapport alarmant de l'ONU, estimant suffisante la politique menée par son pays.


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focusclimat yfc cop26 giec

janvier 2022

Selon les Nations Unies, les engagements pris par les parties lors de la COP26 à Glasgow aboutiraient à une hausse de températures de 2,9 à 3,1 degrés d'ici à 2100. Des nouveaux engagements en 2022 seront essentiels pour garder en vie l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C et les pays sont encouragés à accroître l'ambition de leurs engagements avant la COP27 qui se tiendra en Égypte du 7 au 18 novembre.

novembre 2021

La climatologue franco-canadienne Corinne Le Quéré, également coauteure pour le GIEC, préside le Haut-Conseil pour le Climat français. Elle revient dans cette interview sur le bilan de la COP26 de Glasgow. Corinne le Quéré estime que bien qu’imparfait, le Pacte Glasgow s’inscrit dans une dynamique d’avancée dans l’action climatique.
Les négociations climatiques de la COP26 ont abouti au Pacte de Glasgow, une déclaration jugée décevante par de nombreux observateurs. Le climatologue Jean Jouzel dresse un premier bilan de la COP26 de Glasgow plus nuancé. Lisez notre entretien avec l’ancien vice-président du GIEC Jean Jouzel pour faire le point sur les négociations climatiques.
La 26e Conférence climat (COP26) qui se tient à Glasgow ferme officiellement ses portes ce vendredi 12 novembre, mais une prolongation du sommet durant le week-end est largement probable. Hier, près de 200 climatologues ont publié une lettre ouverte. Ils dénoncent en substance le peu de considération accordée au dernier rapport du Giec, au regard des conclusions politiques qui se dessinent. Le climatologue français Jean Jouzel, ancien vice-président du Giec et signataire de la lettre, ne cache pas son énervement.
"Après des années de manifestations, de pétitions, de campagnes d'absentéisme climatique, etc. L'heure est maintenant à la colère", a déclaré Xavier De Wannemaeker, porte-parole d'Extinction Rébellion. "Les inondations en Wallonie et le dernier rapport du GIEC montrent clairement que la crise écologique est inévitable.
Que dit ce rapport du GIEC et pourquoi est-il si important? Que faut-il en retenir? On vous explique tout, en quelques minutes! Les rapports du GIEC sont au coeur des négociations internationales sur le climat telles que la COP1 à Paris en 2015 et la COP26 à Glasgow en 2021.
Atteindre la neutralité carbone, améliorer l'adaptation au changement climatique… Que signifient ces expressions utilisées à foison par les institutions et les médias ? France 24 décrypte plusieurs d'entre elles, primordiales pour comprendre les enjeux de la COP26 sur le réchauffement de la planète.
Deux jours après l’ouverture de la COP26, les climatologues ne sont guère optimistes quant aux engagements qui seront pris par les États, à en croire un sondage publié le 1er novembre par la revue Nature.
A l’occasion de la 26e conférence des Nations unies sur le climat, qui se tient du 31 octobre au 12 novembre 2021 à Glasgow (Ecosse), France 3 Hauts-de-France a proposé au chercheur François Gemenne de répondre à dix questions sur le réchauffement climatique.
Depuis, certains de ces engagements climatiques ont été revus, et serviront de base aux négociations entre les 196 pays présents à cette COP. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces nouvelles promesses sont loin d’être suffisantes pour rester sous la barre des 1,5°C, et même des 2°C, laissant présager d’âpres négociations afin d’élever les ambitions climatiques.

