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Traité
On parle souvent du VIH, du COVID-19 ou du VPH. Mais derrière ces acronymes familiers, il existe un virus plus silencieux, plus discret, mais tout aussi menaçant. Le HTLV-1, découvert en 1980, infecte des millions de personnes à travers le monde, et jusqu’à récemment, il échappait à toute tentative de traitement. Une récente avancée scientifique pourrait toutefois changer la donne.
Après l’échec des négociations sur un traité international pour lutter contre la pollution plastique, seuls un contrôle strict des importations et une réforme en profondeur des filières de recyclage permettront à la France de sortir d’un système inefficace, constate le consultant Jacques Marceau, dans une tribune au « Monde ».
Le colonel à la retraite et expert de la défense éclaire sur la nouvelle offensive de Netanyahu.
Ils réduisent la pollution plastique à un simple problème de "mauvaise gestion des déchets" et s'emploient à recentrer les débats sur la phase post-consommation. Un tour de passe-passe pour éviter de devoir négocier sur la réduction de la production de déchets plastiques… à sa source, selon la chercheuse Aurélie Leroy.
À Genève, aucun traité n'a pu être adopté. Mais les pays ambitieux prévoient déjà de nouvelles initiatives pour réduire la pollution plastique
Présenté au milieu de la nuit de jeudi à vendredi, un nouveau texte de compromis comportait encore plus d’une centaine de points à clarifier. Après dix jours d’intenses négociations, les chefs de délégation n’ont pas réussi à se mettre d’accord.
Malgré dix jours de négociations intenses, les 185 pays réunis à Genève ont échoué à se mettre d'accord dans la nuit de jeudi à vendredi sur un texte contraignant pour lutter contre la pollution plastique, en raison de l'opposition d'un bloc de pays producteurs de pétrole.
Les 184 pays réunis depuis dix jours en Suisse pour une session de négociations annoncée comme celle de la «dernière chance» se quittent, ce vendredi 15 août, sans trouver d’accord.
Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 août, les 184 pays réunis à Genève n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur un texte permettant de conclure un traité contre la pollution plastique. La ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, s’est dite «déçue».
Il n'y aura pas de traité contre la pollution plastique à Genève: 10 jours de pourparlers diplomatiques tendus se sont terminés vendredi à l'aube par un constat d'échec cuisant pour l'environnement et la diplomatie.
C’est un échec. Les 185 pays réunis à Genève au sommet de l'ONU ne sont pas parvenus à un accord dans la nuit de jeudi à vendredi pour élaborer un texte contraignant contre la pollution plastique.
Après dix jours de négociations intenses, la conférence de Genève sur le traité mondial contre la pollution plastique s’est soldée par un échec. Les divisions entre pays producteurs de pétrole et partisans d’un texte ambitieux ont eu raison de ce sommet présenté comme "la dernière chance".
Les négociations sur le traité contre la pollution plastique ont échoué, après dix jours de négociations. Les pays pétroliers et les lobbies en sont responsables, dénonce Lisa Pastor, de l’association Surfrider.
Les diplomates des 183 pays réunis pendant dix jours à Genève n’ont pas réussi à s’accorder sur les mesures à déployer pour mettre un terme à cette pollution omniprésente. Plusieurs options sont sur la table quant au cadre des futures discussions.
Les granulés de plastique industriels (GPI), également appelés "larmes de sirènes", constituent la deuxième source de pollution microplastique au monde. Alors que les négociations de l'ONU visant à réduire la pollution plastique entrent dans leur phase finale, les experts estiment que les efforts déployés pour enrayer leur propagation pourraient être insuffisants.
Les diplomates de 184 pays sont réunis à Genève depuis le 5 août. Ils doivent présenter un texte commun pour lutter contre développement incontrôlé du plastique.
Les diplomates de 184 pays n'ont plus que quelques heures jeudi à Genève pour tenter de forger à l'arrachée un texte commun qui établirait un premier traité international de lutte contre la pollution plastique, après le rejet massif d'un projet de texte de synthèse. Une nouvelle séance plénière réunissant tous les délégués est prévue en milieu d'après midi, après l'échec retentissant d'une tentative de synthèse maladroite mercredi après-midi, et des débats d'une grande confusion. Mais les chances de trouver un accord, après trois ans de négociations, semblent très minces, étant donné les profondes divisions qui demeurent entre les deux camps qui se sont affrontés sur le sujet.
