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activisme écologie
Un équipage composé de militantes s’apprête à traverser l’Atlantique en voilier, pour rejoindre la COP30. Parmi elles, Maïté Meeûs et Mariam Touré, dont les combats féministes et antiracistes viennent élargir le récit écologique.
« Je n’ai jamais vu ça », dit son avocate. Rachel, 23 ans, a été condamnée à 6 mois de prison ferme pour avoir aspergé l’hôtel Matignon de peinture à l’eau. La militante du collectif Dernière rénovation va faire appel.
Why Environmental Writing Isn’t Resonating As Much Anymore Active hope, not optimism. And why facts alone no longer move people. Environmental pieces aren’t landing like they used to. Writers, researchers, and activists are noticing the shift: climate content that once sparked engagement now fades into the background. The question isn’t whether people care about the planet — it’s that many readers are moving past narratives of awareness and individual action (or at least I think they should!). They want to understand power. They want to understand systems. They want hope rooted in collective transformation, not optimism sold as personal therapy. We Know the Planet Is Dying. So Now What?
À contre-courant du défaitisme ambiant, Lucie Pinson obtient des victoires écologiques décisives. Ses méthodes ? Développer une expertise de haut niveau ; révéler des informations ; négocier et accompagner ; parfois occuper le siège d’une banque et y déverser des tonnes de charbon. Lauréate du prix Goldman, équivalent d’un Nobel environnemental, elle nous entraîne dans ses combats contre des grands projets d’infrastructures fossiles aux États-Unis, en Australie, en Indonésie et en Ouganda. D’abord impliquée aux côtés des Amis de la Terre, elle a ensuite fondé Reclaim Finance en 2020. Cette ong compte aujourd’hui 42 salariés et entend mettre enfin le système financier au service des impératifs sociaux et écologiques.
Le Japon a déclaré que le mandat d’arrêt contre le militant écologiste américano-canadien restait valide, appelant « les parties concernées à procéder à son extradition ».
Menaces, insultes, cyberattaques, divulgation de données personnelles… En 2024, plus de 90 % des défenseurs du climat et de l’environnement ont été visés par des violences en ligne, selon une enquête menée par l’ONG Global Witness auprès de 204 activistes répartis sur six continents, publiée le mercredi 16 juillet.
Militants et militantes écolos avaient-ils besoin d’être davantage caricaturés, raillés, décrédibilisés ? Pas vraiment. Le paysage médiatique et la classe politique s’en chargeaient déjà très bien tout seuls jusqu’ici, dans un exercice collectif de greenbashing chorégraphié à la perfection, où le cynisme le dispute à la mauvaise foi. Mais dorénavant, leur vie va être encore plus facile grâce à l’intelligence artificielle – elle tient décidément toutes ses promesses.
Une enquête de l’ONG britannique révèle que plus de neuf activistes sur dix ont été victimes d’attaques sur les réseaux sociaux en lien avec leur engagement en faveur du climat ou de l’environnement.
Amnesty International alerte sur la répression croissante des militants écologistes en France. Dans un rapport publié jeudi, l'ONG dénonce une criminalisation systématique des mobilisations et une stigmatisation des défenseurs de l'environnement.
En Grande-Bretagne, s’asseoir sur une route ou jeter de la peinture peut maintenant coûter des peines de prison, pas seulement des amendes. En trois ans, plus de 3 000 arrestations ont eu lieu et des dizaines de militants ont été condamnés, jusqu’à cinq ans de prison.
Samedi 28 juin le temps d’une journée, l’association Banlieues Climat avait pour domicile l’ESSEC Business School de Cergy. Son but ? Parler environnement, inégalités climatiques et santé par et pour les premières personnes concernées : celles issues des quartiers populaires. Reportage.
Passage en force de la loi Duplomb, relance du chantier de l’A69, suppression des ZFE : les reculs s’enchaînent sur le terrain de l’écologie. Face à des décisions aux effets dévastateurs, le découragement n’est pas permis.
Si l’opinion publique reste favorable aux politiques climatiques malgré d’apparents reculs, le sujet n’est pas prioritaire. Pour Léa Falco, autrice, membre de l’association Pour un réveil écologique, les militants doivent intégrer leurs combats à d’autres enjeux sociaux pour atteindre le plus grand nombre.
Au nord de La Paz, les villes de Palos Blancos et Alto Beni sont devenues «libres de pollution minière» grâce à deux lois municipales. Une façon de résister à l’industrie aurifère envahissante et de protéger les plus gros producteurs de cacao du pays.
Achats de vêtements, tiraillement entre bio et fast-food, passage au zéro déchet… Sept jeunes racontent leur rapport à l’environnement et à leurs propres contradictions.
