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climatosceptique
Intitulé "Réévaluation critique de l'hypothèse du réchauffement planétaire lié aux émissions de CO2", l'article rejette notamment les conclusions et projections des rapports des experts de l'ONU sur le climat (Giec), se fondant notamment sur des études largement contestées depuis des années dans le domaine scientifique.
Après les inondations qui ont frappé Bahía Blanca, c’est l’auto-organisation qui prime. La ville portuaire ne peut pas compter sur Javier Milei, président d’extrême droite, qui a mis en place un soutien « tardif et insuffisant ».
Dans sa tentative de détricoter toute lutte contre le dérèglement climatique aux États-Unis, Donald Trump multiplie les attaques contre l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique. Cet organisme gouvernemental joue un rôle primordial dans la recherche scientifique mondiale et dans la surveillance météorologique.
Venu des États-Unis, un groupe de réflexion d’extrême droite et climatosceptique œuvre à démanteler les lois environnementales de l'Europe. Et ce, avec l'aide de députés européens.
Claude Allègre, géochimiste de renom et ancien ministre, est mort le 4 janvier à 87 ans. Ses prises de position climatosceptiques ont largement influencé le débat en France, freinant l’action contre le réchauffement climatique.
Une guerre culturelle a commencé. Continue, ouverte ou cachée, explicite ou détournée, elle concerne le destin de l’humanité tout entière. Elle concerne les savoirs autour de l’énergie, et plus particulièrement les contre-vérités diffusées par les « pétropouvoirs » internationaux.En témoigne l’insolent succès, en librairie, des ouvrages climatosceptiques qui nourrissent explicitement le doute(1).
Derrière le succès des ouvrages climatosceptiques se joue une guerre culturelle. Les pétrosavoirs, portés par l’industrie fossile, font tout pour minimiser les succès des énergies renouvelables.
Prix sur le fait. Ce samedi 30 novembre, la Société de géographie de Paris, la plus vieille au monde, remettra son Grand prix à Sylvie Brunel, géographe et essayiste accusée de climatoscepticisme. À l’annonce de ce choix, le chercheur Damien Deville et le cosmographe Maxime Blondeau ont remis leur démission. Dans un entretien à Vert, Damien Deville explique son choix.
Depuis sa victoire, le républicain a effectué de nombreuses nominations à des postes plus ou moins importants. Le CV de beaucoup de ces impétrants ne les destinait pas vraiment à occuper des responsabilités dans l’administration fédérale.
Déboucher les faux sceptiques. Le rédacteur en chef de Vert revient sur les dernières «zinzineries» des climatosceptiques et en profite pour évoquer Chaleurs actuelles, un grand projet pour apprendre à décrypter les discours les plus dangereux pour le climat et les humains. Cliquez ici pour (ré)écouter cette chronique diffusée sur France inter le 20 novembre 2024.
Déni-oui-oui. L’appellation «climatosceptiques» est un grand fourre-tout qui regroupe des familles bien différentes, dont l’organisation Parlons climat vient de brosser le portrait comme jamais auparavant. Sont-ils forcément d’extrême droite ? Plutôt masculins ? Quelles sont leurs préoccupations et comment leur parler ? Tour d’horizon d’un sujet brûlant.
Climatosceptique, PDG d'une entreprise et soutenu par les compagnies pétrolières américaines: Donald Trump a nommé au poste de secrétaire à l'Energie Chris Wright, PDG de l'entreprise Liberty Energy, avec pour feuille de route la dérégulation du secteur. "En tant que ministre de l'Energie, Chris sera un leader clé, stimulant l'innovation, réduisant les barrières administratives et inaugurant un nouvel +âge d'or de la prospérité américaine et de la paix mondiale+", a déclaré Donald Trump dans un communiqué.
Les français sont de plus en plus climatosceptiques, révèle le 25e baromètre des représentations sociales du changement climatique, publié par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) en octobre 2024. Selon cette étude basée sur un échantillon de 1 505 personnes, près de 30 % des personnes interrogées considèrent que les désordres climatiques et leurs conséquences, à l’image des canicules, des tempêtes, des sécheresses, des inondations plus fréquentes et sévères, la (…)
L'occasion de remettre en cause l'image stéréotypée que nous en avons et de réinterroger les stratégies d'info et de communication sur le changement climatique et la transition écologique.
Le doute sur l’origine ou l’existence du réchauffement climatique ne découle pas d’un manque de connaissances ou d’une défiance des scientifiques, mais d’un rejet de ce qui menace certains modes de vie et valeurs, selon une enquête de l’ONG Parlons climat.