À Genève, les négociations sur le premier traité mondial contre la pollution plastique entrent dans leur phase décisive. Les 184 pays participants peinent encore à s'accorder sur des mesures contraignantes, notamment sur la réduction de la production. L'issue de ces discussions prévue dans la nuit de jeudi à vendredi pourrait déterminer la portée réelle de l'accord pour freiner la crise mondiale du plastique.
A Genève, les représentants de 184 pays ont beaucoup de difficultés mercredi à s’entendre sur les mesures nécessaires pour réduire la pollution plastique au niveau mondial, et les négociateurs censés rendre un texte de traité international jeudi sont "au bord du gouffre", selon une déléguée.
Plus de 180 pays négocient depuis le 5 août un traité mondial contre la pollution plastique, à Genève, en Suisse. Mais l’opposition des grands producteurs menace d’affaiblir l’accord. Jules Vagner, cofondateur de l’association Zéro Plastique, suit ces débats cruciaux et met en garde contre un texte sans réelle ambition.
La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a déploré mercredi 13 août le blocage par plusieurs pays producteurs de pétrole (et donc de plastique) des laborieuses négociations en cours à Genève sur un accord international.
Samedi, Mediapart a révélé que les eaux Contrex et Hépar, produites dans les Vosges par le géant de l’agroalimentaire Nestlé, sont massivement contaminées aux microplastiques. Un énième rebondissement dans ce scandale qui a éclaté il y a plus d’un an. Vert fait le point.
La commissaire européenne à l'Environnement, Jessika Roswall, a appelé mardi à faire aboutir les négociations très difficiles en vue d'un traité sur la pollution plastique, censées se conclure jeudi après 10 jours de tractations à Genève.
Le premier traité international permettant de lutter efficacement contre la pollution plastique qui menace les écosystèmes et la santé humaine est "à portée de main", malgré le "brouillard" qui pèse actuellement sur l'avancée des négociations, a estimé samedi la secrétaire générale adjointe des Nations Unies, Inger Andersen.
Les négociations à Genève en vue d'établir le premier traité mondial de lutte contre la pollution plastique sont bloquées par des pays pétroliers qui refusent toute contrainte sur la production de plastique vierge, rapportent à l'AFP plusieurs sources impliquées dans les tractations.
Une étude récente porte sur la production de quatre types de polymères vierges par les Etats.
Sept pays, conduits par la Chine, les États-Unis et l'Arabie Saoudite, ont produit deux tiers (66%) des quatre types de plastiques les plus courants dans le monde en 2024, selon le cabinet britannique de conseil environnemental Eunomia et Zero Carbon Analytics, un groupe de recherche.
Alors que les négociations du traité mondial sur les plastiques débutent à Genève, un nouveau rapport ainsi qu’un film de l’Environmental Justice Foundation (EJF) révèlent que les efforts déployés pour lutter contre la pollution plastique en se concentrant sur la gestion des déchets échouent totalement en Thaïlande. Ces « fausses solutions » détournent l’attention de la cause première : la surproduction et la surconsommation. Ce constat souligne l’urgence d’un accord s’attaquant à la crise du plastique à la source, selon l’EJF (*).
Conclure un premier traité mondial contre la pollution aux plastiques s’avère crucial. Pourtant, les Etats restent divisés sur la façon de faire face à ce fléau dont les déchets ravagent la planète et menacent la santé humaine.
Une session exceptionnelle destinée à boucler le premier accord de lutte contre ce fléau regroupe 175 pays en Suisse du 5 au 14 août. Huit mois après l’échec du dernier round de discussions, les divergences entre les délégations font craindre une impasse définitive.
Une centaine de pays souhaitent fixer, dans un traité international, un objectif de baisse de la production à la source de plastiques, mais les pays producteurs de pétrole et de gaz s’y opposent.
