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pollution océans
Les biomédias sont régulièrement au cœur d’accidents qui entraînent une pollution des cours d’eau et des océans.
L’analyse de la composition du vortex a révélé une nette augmentation de la présence de microparticules de plastique entre 2015 et 2022, symptôme de l’explosion de la production.
Chaque année, des dizaines de milliers de filets de pêche sont perdus ou abandonnés dans les océans avec des conséquences désastreuses.
Des milliers de filets de pêche perdus ou abandonnés traînent dans les mers du globe, avec des conséquences désastreuses. Ils sont dangereux pour de nombreux animaux, soit parce qu’ils les entravent et les noient, soit parce qu’en se dégradant ils sont absorbés par la faune océanique.
Dans notre société actuelle, les produits en plastique sont omniprésents. Ils ont envahi tous les aspects de notre quotidien, notamment en raison de leur faible coût et de leur grande polyvalence. Pourtant, ces avantages ne suffisent pas à compenser le terrible fléau que représente la pollution plastique pour notre environnement. Une quantité alarmante de déchets plastiques dans les océans
Dans un état des lieux alarmant, l'Union internationale pour la conservation de la nature prévient mercredi que la moitié des écosystèmes de mangrove mondiaux sont menacés d'effondrement. En cause : la déforestation, le développement, la pollution et la construction de barrages. Mais aussi l'élévation du niveau de la mer et la fréquence accrue des tempêtes violentes associées au changement climatique.
Dans un avis consultatif rendu ce mardi, l’instance estime que les gaz à effet de serre anthropiques absorbés par l’océan constituent une pollution marine, établissant un lien juridique entre océan et climat.
Les océans sont essentiels à notre survie, assurant la moitié de l'oxygène mondial. Savez-vous quelle est sa plus grande menace ?
Les crédits carbone ont fait des émules. Il existe aujourd’hui sur le marché tout un tas de crédits pour “protéger” l’océan, la forêt, les pandas… Les entreprises désireuses d’afficher une bonne empreinte environnementale acquièrent ces crédits dont la fiabilité n’est pas toujours démontrée. Tout l’enjeu est de ne pas répéter les erreurs du marché carbone.
Des fûts de déchets radioactifs, témoins silencieux d'une pratique controversée, reposent au fond des océans. Cette gestion hasardeuse, longtemps privilégiée par les États nucléarisés, soulève aujourd'hui des inquiétudes majeures.
Désormais omniprésents sur Terre, les microplastiques ont récemment fait l'objet d'une étude concernant leur possible lien avec les ouragans. Selon les résultats, les océans ne sont pas nécessairement une destination finale pour les microplastiques.
Les océans vont contenir plus de plastiques que de poissons en 2050. Scientifiques et militants s'associent pour la préservation des océans.
La deuxième phase du rejet en mer des eaux traitées de la centrale japonaise accidentée de Fukushima a commencé jeudi 5 octobre, a annoncé son opérateur, alors que ce processus de long terme, entamé fin août, avait scandalisé la Chine. Le rejet a débuté jeudi à 10 h 18, heure japonaise (01 h 18 GMT), a précisé à l'AFP un porte-parole de l'opérateur Tepco.
Les émissions de gaz à effet de serre qu’absorbent les océans doivent-elles être considérées comme de la pollution marine ? La question, plus que jamais d’actualité, n’a rien de rhétorique. Et le Tribunal international du droit de la mer (TIDM) va devoir y répondre.
Huit des neuf seuils écologiques de survie de la planète sont désormais en passe d’être dépassés, selon une étude de 29 scientifiques internationaux publiée mercredi 13 septembre.
La concentration en tritium de l'eau issue de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, que le Japon a commencé à rejeter en mer jeudi, est largement inférieure à la limite prévue, a indiqué l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)."Les experts de l'AIEA ont collecté des échantillons cette semaine des eaux préparées pour le premier déversement", a expliqué dans un communiqué l'instance onusienne, qui supervise l'opération.
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Pour faire face à une crise de l'eau majeure, 21 000 centrales fabriquent de l'eau potable dans le monde. Tous les jours, elles transforment des millions de litres d'eau de mer en une eau prête à la consommation. Un problème subsiste... Ces usines de dessalement sont loin d'être sans conséquence sur nos océans.
Notre nourriture, nos boissons et les médicaments que nous prenons, une fois évacués par notre corps, doivent bien aller quelque part. Grâce à un modèle scientifique publié récemment, le parcours d’un véritable déluge de déchets naturels humains partout dans le monde jusqu’au littoral a enfin été exposé à la vue de tous. Et ce n’est pas très joli.
Le plastique ne pollue malheureusement pas que les plages et les fonds océaniques. De la Sierra Nevada colombienne jusqu'au Tibet en passant par les Pyrénées et les Alpes, les microplastiques colonisent les sommets montagneux les plus escarpés. Les vents, la pluie charrient ces particules qui rentrent dans le cycle de l'eau naturelle et se retrouvent ainsi en hautes montagnes.
Pendant dix ans, des dizaines de scientifiques, épaulés par les dernières technologies, sillonneront les océans à la recherche de créatures non identifiées. “Une course contre la montre” avant que le réchauffement climatique et la pollution ne fassent disparaître une partie de cette vie marine.
Les PFAS polluent les terres et les eaux douces, mais également tous les océans du globe, où ils peuvent subsister pendant de très longues années.