octobre 2021

"Aucun pays ne prend véritablement le chemin" de la neutralité carbone à l'horizon 2050, a estimé ce dimanche sur franceinfo le climatologue et ancien vice-président du Giec Jean Jouzel.
C’est l’enjeu de la COP26 qui démarre dimache à Glasgow : les 196 pays participants doivent fortement réduire leurs émissions de gaz à effet de serre pour limiter le réchauffement à une augmentation de +1,5° C à l’horizon 2100 par rapport à la période 1850-1900.
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, la transition vers une économie et des énergies plus propres a progressé, mais trop lentement pour limiter le réchauffement à 2 °C, a fortiori à 1,5 °C, par rapport à la fin du XIXe siècle. En août, le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) mettait déjà en garde contre le risque d’atteindre le seuil de plus 1,5 °C autour de 2030, dix ans plus tôt qu’estimé dans sa précédente estimation en 2018, menaçant l’humanité de désastres sans précédent.
Après une première réunion virtuelle en ce mois d'octobre, la quinzième rencontre (COP15) des membres de la Convention sur la biodiversité se tiendra en présentiel en Chine, en avril prochain. Il y a urgence, car tout ce qui constitue la vie sur Terre est menacé. Selon le sixième rapport d'évaluation du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), durant les années 2011-2020, la température à la surface du monde a été plus élevée de 1,09 °C que lors des années 1850-1900, qui servent de référence préindustrielle.
Des documents confidentiels consultés par la BBC illustrent le travail des pays membres des Nations unies pour influencer les rapports remis par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Malgré les constats scientifiques, ils minimisent telle ou telle cause du dérèglement climatique en fonction d’intérêts nationaux.
A dix jours de l’ouverture de la conférence internationale sur le climat en Ecosse, des documents consultés par l’équipe de journalistes d’investigation de Greenpeace UK, Unearthed, puis transmis à la BBC, montrent qu’un certain nombre d’Etats et d’organisations essaient d’influencer les travaux du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) afin de ralentir la lutte contre l’utilisation des combustibles fossiles (gaz, pétrole, charbon). A l’heure où l’on attend d’eux de nouveaux engagements pour limiter le changement climatique, certains poussent en coulisses pour… que le Giec dilue ses conclusions.
A deux semaines de l'ouverture de la 26e conférence annuelle de l'ONU sur la climat, les attentes et les enjeux liés à l'urgence climatique n'ont jamais été aussi élevés. Le dernier rapport choc du GIEC sonne comme un coup de semonce aux Etats.
« Dans un article récent, Stéphane Foucart, journaliste au Monde, s’interroge sur le rôle des rapports du GIEC. Fondamental au départ, pour faire prendre conscience de l’ampleur du risque climatique et de l’urgence d’agir, le GIEC ne serait-il pas devenu, avec ses mises en garde répétées, une sorte de caution de l’inaction des gouvernements ?
Le 9 août dernier, le GIEC rendait le premier volet de son ultime rapport d’évaluation. L’occasion de revenir sur quelques chiffres-clés.

septembre 2021

Plusieurs ONG estiment que les conditions ne sont pas remplies pour l’organisation de la COP26, qui se tiendra à Glasgow du 1er au 12 novembre 2021.
Si le sixième rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) déposé le 9 août contenait les mêmes signaux d’alarme que dans ses précédentes éditions, la différence était cette fois dans le langage plus robuste. Cela vient du fait qu’en 30 ans, on a accumulé quantité de mesures sur les océans et l’atmosphère: ces mesures n’ayant cessé de gagner en précision, la marge d’incertitude s’est rétrécie. Le Détecteur de rumeurs a identifié 5 éléments dont on peut désormais dire qu’ils ne laissent plus place au doute.
Les engagements déposés par les Etats signataires de l’Accord de Paris mènent le monde à un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C, très loin de l’objectif de 1,5°C espéré pour limiter ses retombées destructrices, s’est alarmée l’ONU à six semaines de la COP26.
Une émission consacrée au climat, avec nos invités en plateau : Christophe Cassou, co-auteur du rapport du GIEC, CNRS François Gemenne, chercheur à l'Université de Liège
Last month, the United Nations Intergovernmental Panel on Climate Change issued its latest report, sounding a “code red for humanity.” The IPCC stressed the need for drastic emissions cuts immediately if we want to maintain a habitable planet and warned that we are running out of time to act to avoid climate catastrophe.

août 2021

The IPCC is unequivocal: we must take urgent action to curb global heating and prevent catastrophe. Will our policymakers and the Cop26 conference be up to the task?
L’Alliance des petits États insulaires (Aosis), vulnérables aux effets du changement climatique, a ainsi appelé le monde à tout faire pour limiter la hausse de la température à 1,5 °C, alors que le rapport montre que l’accélération de la hausse du niveau des mers menace leur existence.
Le rapport du GIEC est sorti, la presse le relaye et l’appuie : il y a urgence.
Après un mois de juillet émaillé par les catastrophes en Belgique et ailleurs dans le monde, le premier chapitre du sixième rapport du GIEC est venu ajouter ce lundi des éléments d’explication scientifique au drame que nous avons vécu. Côté politique, si les lignes ont bougé depuis quelques années, l’heure n’est certainement pas à l’autosatisfaction...
Le monde doit "avoir confiance" dans les engagements de la Chine en matière de lutte contre le changement climatique, a assuré mardi Pékin, après la publication du rapport des experts climat de l'ONU (Giec).
Le Premier ministre conservateur australien a rejeté mardi les appels à fixer des objectifs plus ambitieux en matière de lutte contre le changement climatique, au lendemain d'un rapport alarmant de l'ONU, estimant suffisante la politique menée par son pays.