Alors qu'une nouvelle session de négociations s'ouvre mardi à Genève, en Suisse, pour élaborer le premier traité mondial contre la pollution plastique, une équipe de scientifiques a dévoilé lundi un état des lieux des impacts de cette pollution sur la santé humaine. Un problème "largement sous-estimé", jugent-ils.
Sous l'égide de l'ONU, près de 180 pays se réunissent mardi à Genève. L'objectif : écrire un traité mondial visant à réduire la pollution plastique après l'échec des discussions menées à Busan, en Corée du Sud, fin 2024.
À partir de ce mardi, les représentant·es de 180 pays se retrouvent en Suisse pour tenter de se mettre d’accord sur un traité international visant à réduire la pollution plastique. Pourquoi les précédentes négociations ont-elles échoué ? Que reproche-t-on exactement à ce matériau ? Vert vous explique ce qui se joue actuellement sur les rives du lac Léman.
La Russie a annoncé lundi ne plus adhérer à un traité de désarmement nucléaire dont les Etats-Unis s'étaient déjà retirés il y a plusieurs années.
La France a fait figure de pionnière en sortant du Traité sur la charte de l'énergie (TCE) en 2023, un accord qui permet de protéger l'intérêt des investisseurs dans le secteur énergétique. Mais au-delà du TCE, le pays est lié à des dizaines d'autres traités tout aussi néfastes mais dont il n'a pas l'intention de sortir à date.
L'ONG Reclaim Finance appelle mardi des grandes caisses de retraite françaises à cesser d'investir dans le secteur des énergies fossiles car cela compromet selon elle l'avenir des cotisants en contribuant à exacerber le réchauffement climatique. Ces acteurs "doivent mettre fin à leur soutien à l'expansion des énergies fossiles", déclare Agathe Masson, spécialiste de la thématique des investissements responsables de Reclaim Finance, citée dans un communiqué de l'ONG.
Le président Zelensky a signé un décret, dimanche 29 juin, prévoyant la sortie du pays de la convention d’Ottawa. La Russie, non-signataire, fait déjà un usage massif de ces armes aveugles, qui mutilent les civils à long terme.
L’Estonie et la Lituanie ont annoncé vendredi soir avoir notifié formellement à l’ONU leur retrait de la convention internationale interdisant les mines antipersonnel, en vue de renforcer leur défense à la suite de l’agression russe en Ukraine.
Dans un « appel de Nice » lancé à l’occasion de la Conférence des Nations unies sur l’océan, 95 pays demandent l’adoption d’un objectif mondial pour réduire la production et la consommation de plastiques.
Le traité, signé en 2023, visant la protection des zones au-delà de 370 kilomètres des côtes, entrera en vigueur 120 jours après la 60e ratification. Aucun calendrier précis n’a été indiqué par le président français.
Le traité de protection de la haute mer, dont l'entrée en vigueur est espérée d'ici la fin de l'année, donnera des moyens d'action pour la conservation et la gestion durable de la biodiversité marine dans l'immense partie des océans qui n'appartient à personne.
Trente et un Etats ont ratifié l’accord sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine dans les eaux internationales. Il en faudrait 60 pour qu’il entre en vigueur, un des objectifs qu’Emmanuel Macron souhaite atteindre pendant la Conférence des Nations unies sur l’océan, du 9 au 13 juin, à Nice.
Le traité sur la Haute Mer peine à entrer en vigueur. Pourtant, des scientifiques de renom alertent aujourd’hui : les écosystèmes marins n’attendront pas. Sans une action immédiate, c’est la vie sur notre Terre qui pourrait être menacée.
Le traité a encore besoin de plus de trente ratifications pour pouvoir être appliqué, alors que la France organise au mois de juin la conférence de l’ONU sur les océans.
Le Traité sur la charte de l'énergie, qui permet aux investisseurs d'attaquer en justice les gouvernements dès lors que ces derniers modifient leurs politiques énergétiques, est encore bien vigoureux. L'institut Veblen a comptabilisé 24 nouveaux litiges entre avril 2022 et décembre 2024.
La coprésidente de l’organe de négociation du traité sur les pandémies, adopté mardi à Genève, estime dans un entretien au « Monde » que cet accord permettra de ne pas reproduire les erreurs de la pandémie de Covid-19.
