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décroissance

avril 2024

Des économistes ont, pour la première fois, calculé précisément les effets (positifs) d’une diminution de la croissance sur l’évolution du climat, observe l’historien Jean-Baptiste Fressoz, dans sa chronique.
Historien, Jean-Baptiste Fressoz ne "prône rien du tout". Il estime cependant que la décroissance serait le moyen le plus efficace de faire baisser rapidement nos émissions de CO2.

mars 2024

Il n’est pas nécessaire de produire plus pour atténuer le changement climatique, éradiquer la pauvreté ou financer les services publics, estime Thimotée Parrique. L’économiste français était de passage à Genève pour expliquer à quoi pourrait ressembler un monde «post-croissance».
L'inclusion ou non du Sud global dans un scenario décroissant est sujet à de nombreux débats. Car cela implique de penser les dépendances économiques, le risque d'être néocolonial et la dette écologique.

février 2024

Entretien avec Jean-Philippe Decka, qui travaille sur la transformation des modèles économiques des entreprises dans le respect des limites planétaires.
L’économie, on lui donne des règles. Et depuis des décennies, nous lui avons donné une règle absolue, voire...
L’économiste spécialiste de la décroissance plaide pour une transition écologique franche, planifiée clairement et démocratiquement. Selon lui, laisser le problème aux mains du capitalisme revient à vendre le droit de polluer.
Dans notre société mondialisée, le flux ininterrompu des chaînes d’approvisionnement est complexe et potentiellement vulnérable aux dérèglements climatiques et aux tensions socio-économiques et géopolitiques. L’extraction des minerais, du pétrole et les productions agricoles par effet domino pourraient être plus ou moins gravement perturbées. Mais ce système est-il le seul envisageable ? Et si les pénuries à venir étaient l’occasion de se questionner sur ce système mondialisé ? Renaud Duterme, auteur de Pénuries (Payot), était l’invité de Tendances Première.

janvier 2024

Une récente synthèse sur la décroissance permet de dessiner les principales critiques que ce courant d'idées et de recherche adresse au système capitaliste.
Timothée Parrique, économiste et chercheur à l’École d’Économie et de Management de l’Université de Lund, montre dans son livre "Ralentir ou Périr : l’économie de la décroissance", comment l’idéologie d’une croissance économique sans limite piétine les écosystèmes et maltraite citoyens et êtres vivants, sans tenir ses promesses de prospérité. Son vœu pour 2024 ? "Apprendre à prospérer sans croissance", et construire un système économique plus démocratique.
Vincent Mignerot est essayiste, explorant la question de l’existence et interrogeant la capacité d’adaptation de l’humanité à terme. Dans cet échange nous parlons d'une variété de sujets. * Comment Vincent a pris sa claque et commencé à s'intéresser aux questions environnementales * La fondation de l'association Adrastia réunissant d'autres personnes ayant pris leur claque, et le bilan après 10 ans d'existence * "Décalage du point de référence", "collapswashing", et autres notions que Vincent a contribué à populariser * Le procès en inaction et en doomisme que certains lui font * Décroissance, autonomie, anticapitalisme et autres récits de soutenabilité face auxquels Vincent est en partie perplexe... en se disant "décroissant contrarié" Bonne écoute !
Dans « Sans transition. Une nouvelle histoire de l’énergie » (Seuil) l’historien des sciences et chercheur au CNRS Jean-Baptiste Fressoz montre cliniquement que la transition énergétique est une fable créée de toutes pièces par le capital, à l’origine du dérèglement climatique. Interview.

décembre 2023

Malgré les discours sur la sobriété volontaire, la sobriété proposée par les pouvoirs publics reste dictée par la contrainte. Des leviers existent pourtant pour une sobriété « choisie ».
Pour faire face au défi du changement climatique, le chercheur en économie écologique Timothée Parrique prône la décroissance et la transition vers une économie post-capitaliste.