Dans cette deuxième vidéo avec Serge Zaka, nous sortons des sentiers battus ! Aujourd’hui, on se glisse dans la peau de ceux qu’on voit de plus en plus sur les réseaux : les climato-sceptiques, climato-rassuristes, et climato-négationnistes. Pour une fois, je vais jouer le rôle de celui qui remet en question le changement climatique avec les arguments qu’on entend souvent dans les débats publics et sur les réseaux sociaux. Face à moi, Serge Zaka répond sans détour, déconstruit et met en lumière les réalités climatiques pour une discussion sans filtre. Ce format inédit saura, je l’espère, capter votre attention et vous donner des outils pour comprendre et répondre aux arguments de ceux qui nient l’urgence climatique. À regarder absolument !
Dans une vidéo, le youtubeur d’extrême droite Le Raptor y réfute le réchauffement climatique, qualifié d’« arnaque mondiale ». Un buzz inquiétant, qui va au-delà d'internet, selon le journaliste Maxime Macé, spécialiste de la fachosphère.
Plus de 30 mensonges à réfuter… nous revenons dans cette vidéo sur les principaux, en espérant que certaines personnes changeront d’avis.
Pour Moscou, la politique climatique apparaît comme un moyen au service d’un objectif supérieur : l’intérêt national
Jean-Marc Jancovici, président du Shift Project, est invité par Ground Control. Il nous explique le moteur principal du climatoscepticisme, et les différents types de climatosceptique. Comment les convaincre que le climat se réchauffe vraiment ? Ça ne sera pas par des arguments scientifiques, ça c'est sûr. Peut-être par un câlin ?
« Totalitarisme vert », « propagandistes du Giec »... Des députés du Rassemblement national fraichement élus à l’Assemblée sont connus pour leur remise en cause du changement climatique et leur haine des écologistes.
Jamais en manque de raccourcis pour nous faire douter de l’existence d’un réchauffement global, les dénégateurs de la science climatique mettent en avant à intervalles réguliers l’argument selon lequel il ne serait, en fait, pas prouvé que le CO2 émis par les êtres humains en soit la cause. En une phrase, ce cliché pose la question de savoir si nous sommes sûrs que le CO2 émis par les humains est vraiment la cause du réchauffement climatique ?
Rarement un homme comme Charles Gave aura été capable d'enchainer autant de mensonges en 30mn comme il l'a fait sur Thinkerview.
Les climatologues et défenseurs de l’environnement ont longtemps dû composer avec les discours niant l’existence d’un réchauffement climatique. Aujourd’hui, la tendance à minimiser les effets du réchauffement prend le dessus.
En 2012, deux auteurs d’extrême droite avaient dénigré les travaux du célèbre climatologue Michael E. Mann. Une victoire pour la science du climat, devenue la cible préférée du complotisme.
A quoi joue Le Figaro ? Depuis plusieurs années, le journal multiplie les tribunes climatosceptiques, les postures anti-science, le greenwashing. Nous aurions pu espérer qu’après la sortie du dernier rapport du GIEC en août 2021, qui rappelait que le réchauffement climatique est dû aux activités humaines, un fait établi et sans équivoque, les climatosceptiques allaient disparaitre des médias. C’était sans compter sur Le Figaro qui allait ouvrir ses colonnes quelques jours après à Benoît Rittaud, président d’une association climatosceptique et qui publie des articles dont le contenu est aussi mensonger que fallacieux, sur son site comme sur les réseaux sociaux.
Au procès d’Extinction Rebellion, un magistrat climatosceptique
Jusque là bien huilée, la présidence émiratie de la COP28 a commis son premier faux pas. Sultan Al Jaber a tombé le masque dans une vidéo datant du 21 novembre dernier et rendue publique le 2 décembre par The Guardian et le Center for Climate Reporting.
C’est une large victoire, avec plus de 55,6 % des voix selon les premiers résultats. L’économiste ultralibéral et climatosceptique Javier Milei a été élu président de l’Argentine, dimanche 19 novembre. « Aujourd’hui commence la reconstruction de l’Argentine », a-t-il déclaré. L’homme de 53 ans se définit comme « antisystème » et veut la fin du « modèle appauvrissant de l’État omniprésent ».
Inflation délirante et population à 40 % en dessous du seuil de pauvreté justifient-elles de tester l'extrémisme sous toutes ses formes ? Sans doute pour les Argentins qui ont voté à 56 % pour Javier Milei, le Trump de la pampa, avec un taux de participation de 76 %. Ultralibéral et ultramacho, il a gagné à coups de clips et de messages simplistes à l'image de ceux qui ont été les premiers à le féliciter, Trump et Bolsanaro. Va-t-il mettre à exécution toutes ses menaces sur les aides sociales, la banque centrale et l’abolition de l’avortement ? Suspens !
