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Brésil
Le dépassement de l’objectif de Paris est devenu inéluctable d’ici la fin de la décennie. A la veille de la COP 30 au Brésil début novembre, l’ONU et des climatologues s’y résignent mais militent pour que ce soit temporaire.
Le Premier ministre, Bart De Wever, ne fera pas le voyage jusqu'à Belém, au Brésil, où aura lieu les 6 et 7 novembre prochains le sommet dédié au climat qui servira de prélude à la COP30, elle-même prévue du 10 au 21 novembre. Ce sera la première fois depuis 2018 et la COP24 de Katowice que la Belgique n'est pas représentée par son Premier ministre à la conférence de l'Onu sur le changement climatique.
Du 10 au 21 novembre, la communauté internationale se réunit à Belém, au Brésil, pour la COP 30. Alors qu'aucun sujet particulier n'a pour le moment été mis en avant par le président Luiz Inacio Lula da Silva, quels seront les grands enjeux qui agiteront cette nouvelle grand-messe climatique ? France 24 fait le point.
Encouragés par l’ex-président d’extrême droite Jair Bolsonaro, les orpailleurs illégaux ont déferlé dans la forêt amazonienne, provoquant pollution, famine et épidémies meurtrières au sein du peuple yanomami. Une hécatombe que l’opération d’expulsion de ces « garimpeiros », lancée en 2023 par le président Lula, aurait dû freiner.
Contenir le réchauffement de la planète à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle était l’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris de 2015.
Le Brésil a octroyé mercredi les droits d'exploration de cinq blocs pétroliers off shore en eaux profondes, deux jours après le feu vert donné à Petrobras pour un forage d'exploration au large de l'Amazonie. Cela confirme le pari sur le pétrole fait par le pays, critiqué par les écologistes à quelques jours de l'ouverture de la conférence climat de l'ONU, la COP30, à Belem, en Amazonie brésilienne. Au total, ces enchères ont rapporté 103,7 millions de réais (environ 19,2 millions de dollars).
Les ONG du Réseau action climat (RAC) ont dénoncé mardi "l'ambivalence" et "l'hypocrisie" du Brésil à l'approche de la COP30, réclamant davantage d'ambition et de moyens pour faire face aux enjeux climatiques et respecter l'accord de Paris. "La présidence brésilienne de la COP30 est dans une position hypocrite" puisqu'elle proclame vouloir réhausser les ambitions climatiques tout en accordant lundi une nouvelle licence d'exploitation pétrolière au large de l'Amazonie à Petrobras, sa compagnie nationale, "c'est complètement ahurissant", a déclaré Fanny Petitbon, responsable France de l'ONG 350.org, lors d'un point presse.
Forage en eaux troubles avant la COP30. Le gouvernement brésilien a donné son feu vert à la compagnie publique Petrobras pour lancer des forages exploratoires au large de l’estuaire de l’Amazone. ONG, scientifiques et société civile dénoncent un sabotage du sommet climatique et une trahison des engagements du président Lula.
Le président brésilien Lula, en faveur du projet validé ce lundi 20 octobre, affirme que l’argent du pétrole peut servir à financer la transition énergétique. Le forage est autorisé pour une durée de cinq mois, à 175 kilomètres de la côte.
La compagnie pétrolière publique brésilienne Petrobras a annoncé lundi avoir obtenu l'autorisation d'explorer en quête de pétrole au large de l'Amazonie, un projet dénoncé par les écologistes qui se voit confirmé à quelques semaines de la COP30 au Brésil. Ce projet est poussé par le président brésilien de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, qui accueillera la conférence climat de l'ONU en novembre dans la ville amazonienne de Belem. Pour ses détracteurs, ce chantier pétrolier est le symbole des contradictions de Lula, qui se veut en même temps à l'avant-garde de la lutte contre le changement climatique et pour la défense de la forêt amazonienne.
Le pétrole peut-il aider à en finir avec le pétrole? C'est le credo du président brésilien Lula, qui défend l'exploitation d'hydrocarbures dans son pays, y compris près de l'Amazonie, pour financer la transition énergétique.
À moins d'un mois de la COP30 à Belém, ville portuaire d'Amazonie, Lula affiche un bilan climatique encourageant. Depuis son retour au pouvoir en janvier 2023, le président brésilien a fait de la protection de l'environnement l'une de ses priorités : il a ralenti la destruction de la forêt amazonienne, relancé le Fonds Amazonie ou encore créé un ministère des Peuples indigènes.
Le Brésil, l'Inde, l'Italie et le Japon ont promis mardi de multiplier par quatre leur production et leur consommation de combustibles durables, en espérant être rejoints par d'autres pays durant la COP30 en novembre. Le géant sud-américain est le pays-hôte de la conférence de l'ONU sur le climat, qui aura lieu dans la ville amazonienne de Belem. Les quatre pays se sont engagés à multiplier leur production de combustibles durables par quatre d'ici 2035, par rapport à celle de 2024, a expliqué à des journalistes à Brasilia Joao Marcos Paes Leme, directeur du service énergie au ministère des Affaires étrangères brésilien.
