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Les Etats-Unis se sont dits lundi "préoccupés" et ont appelé leur allié israélien à enquêter après un reportage de CNN sur les conditions dégradantes auxquelles seraient soumis certains prisonniers palestiniens en Israël. A partir d’informations fournies par des lanceurs d’alerte, la chaîne d’information a diffusé un reportage choc vendredi dernier, au sujet de la base militaire israélienne de Sde Teiman, située dans le désert du Néguev, dans le sud d’Israël.
Il nous rend bien des services au quotidien mais son omniprésence dans l'environnement, dans nos logements et même dans notre corps devient de plus en plus problématique.
Tout récemment aux États-Unis, des scientifiques ont affirmé avoir réalisé une véritable percée dans le domaine de la bio-informatique.
Depuis quelques années, les nanoparticules ont envahi notre environnement quotidien… Pour mieux appréhender leur impact sanitaire, plusieurs études se sont intéressées à leurs effets sur notre organisme et nos cellules.
L'usine aura une capacité de production annuelle potentielle de cellules allant jusqu'à 50 gigawattheures (GWh), permettant ainsi de fournir des batteries pour environ un demi-million de voitures par an, assurent les entreprises.
L’accélération technologique qu’a permis l’épidémie mondiale du SARS-CoV2 a été sans précédent depuis la mise en place du techno-capitalisme (c’est-à-dire depuis les années 1990 et l’internet public ainsi que la micro-informatique). Il faut dire que tout était déjà bien en place pour cet effort de guerre technologique contre les humains.
Mis au point en 2020 par une équipe américaine à partir de cellules d’embryons de grenouilles, les xénobots viennent de franchir une étape supplémentaire : l’autoréplication. Une forme de reproduction encore jamais observée chez les animaux ni les plantes.
Il y a quelques mois, des chercheurs annonçaient avoir créé de petits « robots vivants » à partir de cellules de grenouilles. Ces derniers étaient alors capables d’effectuer des tâches programmables. Désormais, ces « xénobots » aux allures de Pac-Mac seraient également capables de se répliquer.
Une équipe de chercheurs a développé un nouvel outil permettant de sonder la composition de nos cellules avec beaucoup plus de précision. À terme, cette étude pilote pourrait aider à mieux comprendre la base moléculaire de nombreuses maladies.
Les cellules de Hadley sont des circulations thermiques de grande échelle composées d’une région d’ascendance située près de l’équateur et d’une région de subsidence localisée dans le domaine subtropical. Nommées d’après le savant anglais George Hadley (1685-1768), elles concrétisent une redistribution de chaleur et d’humidité par le fluide atmosphérique.
Depuis plusieurs semaines la société de biotechnologie israélienne Future Meat commence à produire de la viande cultivée à partir de cellules animales à échelle industrielle. Ce “nouveau marché”, qui représente l’avenir, intéresse évidemment les grands noms de l’agroalimentaire, dont le géant suisse Nestlé.
- AFP
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La société polonaise Saule Technologies a annoncé vendredi avoir lancé la première chaîne au monde de production industrielle de panneaux solaires en cellules pérovskites, une technologie novatrice. Les modules pérovskites permettent de fabriquer de panneaux photovoltaïques légers, souples, ayant des taux de transparence, des teintes mais aussi des formes variables et qu'on peut poser facilement sur un ordinateur portable, une voiture, un drone, un engin spatial ou un bâtiment, même à l'ombre et à l'intérieur.
Qu’est-ce qu’un bio-objet ?Il s’agit d’un concept forgé par le sociologue britannique Andrew Webster pour désigner la vie in vitro, c’est-à-dire les cellules, les embryons, les gamètes, les bactéries et les virus cultivés en laboratoire. Alors qu’ils occupent une place centrale dans l’organisation matérielle de nos sociétés, ces objets biologiques sont souvent invisibilisés et pensés isolément
Gamètes, cellules souches, ovocytes… On fabrique des objets vivants par millions comme l’on produit des objets inertes, de manière standardisée et industrielle. Le tout sans réelle prise de recul. C’est ce que décrit la sociologue Céline Lafontaine dans Bio-objets, les nouvelles frontières du vivant
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À l’heure où l’on s’inquiète de l’avenir de la biodiversité, de nouvelles formes de vie éclosent chaque jour dans les laboratoires du monde globalisé. À mi-chemin entre le biologique et l’artificiel, les bio-objets sont les descendants des technologies in vitro qui ont permis de cultiver des cellules et des tissus vivants. Dotés d’une très grande plasticité, ils peuvent être congelés, modifiés, transplantés, transportés et échangés. En quoi leur production croissante transforme notre rapport au vivant et à l’identité corporelle ? Quelles implications matérielles, économiques, sociales et culturelles sous-tendent leur prolifération ? À partir d’exemples tirés de la médecine reproductive, du génie génétique et d’une enquête menée auprès de chercheurs en bio-impression, ce livre fascinant analyse les imaginaires scientifiques, les pratiques et les espoirs mirobolants que soulève la production d’objets-vivants. Il rend visibles les ressorts épistémologiques, industriels et éthiques de ce qui est devenu une vérita
- RTBF