novembre 2023

« La Relève ». Chaque mois, « Le Monde Campus » rencontre un jeune qui bouscule les normes. Timothée Parrique, 34 ans, auteur de « Ralentir ou périr », un essai sur la décroissance tiré à plus de 30 000 exemplaires, popularise les théories de ce mouvement et impose un style particulier : l’« academictainement ».
Abandonner le mythe de l'économie triomphante - quelques minutes avec Timothée Parrique

octobre 2023

Omniprésente, la technique nous a été imposée par des choix politiques, explique l’historien François Jarrige. Pour lui, c’est à nous de construire une autre société. Car aucune technique n’est « miraculeuse ».
La décroissance est-elle nécessaire ? réaliste ? Et quelles seraient les conditions à remplir pour sa mise en œuvre ?
Pouvons-nous concilier sobriété et croissance ? Difficile voire impossible. Seul un débat politique permettra de changer nos façons de concevoir nos sociétés. Par Chantal Jouanno.

septembre 2023

Face aux enjeux écologiques et sociaux, la décroissance s'annonce, pour ses partisans, comme la meilleure solution pour sauver la planète.
Selon une nouvelle étude menée par un chercheur de l’Institut de sciences politiques Otto Suhr de la Freie Universität Berlin, le niveau du produit intérieur brut (PIB) n’a aucun impact sur la capacité des États dotés d’une souveraineté monétaire à financer des investissements dans des mesures radicales de décarbonation et des mesures sociales ambitieuses. des politiques telles que des services publics universels et une garantie d’emploi. L’étude « Comment payer pour sauver le monde : théorie monétaire moderne pour une transition vers la décroissance » vient d’être publiée dans la revue Économie écologique.
- C'est quoi la décroissance et la déconsommation, et pourquoi cela va arriver ? - Est ce que le marketing est responsable de la société de consommation et de la surconsommation où nous sommes ? - Qu'est ce que la résilience, et comment rendre une entreprise résiliente (former les gens, autonomie, apprendre de ses erreurs, oser...) ? - Comment inspirer / inciter / convaincre un chef d'entreprise à changer son organisation de manière radicale, et pas juste faire de la "RSE de surface" ?
Cet article avait été commencé sous la forme d’un court fil Twitter sur la mise-à-jour en cours des projections de PIB et de population des scénarios SSP, les scénarios socioéconomiques utilisés comme base pour une majeure partie des projections climatiques, notamment dans les rapports du GIEC. Ce fil est rapidement devenu beaucoup trop long, car pour montrer l’intérêt de cette actualité, il faut expliquer ce que sont les scénarios SSP, comment ils sont élaborés, ce à quoi ils servent, leur intérêt ainsi que leurs limites. De plus, comme Twitter bloque désormais l’accès à celles et ceux qui n’ont pas de compte, en voici une version sous forme d’article, bien plus développée. Ce sujet permet de revenir sur l’origine de la croissance économique dans les scénarios climatiques, et sur les alternatives actuellement développées avec des scénarios limitant la demande en énergie, voire décroissants.
La décroissance identifie et critique la croissance comme fondamentale pour le système capitaliste. La croissance enrichit les propriétaires et les riches, laissant le reste de l’humanité derrière lui avec des conséquences environnementales dévastatrices. Paul Fleckenstein, membre de Tempest, interviewe Gareth Dale sur la politique de la décroissance et la critique de l’idéologie de la croissance dans la société capitaliste.
Au service de quelle économie faisons-nous produire nos entreprises ? A quoi sert sa croissance ? À quoi sert l’enrichissement du PIB ? Quel modèle notre activité économique et celle de nos collaborateurs viennent-elles nourrir ? Aujourd’hui, nous en revenons tous aux fondamentaux. Et il est désormais indéniable que les règles du jeu économique détruisent le monde vivant. Il nous en faut donc de nouvelles, avec de nouvelles institutions pour les encadrer. La radicalité est aujourd’hui essentielle, parce que nous avons besoin de modèles économiques, d’institutions et de modes d’organisation radicalement nouveaux.
La crise écologique est déjà la question sociale et politique la plus importante du XXIe siècle, et le deviendra encore plus dans les mois et les années à venir. L’avenir de la planète, et donc de l’humanité, sera décidé dans les décennies à venir. Comme l’explique le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, si la température moyenne mondiale dépasse de 1,5 °C la période préindustrielle, il y a un risque de déclencher un processus irréversible et catastrophique de changement climatique.
Le nouveau Plan Local d’Urbanisme mènera inexorablement au nivellement économique par le bas et à la dégradation financière irréversible de Paris.