Nestlé filtre l’eau de sa source de Vergèze, dans le Gard, pour faire face à des épisodes répétés de pollution chimique ou par des bactéries fécales. Ces contaminations pourraient être liées à la surexploitation des nappes par le numéro un mondial des eaux en bouteille.
Même si les limites maximales permises ne sont pas dépassées, les scientifiques craignent les effets cumulatifs de ces polluants sur la santé humaine.
Le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre polonais Donald Tusk vont signer vendredi à Nancy, dans l'est de la France, un traité renforçant les liens de défense entre les deux pays face à une Russie jugée de plus en plus menaçante après déjà trois ans de guerre en Ukraine.
Le traité inclut une clause de défense mutuelle, qui ouvre la possibilité d’une coopération en matière de dissuasion nucléaire. Emmanuel Macron a souligné, vendredi, que les « intérêts vitaux » de la France intégraient aussi ceux de ses « principaux partenaires », dont la Pologne.
L’Inde a décidé de "suspendre" sa participation au traité sur les eaux de l’Indus après l’attentat au Cachemire de mardi, qui a fait 26 victimes civiles. Cette annonce a entraîné une très vive réaction d’Islamabad, qui évoque un potentiel "acte de guerre". Comment un traité autour d’un fleuve peut-il rendre si explosives les relations entre les deux voisins ?
Des experts indépendants de l'ONU dénoncent jeudi le "traitement psychiatrique coercitif" de plusieurs dizaines de critiques des autorités du Bélarus, depuis l'élection présidentielle de 2020 et la crise politique qui s'est ensuivie. "Nous avons reçu des informations concernant au moins 33 personnes, dont cinq femmes, transférées pour un traitement psychiatrique coercitif parce qu'elles ont exprimé leur désaccord avec les autorités depuis le début de la crise politique autour de l'élection présidentielle de 2020", écrivent ces experts, qui sont mandatés par le Conseil des droits de l'homme, mais ne s'expriment pas au nom de l'ONU.
Le Parlement letton a donné mercredi son feu vert à la sortie de ce pays de la convention internationale interdisant les mines antipersonnel, en invoquant la nécessité de renforcer sa sécurité dans le contexte de l'invasion russe en Ukraine.
L’homme le plus riche du monde s’en est pris à la guerre commerciale du président américain via une vidéo de l’économiste Milton Friedman, avant de cibler publiquement ce mardi 8 avril son inspirateur Peter Navarro. [...] Ça sent le sapin pour la bromance Trump-Musk. Le second s’en est violemment pris au conseiller au commerce du premier ce mardi 8 avril, dans deux messages successifs publiés sur X. Elon Musk a estimé que Peter Navarro - l’inspirateur de la politique de droits de douane du président américain - est un «crétin», «bête comme ses pieds».
Avec « hands off » (bas les pattes) pour cri de ralliement, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans tous les Etats du pays, samedi, pour protester contre les abus de pouvoir de la Maison Blanche, quelques jours après l’annonce de taxes douanières massives par Donald Trump.
Ces deux traités limitaient jusqu’ici certains risques de dommages collatéraux sur les civils, ces bombes et ces mines pouvant rester actives très longtemps sur le terrain après avoir été lancées ou installées. Mais la Lituanie a annoncé s’être désengagée du traité sur les armes à sous-munitions le 6 mars, suivie par la Pologne et les pays baltes, qui ont annoncé, le 18 mars, renoncer à bannir les armes antipersonnel.
La Pologne, les trois pays baltes et la Finlande, tous frontaliers de la Russie, "sont proches" d'un accord sur leur retrait du traité interdisant les mines antipersonnel, a indiqué jeudi la ministre lituanienne de la Défense.
Une vie après la mort. C’est en quelque sorte ce qui attend les avions mis au rebut par les compagnies aériennes. Certains, rachetés par des transporteurs de pays pauvres, voleront à nouveau. Mais beaucoup seront entièrement désossés et revendus sous forme de pièces détachées. Un recyclage indispensable au bon fonctionnement du transport aérien, explique “The Economist”.