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Aujourd'hui, nous joignons notre voix à celle d'autres associations pour dénoncer cette entreprise effroyable. Malheureusement, la reconnaissance de plus en plus large qu'Israël commet bien un génocide à Gaza ne suffit pas à l'arrêter ou le freiner.
L’attaque américaine intervient quelques heures après la revendication, par les rebelles, d’un tir d’un missile sur le centre d’Israël, allié de Washington, faisant 16 blessés légers.
En continuant de soutenir militairement et financièrement leur allié israélien malgré les accusations étayées qui le visent, nombre d’Etats, dont la France, se dérobent à leur responsabilité et mettent à mal le droit international.
Israël a indiqué samedi qu'un "projectile" tiré depuis le Yémen, où il a bombardé cette semaine les rebelles houthis, avait frappé son territoire près de Tel-Aviv, faisant 14 blessés.
Les ONG Human Rights Watch et Médecins sans frontières ont affirmé jeudi que les actions d'Israël dans la bande de Gaza constituent des "actes génocidaires" à l'encontre du peuple palestinien. Des accusations rejetées par l'État hébreu, qui dénonce une "propagande anti-israélienne".
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
L'Assemblée générale des Nations unies a adopté, mercredi, une résolution non contraignante par 158 voix pour, neuf contre et treize abstentions exigeant un "cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent", un appel rejeté par Israël et les États-Unis.
Dans un rapport accablant et très documenté, publié ce jeudi 5 décembre, l’ONG assure que l’opération militaire israélienne dans l’enclave palestinienne répond à trois des cinq actes interdits au titre de la Convention de 1948.
Les recherches ont permis de rassembler suffisamment d’éléments pour conclure qu’Israël a commis et continue de commettre un génocide contre les Palestiniens et Palestiniennes dans la bande de Gaza occupée.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé mardi qu'il allait coprésider avec le prince héritier et dirigeant de facto de l'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane une conférence sur la création d'un Etat palestinien en juin 2025.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d'accord sur la formation d'un comité chargé d'administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l'Agence France-Presse.
L’ancien ministre de la Défense israélien Moshé Yaalon a affirmé samedi que l’armée israélienne menait un "nettoyage ethnique" dans la bande de Gaza, provoquant un tollé au sein de la classe politique.
La bande de Gaza a sombré dans l’anarchie, avec une hausse de la famine, des pillages généralisés et des viols de plus en plus fréquents dans les camps de réfugiés, alors que l’ordre public s’est effondré, ont déclaré vendredi des responsables des Nations-Unies.
Les États-Unis et la France ont annoncé mardi qu'ils veilleront à ce que l'accord de cessez-le-feu au Liban, qui entre en vigueur mercredi, soit "mis en œuvre dans son intégralité". Un accord qui "protégera Israël de la menace que représentent le Hezbollah et les autres organisations terroristes opérant depuis le Liban", et créera les "conditions nécessaires" au rétablissement durable du "calme" selon Emmanuel Macron et Joe Biden.
Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah au Liban, négocié entre les parties par les États-Unis et la France, est entré en vigueur à 4 heures mercredi matin (heure libanaise). Selon Benyamin Nétanyahou, cette trêve de soixante jours, qui a vocation à devenir permanente, permettra à l’État hébreu de concentrer ses efforts sur le Hamas et l’Iran.
Alors que l’élection de Donald Trump pourrait conforter Benyamin Nétanyahou dans sa stratégie meurtrière, les ancien et actuel députés européens affirment, dans une tribune au « Monde », que le mandat d’arrêt de la CPI contre le premier ministre israélien n’est pas antisémite et appellent la France à reconnaître l’Etat palestinien.
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a affirmé qu'Israël devrait "conquérir" la bande de Gaza et réduire de moitié la population palestinienne locale par "une émigration volontaire".
Outre les dizaines de milliers de morts, la guerre israélienne a fait plus de 100 000 blessés parmi les habitants de Gaza, dont beaucoup d’enfants. “The New York Times” est allé à la rencontre de ceux qui ont eu la chance d’être évacués et opérés au Qatar.
La guerre d’Israël dans la bande de Gaza bafoue un des droits fondamentaux : l'accès à l’eau. Cette « instrumentalisation de l’eau » a de lourdes conséquences sur les Gazaouis, déplore l’auteur de cette tribune.
Le pape François a dénoncé lundi au Vatican "l'arrogance de l'envahisseur" en Ukraine mais aussi en "Palestine", une rare prise de position contre la politique israélienne, une semaine après avoir évoqué pour la première fois les accusations de "génocide" à Gaza.
En visite à Beyrouth au lendemain d’une frappe israélienne qui a fait 29 morts au cœur de la capitale libanaise, le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la sécurité a plaidé pour un cessez-le-feu immédiat.
Après plus d’un an de conflit à Gaza, la Cour pénale internationale a provoqué la fureur d’Israël en émettant jeudi des mandats d’arrêt sans précédent contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Le ministère de la Santé du Hamas pour Gaza a averti vendredi que tous les hôpitaux du territoire palestinien devraient cesser ou réduire leurs activités "sous 48 heures" faute de carburant dont l'entrée est bloquée, selon lui, par les autorités israéliennes.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant et du chef militaire du Hamas, Mohammed Deif. Cette décision, la première contre des dirigeants israéliens dans l’histoire de la Cour, a été qualifiée d’un nouveau “procès Dreyfus” par Nétanyahou.
Le pillage de l’aide humanitaire à Gaza "devient systématique et doit cesser immédiatement", a déclaré mardi Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, s’inquiétant d’informations selon lesquelles les autorités israéliennes pourraient laisser faire ces attaques.
Voici la réponse du sociologue Jean De Munck à l'opinion du psychologue, anthropologue et psychanalyste Francis Martens parue récemment dans La Libre, et qui a suscité de vives réactions. Le Professeur De Munck explique et argumente, point par point, les raisons de son désaccord avec M. Martens.
Le comité spécial de l’ONU chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés s’alarme notamment des “pertes civiles massives” et de l’emploi de “la famine comme arme de guerre”. Washington a lui désapprouvé “sans équivoque” les conclusions du document onusien.
L’armée israélienne favorise le pillage de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, en s’en prenant notamment aux forces de police palestiniennes qui tentent de le combattre, accusent vendredi 29 ONG dans un rapport commun.
Une haute responsable de l’ONU a dénoncé mardi la "cruauté quotidienne" subie par la population de la bande de Gaza assiégée et bombardée par Israël, décrivant "des actes qui rappellent les crimes internationaux les plus graves".
Une vidéo filmée dans la bande de Gaza montre l’ampleur des destructions dans l’enclave. Selon une estimation basse, au moins 58,7 % du bâti du territoire est dégradé ou détruit.