août 2023

Jean-Marc Jancovici, associé co-fondateur de Carbone 4, fondateur et président de The Shift Project, était l'invité de l'émission Ecorama enregistrée lors de...
En thermodynamique, la mesure de la dissipation de l’énergie sous forme de chaleur, autrement dit la mesure de la désorganisation des systèmes, du désordre irrémédiablement croissant du monde, s’appelle l’entropie. François Roddier, astrophysicien, s’en expliquait dans un entretien au journal Le Monde en octobre 2013 (1). Et dans l’une de ses contributions aux revues Politiques de l’Anthropocène et Nouveaux Débats, un de ses articles paru en 2021 De la nécessité d’une décroissance, prônait une société décroissante pour chercher à éviter le délitement des liens, à maintenir les conditions d’habitabilité de la Terre dans une décence commune. François Roddier est décédé mais il nous laissera des perspectives incroyables, et une réinterprétation de l’évolution de l’univers, de la vie et des sociétés humaines à partir de la thermodynamique.
La décroissance est une idée qui dit que produire toujours plus n'est pas forcément bon pour le bien-être de tous ou pour la planète. Contrairement à certains qui croient que la technologie peut nous permettre de continuer à croître tout en étant écolo, les partisans de la décroissance estiment que consommer trop et trop vite vide nos ressources naturelles. Ils pensent que si on ne devient pas plus économes, on court un gros risque. Certains disent que la décroissance serait mauvaise pour l'économie ou l'innovation, mais c'est plus complexe que ça. Si vous voulez vraiment comprendre et discuter de ce sujet, Vincent Liegey, ingénieur, chercheur interdisciplinaire nous donne des infos claires à ce sujet
Plusieurs dossiers restent clivants chez les militants, voire chez certaines figures écologistes qui prennent leur distance avec la ligne d’EE-LV.
Convaincus de la possibilité d'une croissance infinie dans un monde fini les cornucopiens considèrent que l'intelligence humaine et les innovations technologiques pourront palier la rareté des ressources et le dérèglement climatique.

juillet 2023

Il convient d'envisager une séparation forte et claire entre la compétition économique et « l’ambition nécrophile » (Fromm, 1964) : concevoir des nouvelles arènes où les forces de la nature pourraient compétitionner entre elles sans détruire la planète, à défaut de quoi, la quête de l’accumulat

