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À l’heure où nous vous parlons, des navires gigantesques sont en train de ravager des millions d’animaux marins dans… les aires marines « protégées » ! Nous les avons pris en flagrant délit, et nous avons tout filmé. Aujourd’hui, nous publions notre enquête inédite. Nous ne sommes pas revenus de ce que nous avons découvert. Il faut voir les images pour le croire. C’est tout simplement sidérant. Visionnez notre enquête et partagez notre alerte à tout votre entourage.
Les pêcheurs artisans de la Manche sont en voie de disparition comme de nombreux poissons qui vivaient autrefois sous sa surface. En cause : des navires géants, qui accaparent les quotas de pêche et ratissent les fonds marins.
Dans un document que s’est procuré Reporterre, la région Bretagne prévoit une politique pro-pêche industrielle jusqu’en 2027. Un cap « absolument scandaleux », déplorent les associations écologistes.
Surpêche, abrasion des fonds, émissions de CO₂… Une étude rendue publique mercredi 24 janvier analyse, à l’initiative de l’association Bloom, les performances des différentes catégories de flottilles françaises, des plus vertueuses au moins rentables, dans l’Atlantique Nord-Est.
Pique et pêche. Grâce à une nouvelle méthode d’évaluation des impacts des navires de pêche, l’association de défense des océans, Bloom, montre que la pêche industrielle émet plus de gaz à effet de serre, endommage les fonds marins et crée moins d’emplois que la pêche côtière.
Dans un rapport inédit, l’ONG Bloom révèle que la pêche industrielle est peu performante à la fois sur les plans environnemental, social et économique. Elle reçoit pourtant davantage d’aides publiques.
Les trois quarts des bateaux de pêche du monde opèrent en catimini, révèle une étude menée par l’ONG Global Fishing Watch en partenariat avec des chercheurs des universités de Duke et du Wisconsin, et publiée le 3 janvier dans la revue scientifique Nature.
L'histoire d'une course technologique fatale contre le thon et la vie marine
La fin de l’impunité pour les gros chalutiers ? L’association de défense Bloom a annoncé, lundi 13 mars, le lancement de Trawl Watch, une plateforme visant à traquer et dénoncer les engins de pêche les plus destructeurs. Inspiré de L’Avion de Bernard — qui recense depuis près d’un an les déplacements des milliardaires en jets privés —, ce compte espère rendre visible sur Twitter, LinkedIn et Instagram les ravages infligés à l’océan par les navires-usines. Premiers bateaux pris pour cible : le « Prins Bernhard (...)
Dans un plan dévoilé ce mardi, la Commission européenne détaille ses ambitions pour la pêche : plus d'aires marines protégées, chalutage interdit dans celles-ci, meilleure exploitation des stocks de poissons et bateaux moins énergivores.
Regarder des images du « vortex de déchets du Pacifique nord » provoque toujours un choc : 80 000 tonnes de déchets flottent dans cette zone océanique située entre la Californie et Hawaï. Ce « septième continent de plastique », découvert en 1997, s’étend sur une surface de 1,6 millions de km2 (soit trois fois la surface de la France). Une étude publiée le 1er septembre dans la revue Scientific Reports permet d’en savoir plus sur la provenance de ces déchets plastiques : 86 % d’entre eux proviendraient d’activités liées à la pêche industrielle.
Pêcheurs et associatifs se sont réunis au sein du premier port de pêche de France, le 9 mai, pour réclamer un moratoire européen sur la senne démersale. Cette technique de pêche « ultra-efficace » épuise l’écosystème de la Manche.
Le Parlement européen doit prendre position sur les pêches autorisées dans les aires marines protégées. Claire Nouvian, de l’ONG Bloom, explique comment le poids des lobbies de la pêche industrielle, y compris chez les eurodéputés de gauche, laisse craindre le pire pour l’avenir de la vie marine.
Ce mardi, un amendement pour exclure la pêche industrielle des zones protégées n’a pas été retenu, au grand dam des ONG de défense de l’environnement. Les eurodéputés y ont préféré une mesure plus restreinte soutenue par le camp Macron.
les cachalots ont élaboré une culture de résistance pour faire face à la pêche industrielle des chasseurs de baleines pratiquée aux XIXe et XXe siècles. Cette riposte consistait notamment à échanger des informations sur la position des navires pour mieux les éviter.
Le sulfite de sodium, qui permet aux nombreuses entreprises de pêche opérant en Patagonie de conserver les langoustines avant exportation, est à l’origine de ce phénomène.
Les pêcheurs artisanaux français négocient actuellement avec les marins étrangers, qui pratiquent la surpêche industrielle en utilisant la senne danoise. Redoutablement efficace, cette technique menace les ressources halieutiques et l’avenir des pêcheurs français.
On y inclut « toutes les formes de prélèvements sur la nature » : agriculture industrielle et monocultures forestières « qui dépouillent les sols de leurs nutriments, les exposent à l’érosion et les détruisent » ; pêche intensive « qui vide les océans » ; grands barrages hydroélectriques « qui privent d’eau ou au contraire inondent des terres fertiles et anéantissent la biodiversité » ; industrie des boissons « qui pille les nappes phréatiques et accapare les sources d’eau » ; etc.
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- Flora