La COP30 s'ouvre dans moins d'un mois au Brésil avec le défi colossal d'unir les pays du monde pour ne pas relâcher l'action contre le changement climatique malgré les vents contraires, à commencer par le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris. Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a insisté pour organiser cette 30e conférence des Nations unies sur le climat (10-21 novembre), événement de l'année dans les négociations climatiques, à Belem, ville portuaire d'Amazonie.
La COP30 s'ouvre dans moins d'un mois au Brésil avec le défi colossal d'unir les pays du monde pour ne pas relâcher l'action contre le changement climatique malgré les vents contraires, à commencer par le retrait des Etats-Unis. Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a insisté pour organiser cette 30e conférence des Nations unies sur le climat (10-21 novembre), événement de l'année dans les négociations climatiques, à Belem, ville portuaire d'Amazonie
De la viande de bœuf issue de bétail élevé illégalement sur des terres indigènes protégées de la forêt amazonienne pourrait avoir fini dans les assiettes des consommateurs européens, selon un rapport de Greenpeace Brésil publié jeudi.
Les Vingt-Sept, qui doivent rapidement s’entendre à l’unanimité sur une cible de réduction de leurs émissions d’ici à 2035, sont très divisés. Ils ont par ailleurs repoussé l’adoption d’engagements ambitieux pour 2040.
Une majorité de juges de la Cour suprême brésilienne a voté ce jeudi 11 septembre pour reconnaître l’ex-dirigeant coupable d’avoir conspiré afin de se maintenir au pouvoir malgré sa défaite électorale face à Lula en 2022.
De nombreuses délégations et représentants de la société civile ne parviennent pas à trouver de logement dans la cité amazonienne qui doit accueillir le sommet sur les négociations climatiques en novembre. Certains ont demandé au Brésil de changer de ville hôte.
Suspension of Soy moratorium could open up area of rainforest the size of Portugal to destruction
Le géant pétrolier britannique BP, qui a recentré sa stratégie sur les hydrocarbures, a annoncé lundi avoir décelé un gisement de gaz et de pétrole au large du Brésil, sa plus grande découverte "depuis 25 ans", à la veille de la présentation de ses résultats "Nous sommes ravis d'annoncer cette découverte significative (...) la plus grande réalisée par BP depuis 25 ans", a déclaré Gordon Birrell, vice-président exécutif de BP, dans un communiqué.
Le géant pétrolier britannique BP, qui a recentré sa stratégie sur les hydrocarbures, a annoncé lundi avoir décelé un nouveau gisement de gaz et de pétrole au Brésil.
Selon le rapport annuel de la FAO sur la faim, 40 millions de Brésiliens sont sortis de l’insécurité alimentaire entre 2022 et 2024, soit une chute de prévalence notable de deux tiers.
La Chambre des députés a voté un texte sur l’assouplissement des réglementations qui permet d’ignorer largement les impacts sur l’environnement des projets jugés stratégiques. Sur ce sujet, la position du président Lula est ambiguë.
La COP30 de Belém, qui se tiendra en novembre prochain, est un rendez-vous crucial pour relancer la dynamique climatique internationale dix ans après l'Accord de Paris. Des premiers rendez-vous se sont tenus à Bonn et Séville pour entamer les discussions mais le clivage Nord-Sud semble à son apogée. Le Brésil a la lourde tâche de réussir à apaiser les tensions dans un contexte particulièrement difficile.
Le président américain a annoncé, mardi, imposer une surtaxe de 50 % sur les produits brésiliens importés aux Etats-Unis. Il accuse son homologue brésilien de mener une « chasse aux sorcières » contre son prédécesseur d’extrême droite, actuellement jugé pour une tentative de coup d’Etat.
Brazil records 62% jump in area burned by forest fires: monitor
Ces prix exorbitants compromettent la participation des pays du Sud à la Conférence mondiale sur le climat, laissant craindre de voir l’événement se transformer en « COP des élites », selon les mots du quotidien économique « Valor ».
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva affirme que "le monde n'est pas prêt à vivre sans pétrole", défendant ses projets d'extraction de combustibles fossiles à quelques mois d'accueillir la COP30, dans une interview publiée jeudi. "Je suis favorable à travailler à l'idée d'un jour sans combustibles fossiles, mais je suis très réaliste : le monde n'est pas prêt à vivre sans pétrole", a déclaré Lula dans une interview au podcast du rappeur brésilien Mano Brown.
Les militantes du Mouvement des personnes affectées par les barrages ont manifesté à Brasilia, le 5 juin, pour dénoncer les « crimes environnementaux » commis sur leurs terres. Trois d’entre elles nous ont confié leur histoire.