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Intitulé "Réévaluation critique de l'hypothèse du réchauffement planétaire lié aux émissions de CO2", l'article rejette notamment les conclusions et projections des rapports des experts de l'ONU sur le climat (Giec), se fondant notamment sur des études largement contestées depuis des années dans le domaine scientifique.
Après les inondations qui ont frappé Bahía Blanca, c’est l’auto-organisation qui prime. La ville portuaire ne peut pas compter sur Javier Milei, président d’extrême droite, qui a mis en place un soutien « tardif et insuffisant ».
Dans sa tentative de détricoter toute lutte contre le dérèglement climatique aux États-Unis, Donald Trump multiplie les attaques contre l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique. Cet organisme gouvernemental joue un rôle primordial dans la recherche scientifique mondiale et dans la surveillance météorologique.
Venu des États-Unis, un groupe de réflexion d’extrême droite et climatosceptique œuvre à démanteler les lois environnementales de l'Europe. Et ce, avec l'aide de députés européens.
Claude Allègre, géochimiste de renom et ancien ministre, est mort le 4 janvier à 87 ans. Ses prises de position climatosceptiques ont largement influencé le débat en France, freinant l’action contre le réchauffement climatique.
Une guerre culturelle a commencé. Continue, ouverte ou cachée, explicite ou détournée, elle concerne le destin de l’humanité tout entière. Elle concerne les savoirs autour de l’énergie, et plus particulièrement les contre-vérités diffusées par les « pétropouvoirs » internationaux.En témoigne l’insolent succès, en librairie, des ouvrages climatosceptiques qui nourrissent explicitement le doute(1).
Derrière le succès des ouvrages climatosceptiques se joue une guerre culturelle. Les pétrosavoirs, portés par l’industrie fossile, font tout pour minimiser les succès des énergies renouvelables.
Prix sur le fait. Ce samedi 30 novembre, la Société de géographie de Paris, la plus vieille au monde, remettra son Grand prix à Sylvie Brunel, géographe et essayiste accusée de climatoscepticisme. À l’annonce de ce choix, le chercheur Damien Deville et le cosmographe Maxime Blondeau ont remis leur démission. Dans un entretien à Vert, Damien Deville explique son choix.
Depuis sa victoire, le républicain a effectué de nombreuses nominations à des postes plus ou moins importants. Le CV de beaucoup de ces impétrants ne les destinait pas vraiment à occuper des responsabilités dans l’administration fédérale.
Déboucher les faux sceptiques. Le rédacteur en chef de Vert revient sur les dernières «zinzineries» des climatosceptiques et en profite pour évoquer Chaleurs actuelles, un grand projet pour apprendre à décrypter les discours les plus dangereux pour le climat et les humains. Cliquez ici pour (ré)écouter cette chronique diffusée sur France inter le 20 novembre 2024.
Déni-oui-oui. L’appellation «climatosceptiques» est un grand fourre-tout qui regroupe des familles bien différentes, dont l’organisation Parlons climat vient de brosser le portrait comme jamais auparavant. Sont-ils forcément d’extrême droite ? Plutôt masculins ? Quelles sont leurs préoccupations et comment leur parler ? Tour d’horizon d’un sujet brûlant.
Climatosceptique, PDG d'une entreprise et soutenu par les compagnies pétrolières américaines: Donald Trump a nommé au poste de secrétaire à l'Energie Chris Wright, PDG de l'entreprise Liberty Energy, avec pour feuille de route la dérégulation du secteur. "En tant que ministre de l'Energie, Chris sera un leader clé, stimulant l'innovation, réduisant les barrières administratives et inaugurant un nouvel +âge d'or de la prospérité américaine et de la paix mondiale+", a déclaré Donald Trump dans un communiqué.
Les français sont de plus en plus climatosceptiques, révèle le 25e baromètre des représentations sociales du changement climatique, publié par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) en octobre 2024. Selon cette étude basée sur un échantillon de 1 505 personnes, près de 30 % des personnes interrogées considèrent que les désordres climatiques et leurs conséquences, à l’image des canicules, des tempêtes, des sécheresses, des inondations plus fréquentes et sévères, la (…)
L'occasion de remettre en cause l'image stéréotypée que nous en avons et de réinterroger les stratégies d'info et de communication sur le changement climatique et la transition écologique.
Le doute sur l’origine ou l’existence du réchauffement climatique ne découle pas d’un manque de connaissances ou d’une défiance des scientifiques, mais d’un rejet de ce qui menace certains modes de vie et valeurs, selon une enquête de l’ONG Parlons climat.