juin 2023

Accueil – La croissance, c'est un non-sens ; la décroissance, c'est du bon sens !
Loin d'être vertueuse, la croissance n'est que l'expression d'une obsession boulimique pour l’accumulation, explique l'économiste. Sa proposition : se diriger vers un écosocialisme convivialiste et frugal.
Dans ce billet, je voudrais proposer une hypothèse prospective que j’appellerais « hypothèse de la reine verte », par analogie avec l’hypothèse de la reine rouge. Cette hypothèse, si elle est vérifiée, présente un obstacle rédhibitoire à la généralisation de la décroissance puis de la post-croissance comme nouveau paradigme civilisationnel mondialisé. Si l’on est convaincu que la décroissance et la post-croissance de manière générale forment ensemble un paradigme indispensable pour éviter les pires scénarios d’effondrement et d’extinction qui menacent l’Humanité, alors il devient nécessaire de formuler des solutions politiques et institutionnelles capables de neutraliser les effets de cette « hypothèse de la reine verte ». Si ces solutions politiques et institutionnelles échouent à se mettre en œuvre pour des raisons contingentes, ou se révèlent impossibles à mettre en œuvre, pour des raisons déterministes, alors l’hypothèse de la reine verte fait partie des éléments de solution au paradoxe de Fermi. C’est-à-
Durant la législature du Parlement européen qui se termine, de la crise Covid à la guerre en Ukraine, sans oublier la gestion des aspects énergétiques, s’est confirmé un constat aujourd’hui sans appel : il n’y aura pas de découplage entre Produit Intérieur Brut (PIB) et écocide. Progression du PIB mondial d’un coté, disparition du vivant, pollutions, dégradations de l’ensemble des conditions de vie sur terre en ce compris l’aspect climatique de l’autre, sont intimement liés (réf). La récession est-elle inévitable ? Est-elle indispensable ?
Et si on mettait en pratique la #décroissance ? Que l’on soit pour ou contre la décroissance, il faut admettre que les idées portées par les décroissants questionnent les indivi…
La décroissance est-elle un projet réaliste ? À entendre ses principaux partisans, elle constituerait à la fois une réponse aux injustices du capitalisme marchand et une solution pour mettre en œuvre une économie respectueuse des limites écologiques de la planète. En proposant une lecture critique du dernier ouvrage de Timothée Parrique, théoricien français de la décroissance, David Cayla explique pourquoi le projet décroissant, selon lui, représente une rupture anthropologique d’une grande violence qui a très peu de chances de rencontrer une acceptation sociale.
Vincent est chercheur interdisciplinaire et a récemment publié "Sobriété (la vraie)". Il a été de tous les combats et réflexions depuis plus de 15 ans !Il se...
Dans un monde marqué par le dérèglement climatique, le déclin de la biodiversité, l’accroissement des inégalités et le retour des pénuries, la “sobriété”, qui a remplacé les “croissance verte” et autres “développement durable” dans les discours de nos gouvernants, s’avère une bien piètre solution face à ces défis colossaux. Largement soutenue par des ingénieurs, des scientifiques mais également par une opinion populaire de plus en plus large, la décroissance s’affirme peu à peu comme l’unique alternative réaliste à même de fonder une société respectueuse des équilibres écologiques et du vivant. Elle n’est ni une théorie ni un programme clé en main, mais une pensée plurielle, vivante et dynamique, née de la conscience aiguë des contradictions et impasses qui caractérisent nos modes de vie, nos infrastructures et nos imaginaires.
"La décroissance, ça veut dire être moins bien soigné, ça veut dire se déplacer moins, ça veut dire une qualité de transport moins bonne et ça veut dire moins de prospérité pour nos enfants", a dénoncé le ministre de l'Économie.