Show Musk go on. Le siège français de Tesla, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), a été ciblé par des militant·es d’Action justice climat (ex-Alternatiba Paris) lors d’une action éclair ce mardi matin.
Plus d’une vingtaine d’organisations réunies au sein de la coalition Hiatus, parmi lesquelles La Quadrature du Net et la Ligue des droits de l’homme, estiment, dans une tribune au « Monde », qu’il faut résister au déploiement massif de l’intelligence artificielle, au nom des droits humains, sociaux et environnementaux.
Aux yeux du philosophe Marc Crépon, l’État est violent par essence, et la non-violence utopique : « À l’origine de tout régime politique, il y a toujours de la violence. Pour savoir quelle est, de deux formes de violence, la plus légitime, nous devons en appeler à un principe qui transcende le droit, qui est celui de la justice...
Selon l’activiste Paul Watson, « on ne peut pas qualifier la protection de l’environnement d’écoterrorisme, ça n’a aucun sens. L’écoterrorisme, c’est ce que font les entreprises de combustibles fossiles et Monsanto. Eux, ils terrorisent l’environnement… » Au-delà de cette mise au point sémantique, le mot « écoterrorisme » a été créé en 1983 par l’écrivain libéral Ron Arnold dans le but de dénoncer les « crimes pour sauver la nature » et fut depuis l’objet de romans et même d’accusations par des hommes politiques. Mais l’usage de la violence est-il toujours injustifié ?
Dans cet échange percutant, nous discutons avec Thomas Wagner, créateur du média Bonpote, reconnu pour ses analyses claires et engagées sur les enjeux climatiques. Ensemble, nous explorons une question brûlante : pourquoi ceux qui défendent la planète sont-ils de plus en plus criminalisés ? 👉 Thomas Wagner, à travers ses articles et prises de position, s’est imposé comme une référence dans le débat climatique, dénonçant à la fois l’inaction des pouvoirs publics et la manipulation des discours médiatiques tout en apportant de la compréhension à la science du climat.
Militants d’agir. Un projet de loi à l'étude au Sénat italien prévoit une répression tous azimuts de nombreuses formes de contestations sociales et une restriction des libertés publiques, notamment des militant·es climat. Conséquence : une mobilisation d’ampleur de la société civile italienne, qui appelle à manifester à Rome ce samedi 14 décembre.
Entretien avec le philosophe Roman Krznaric, père du concept de « bon ancêtre » cher à Usbek & Rica, dont le nouvel essai (History for tomorrow, W.H. Allen, pas encore traduit en français) montre comment le passé peut nous inspirer pour inventer un futur désirable.
Mettre l’écologie à la Une est une gageure que peu relèvent avec autant de succès que le journaliste Hugo Clément. Mais son choix de tendre la main à l’extrême droite fait polémique. L’urgence écologique est-elle soluble dans le programme du RN ? Faut-il vraiment «dépasser les clivages» pour faire avancer la cause ? Et L’écologie a-t-elle «besoin de tout le monde» ? Deux experts répondent.
Le jeune activiste, fondateur de la première Ecole populaire du climat, évoque à l’occasion du Climat Libé Tour à Marseille son envie d’utiliser l’éducation pour «que les premiers concernés s’approprient la question» de l’écologie.
Aïcha Hattab a lancé une association pour réunir les habitants de son quartier et faciliter des actions pour rendre la vie plus facile et saine. Une façon de refuser que l’écologie soit l’apanage des plus aisés.
Féris Barkat est fondateur de l’association Banlieues Climat. Banlieues Climat redonne la parole aux habitantes et habitants des quartiers populaires autour des questions de la crise climatique et écologique.
Après près de dix ans de militantisme chez Greenpeace, Clément Sénéchal, diplômé de de sociologie et de philosophie politique, s’interroge : pourquoi l’écologie essuie-t-elle encore tant d’échecs ? Pour y répondre, l’heure est venue de plonger dans les coulisses d’une “écologie spectacle” en marche depuis les années 1970. Récupérations néolibérales, impasses stratégiques et intellectuelles des ONGs et mouvements de lutte…
Réseau pour une action climatique impactante
Pourquoi ne pas faire de la santé un mot de ralliement des prochaines mobilisations écologiques, plaident les auteurs de cette tribune. Un bon moyen de déjouer la « politique punitive » qui tente de discréditer l'écologie.
Alors que défenseurs des droits de l'Homme et de l’environnement bataillent pour faire reconnaître la nécessité de la désobéissance civile dans les tribunaux, une poignée de relaxes laisse espérer l’avènement d’une jurisprudence plus clémente pour les activistes.