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focusclimat été chaud
La température moyenne relevée entre le 1ᵉʳ juin et le 31 août a été de 16,10 °C, avec quatre vagues de chaleur et un pic de 35,8 °C le 1ᵉʳ juillet dans le Kent (sud-est de l’Angleterre), a annoncé Met Office, lundi.
Malgré un répit dans la série de records de chaleur, juillet 2025 s'est classé sur le podium des mois de juillet les plus chauds jamais mesurés sur la planète, a annoncé, jeudi, l'observatoire européen Copernicus. Le mois dernier, le thermomètre a dépassé 50°C non seulement dans le Golfe et en Irak, mais aussi en Turquie pour la première fois.
Avec une température moyenne de 19,3°C, soit 2,6°C au-dessus des normales, juin 2025 se classe comme le deuxième mois de juin le plus chaud jamais enregistré en Belgique,
Selon un bilan publié par Météo France ce mercredi 4 juin, la température moyenne relevée en mars, avril et mai, a été supérieure aux normales de 1,1 °C.
Les trois mois de printemps de l'année ont été historiquement secs, avec des températures supérieures à la normale, ressort-il du bilan saisonnier publié dimanche par l'Institut royal météorologique (IRM).
L’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) publie ses prévisions climatiques pour les cinq prochaines années, 2025-2029. Selon l’OMM, les températures de la terre oscilleront entre +1.2°C et + 1.9°C, ce qui nous amène très près de 2°C de réchauffement en 2030 (OMM). Nous serons alors proches du climat annoncé pour la France à 4°C.
Le mois d’avril 2025 est le deuxième plus chaud jamais enregistré et prolonge la séquence de mois dont la température a dépassé la barre de + 1,5 °C de réchauffement par rapport à l’époque préindustrielle, a annoncé jeudi l’observatoire européen de surveillance du climat Copernicus.
Les températures ont encore atteint des records ce mois de mars 2025, le plus chaud d’Europe depuis l’ère préindustrielle, rapporte l’observatoire européen Copernicus ce mardi 8 avril. En Arctique, la glace de mer hivernale est à son niveau le plus bas jamais enregistré.En Europe, le mois de mars 2025 a été le plus chaud jamais enregistré depuis l’ère préindustrielle. Selon un rapport de l’observatoire européen Copernicus publié ce mardi 8 avril, les températures ont été majoritairement supérieures à la moyenne sur l’ensemble du Vieux Continent, les anomalies chaudes les plus importantes ayant été relevées en Europe de l’Est et dans le sud-ouest de la Russie.
Les températures mondiales se sont maintenues à des niveaux historiquement élevés en mars, poursuivant une série de près de deux ans de chaleur extraordinaire sur la planète, dans la fourchette haute des prévisions scientifiques sur le réchauffement climatique.
A Rio de Janeiro, au Brésil, le thermomètre s’affole. Mi-février, la température a atteint le niveau record de 44°C.
Avec une température moyenne de 13,23 °C, « janvier 2025 a dépassé de 1,75 °C le niveau préindustriel », douchant l’espoir que le phénomène La Niña mette fin à près de deux ans de records de températures.
Chaud time. Ce jeudi, l’observatoire européen Copernicus a annoncé que ce début d’année 2025 avait battu des records de chaleur dans le monde. Les scientifiques espéraient pourtant que le phénomène naturel La Niña rafraichirait la planète. Depuis près de deux ans, les maximums de températures s’enchaînent.
Janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud jamais mesuré dans le monde, a annoncé jeudi l'observatoire européen Copernicus. Il a battu le record établi en 2024, malgré la fin du phénomène El Niño qui a accentué le réchauffement climatique en 2023 et 2024.
Un demi degré de réchauffement en plus (+2 °C) triplera la superficie de la Terre trop chaude et invivable pour l’homme.
L'année 2025 devrait être l'une des trois plus chaudes enregistrées sur la planète, a indiqué jeudi l'agence britannique Met office, après une année 2024 record qui dépassera pour la première fois la barre symbolique de 1,5°C de réchauffement.
Ces phénomènes, surnommés points chauds de canicule, inquiètent les chercheurs, qui tentent d’en comprendre les causes.
L’année 2024 devrait être l’année la plus chaude jamais mesurée. La chaleur a provoqué des phénomènes climatiques meurtriers, en particulier en Asie, aux Etats-Unis et en Afrique.
Cet été a été le plus chaud jamais enregistré sur le continent européen, rapporte jeudi l'observatoire européen Copernicus.
L’été 2024 poursuit une interminable série de records de températures mondiales, avec son cortège de canicules, de sécheresses ou d’inondations meurtrières alimentées par un réchauffement climatique sans répit. De juin à août, les trois mois de l’été de l’hémisphère nord ont connu la température moyenne mondiale la plus élevée jamais mesurée, battant déjà le record de 2023, a annoncé vendredi l’observatoire européen Copernicus.
Les températures moyennes mondiales en juin, juillet et août ont été les plus élevées jamais mesurées, a annoncé ce vendredi 6 septembre l’observatoire européen Copernicus. Le précédent record datait seulement de l’an dernier.
L'observatoire européen Copernicus a annoncé vendredi que l'été 2024 avait été le plus chaud jamais enregistré sur la planète. De quoi augmenter la probabilité que l'année 2024 batte elle aussi un record de température.
C’est le troisième été consécutif où les normales de saison ont été nettement dépassées en France. « L’été 2024 affiche une anomalie chaude de +0,7 °C par rapport à la normale 1991-2020 », dévoile un bilan de Météo-France publié le 2 septembre. Si le mois de juin a été conforme à la normale, le mois de juillet a été légèrement plus chaud (+0,6 °C), et le mois d’août a été nettement plus chaud (+1,5 °C).
Avec 31,3°C enregistrés à Uccle, ce dimanche a été le 1er septembre le plus chaud depuis le début des mesures en Belgique, selon l'Institut royal météorologique (IRM).
Un record depuis plusieurs siècles : la température de l'eau de la célèbre Grande Barrière de corail en Australie est plus élevée ces dix dernières années que depuis 400 ans, selon une étude scientifique publiée mercredi.
Le mois d'août est traditionnellement la période la plus chaude au niveau des mers et océans qui bordent la France métropolitaine. C'est également le cas pour la Méditerranée même si, à la différence de la mer du Nord, la Manche et l'Atlantique, la température dans ce bassin peut subir des variations importantes en quelques jours, à la hausse ou à la baisse, en fonction du vent. En ce moment, une grande partie de la Méditerranée connaît des températures de l’eau très supérieures à la normale.
Les 12 derniers mois ont tous enregistré des records de température, dépassant à chaque fois la limite de 1,5 °C au-dessus de la moyenne préindustrielle.
La température moyenne au niveau mondial a battu des records chaque mois depuis juin 2023.
Voilà un record dont on se passerait bien. Juin 2024 a été le mois de juin le plus chaud jamais enregistré, selon les données les plus récentes de Copernicus, le programme européen d’observation de la Terre. La température de l’air sur le globe a été, en moyenne, de 16,66 °C en juin 2024, soit 0,67 °C de plus que la température moyenne à la même période de l’année entre 1991 et 2020, et 1,5 °C de plus qu’entre 1850 et 1900. Cela fait donc douze mois consécutifs que la planète connaît, chaque mois, un (...)
Selon une étude publiée ce mardi et qui a reconstitué les températures du passé pour les mois de juin à août, l'été 2023 a été le plus chaud en 2000 ans.
L'été 2023 a battu tous les records en devenant l'été le plus chaud depuis deux millénaires dans les zones tempérées de l'hémisphère nord.