mai 2023

Olivier De Schutter lance un avertissement. Non, la croissance ne résoudra en rien la question des inégalités ni celle des multiples crises environnementales. Au contraire, elle ne fera que les aggraver. Chiffres à l'appui, il démontre l'urgence d'un changement de boussole pour bâtir collectivement la société post-croissance.
Beyond Growth : quand la décroissance s’invite au parlement européen pour 3 jours de conférences Questionner les experts, les scientifiques et les décideurs politiques sur ce qu’il y aurait derrière le mythe de la croissance économique infinie, c’est ce qu’il s’est passé le lundi 15 mai et pour 3 jours au Parlement européen. Et plus …
Olivier de Schutter, rapporteur de l'ONU sur les droits humains et l'extrême pauvreté, est notre invité à l'occasion de la publication de son livre « Changer de boussole », qui entend arrêter de prôner une croissance à tout prix.
Quel est le sens de l’entrepreneuriat à partir du moment où on remet en cause le modèle de la croissance, alors que certaines limites planétaires sont déjà atteintes ? Lors de cette conférence stimulante, Christian Arnsperger, Professeur en durabilité et anthropologie économique à l’Université de Lausanne (Suisse), et Bernard Surlemont, Professeur d'entrepreneuriat à HEC-Liège, ont croisé regard théorique et pratique, approche systémique et de terrain pour répondre à cette question : « Comment s’engager en tant qu’entrepreneur, au sens large, sur le chemin de la post-croissante ».
Bâtir ensemble un projet de société radicalement nouveau
Quelle alternative économique proposer à la chimérique et délétère croissance verte ? Alter Kapitae tente de tracer une nouvelle voie : la décroissance prospère. Nous avons réuni des chercheurs, des représentants d'entreprises, d'ONG et d'associations afin de construire dans un espace d'échange inédit 15 propositions politiques concrètes, sur 3 thèmes, que nous vous invitions à retrouver ci-dessous :
La croissance du PIB ne fait plus le bien-être des pays riches mais crée plus d'inégalités, de pauvreté et de pollutions...
Aujourd'hui, il est urgent de réfléchir à des alternatives économiques basées sur le ralentissement de nos activités et la frugalité. Qu'est-ce que la décroissance ? Peut-elle être un véritable projet de société ? Peut-on, et comment, envisager une décroissance qui ne mène pas à l'effondrement ? Venez explorer et confronter le concept lors de cette session interactive avec Timothée Parrique et Christopher Guérin.
Le Premier ministre belge Alexander De Croo a critiqué la décroissance lors d’une conférence organisée à Berlin lundi et a rejoint les appels à une pause règlementaire sur les contraintes environnementales du président français Emmanuel Macron afin d’éviter de surcharger les entreprises.
La métropolisation est un modèle singulier d’urbanisation, celui de la ville-monde, avec un rythme de croissance des villes, quasi exponentiel depuis quatre à cinq décennies. Par ce rythme, l’équivalent d’une ville comme New York sort de terre tous les mois dans le monde. Ceci est le fait de l’ère néolibérale, stade singulier du capitalisme dans lequel les activités urbaines se dématérialisent, la rente immobilière s'accroît et les économies urbaines évoluent par tertiarisation et tri des populations. Ceci entraîne de grandes mutations, y compris dans les suds avec délocalisation des industries extractivistes et polluantes. Voilà pour le fait géographique global. Il est également total car les citadins sont sommés d'adopter des modes de vie consuméristes, et ce par nombre de projets urbains qui se ressemblent étrangement, avec toujours plus de mouvements et de fluidité, de connexion et d’agilité, de divertissement et de festivités...
Ou leur appel correspond-il à une nécessité humaine ? Tentative de réponse avec le philosophe Emmanuel Mounier.
Le mouvement de la décroissance gagne rapidement en popularité en Europe. Il préconise de renoncer à la croissance économique. Mais sans croissance, pouvons-nous encore défendre nos valeurs et nos intérêts sur la scène internationale ? Richard Wouters a interrogé Gaya Herrington, expert en développement durable, sur les implications géopolitiques d’un modèle économique sans croissance.
Aurélien Barrau au Parlement Européen "Au-delà de la croissance"
Le Parlement européen a accueilli pendant trois jours une conférence sur le sujet, coorganisée par vingt eurodéputés issus de cinq groupes, à l’initiative du Belge Philippe Lambert. Constat : il faut changer de modèle. Comment ? Le débat reste ouvert.
Nouveau #TALK à #BEYONDGROWTH sur LIMIT avec Timothée Parrique, docteur en économie spécialiste de la décroissance, chercheur à l’université de Lund, en Suède Quel plaisir que de retrouver pour la 2ème fois sur cette chaîne celui qui nous a fait une belle explication autour de la décroissance et d'une économie post-croissance.À l'occasion de la conférence Beyond Growth au Parlement Européen, nous avons échangé sur son feeling, ses peurs et l'espoir.
Intervention d'Aurélien Barrau à la conférence #BEYONDGROWTH en partenariat avec LIMIT au Parlement UE. Spécialisé en relativité générale, physique des trous noirs et cosmologie, il est directeur du Centre de physique théorique Grenoble-Alpes et travaille au Laboratoire de physique subatomique et de cosmologie de Grenoble. Professeur à l'université Grenoble-Alpes, il travaille sur sur la gravité quantique. Il est aussi docteur en philosophie et militant écologiste.
We’re sharing the open letter published to accompany the start of the “Beyond Growth” conference at the European Parliament, and signed by members of the Zagreb Degrowth Conference team.