Lancée en 2013, l’organisation à but lucratif The Ocean Cleanup a pour objectif de nettoyer les océans des déchets plastiques.
La pollution atmosphérique en mer du Nord est peu et mal réglementée. La Belgique a inventé un outil révolutionnaire, l’avion renifleur, pour la détecter. Mais il reste sous-exploité, et les contrôles comme les sanctions restent faibles.
Quels sont les pays qui rejettent le plus de plastique dans l'océan ? Pourquoi ? Qu'est-ce que cela signifie pour les solutions de lutte contre la pollution plastique ? Voici un regard de côté pour comprendre l'ampleur et les moteurs de la pollution plastique océanique, afin de mettre en œuvre les interventions les plus efficaces pour la réduire.
Une nouvelle étude parue dans la revue PLOS One estime que 170 000 milliards de morceaux de plastique flottent à la surface des océans.
Les auteurs d'une étude, publiée mercredi dans la revue américaine PLOS One, estime à 170 000 milliards le nombre de morceaux de plastique à la surface des océans, principalement des microplastiques, en grande partie rejetés en mer depuis 2005.
Alors qu'un traité international visant à renforcer la protection des océans vient d'être négocié à New York, Pascale Ricard, spécialiste du droit international de l’environnement et de la mer, revient sur les réglementations en vigueur et sur la difficulté, à travers le cas de la pollution plastique, de les mettre en œuvre.
L’accumulation de particules de plastique dans les océans a connu une hausse galopante, d’après une nouvelle étude. Les scientifiques estiment que les eaux contiennent plus de 2 millions de tonnes de cette matière toxique.
Une nouvelle étude de grande ampleur sur la pollution des mers révèle que plus de 2,3 millions de tonnes de microplastiques y flottent actuellement. Et c’est depuis 2005 que la concentration de ces petits morceaux de plastique s’est particulièrement accrue.
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Les biomédias sont régulièrement au cœur d’accidents qui entraînent une pollution des cours d’eau et des océans.
L’analyse de la composition du vortex a révélé une nette augmentation de la présence de microparticules de plastique entre 2015 et 2022, symptôme de l’explosion de la production.
Chaque année, des dizaines de milliers de filets de pêche sont perdus ou abandonnés dans les océans avec des conséquences désastreuses.
Des milliers de filets de pêche perdus ou abandonnés traînent dans les mers du globe, avec des conséquences désastreuses. Ils sont dangereux pour de nombreux animaux, soit parce qu’ils les entravent et les noient, soit parce qu’en se dégradant ils sont absorbés par la faune océanique.
Dans notre société actuelle, les produits en plastique sont omniprésents. Ils ont envahi tous les aspects de notre quotidien, notamment en raison de leur faible coût et de leur grande polyvalence. Pourtant, ces avantages ne suffisent pas à compenser le terrible fléau que représente la pollution plastique pour notre environnement. Une quantité alarmante de déchets plastiques dans les océans
Dans un état des lieux alarmant, l'Union internationale pour la conservation de la nature prévient mercredi que la moitié des écosystèmes de mangrove mondiaux sont menacés d'effondrement. En cause : la déforestation, le développement, la pollution et la construction de barrages. Mais aussi l'élévation du niveau de la mer et la fréquence accrue des tempêtes violentes associées au changement climatique.
Dans un avis consultatif rendu ce mardi, l’instance estime que les gaz à effet de serre anthropiques absorbés par l’océan constituent une pollution marine, établissant un lien juridique entre océan et climat.
Les océans sont essentiels à notre survie, assurant la moitié de l'oxygène mondial. Savez-vous quelle est sa plus grande menace ?
Les crédits carbone ont fait des émules. Il existe aujourd’hui sur le marché tout un tas de crédits pour “protéger” l’océan, la forêt, les pandas… Les entreprises désireuses d’afficher une bonne empreinte environnementale acquièrent ces crédits dont la fiabilité n’est pas toujours démontrée. Tout l’enjeu est de ne pas répéter les erreurs du marché carbone.
Des fûts de déchets radioactifs, témoins silencieux d'une pratique controversée, reposent au fond des océans. Cette gestion hasardeuse, longtemps privilégiée par les États nucléarisés, soulève aujourd'hui des inquiétudes majeures.
Désormais omniprésents sur Terre, les microplastiques ont récemment fait l'objet d'une étude concernant leur possible lien avec les ouragans. Selon les résultats, les océans ne sont pas nécessairement une destination finale pour les microplastiques.
Les océans vont contenir plus de plastiques que de poissons en 2050. Scientifiques et militants s'associent pour la préservation des océans.
La deuxième phase du rejet en mer des eaux traitées de la centrale japonaise accidentée de Fukushima a commencé jeudi 5 octobre, a annoncé son opérateur, alors que ce processus de long terme, entamé fin août, avait scandalisé la Chine. Le rejet a débuté jeudi à 10 h 18, heure japonaise (01 h 18 GMT), a précisé à l'AFP un porte-parole de l'opérateur Tepco.
Les émissions de gaz à effet de serre qu’absorbent les océans doivent-elles être considérées comme de la pollution marine ? La question, plus que jamais d’actualité, n’a rien de rhétorique. Et le Tribunal international du droit de la mer (TIDM) va devoir y répondre.
Huit des neuf seuils écologiques de survie de la planète sont désormais en passe d’être dépassés, selon une étude de 29 scientifiques internationaux publiée mercredi 13 septembre.