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pollutions plastiques
Dans un monde saturé par les déchets plastiques, des chercheurs japonais ont franchi une étape décisive en mettant au point un carton transparent. Cette percée technologique illustre comment l’innovation peut contribuer à la recherche de solutions durables face aux défis environnementaux que pose le plastique.
"La Seine et des microplastiques", dit une étude publiée vendredi dans la revue "Environmental science and pollution research" et qui montre que les microplastiques polluent les fleuves d’Europe. Cette recherche se base sur 2700 échantillons, relevés en 2019 dans neuf fleuves du continent : la Seine, l’Elbe, l’Ebre, la Garonne, la Loire, le Rhône, le Rhin, la Tamise et le Tibre. Quarante chercheurs ont procédé à ce recueil et l’analyse de ces eaux.
Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Nocives pour la santé et l’environnement, capables de charrier bactéries et produits toxiques, ces particules souvent invisibles à l’œil nu sont omniprésentes dans la Garonne, la Tamise ou le Tibre, dévoile ce lundi une étude inédite.
Les plastiques sont partout, de nos océans à nos poumons. Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, ils ne disparaissent jamais vraiment. En se fragmentant, ils deviennent des polluants invisibles, encore plus dangereux pour notre environnement et notre santé.
À tort et à couverts. Alors que les contenants en plastique sont interdits dans les services de restauration scolaire depuis le 1er janvier, le gouvernement souhaite déjà revenir sur cette décision. Plusieurs associations protestent contre la proposition d’un décret qui lèverait cette restriction destinée à limiter l’impact environnemental et sanitaire de ces ustensiles.
Le plastique utilisé pour emballer carottes, endives, poires va-t-il disparaître ? Pour l’heure, les industriels se réjouissent du nouveau texte européen qui reporte l’interdiction à 2030.
Des militants de Greenpeace ont abordé samedi un navire pétrochimique au large de la Corée du Sud, où se tiennent des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique. "Des militants de Greenpeace International sont montés à bord d’un pétrolier qui devait charger des produits chimiques plastiques toxiques provenant du complexe sud-coréen Hanwha TotalEnergies", indique Greenpeace dans un communiqué. Ce complexe est situé à Daesan, à environ 60 kilomètres au sud-ouest de Séoul.
Nous sommes exposés à des pollutions invisibles au quotidien, mais savons-nous vraiment ce qui entre dans nos corps ? De l'air que nous respirons aux produits que nous consommons, ces toxines invisibles envahissent notre organisme et affectent notre santé. Dans cette vidéo, découvrez les sources cachées de cette pollution et ce que vous pouvez faire pour vous protéger. Préparez-vous à être choqué par ce que vous allez apprendre !
Le gouvernement fédéral, premier acheteur de biens et de services au monde, prévoit dans un premier temps d’arrêter d’ici à 2027 de s’approvisionner en plastiques à usage unique pour ses activités de restauration, d’événementiel et pour les emballages, avant un élargissement à toutes ses activités.
Omniprésents dans l’environnement, les microplastiques pénètrent profondément dans l’organisme des poissons, jusqu’à se retrouver en grand nombre dans les filets que nous mangeons, révèle une étude canadienne réalisée près de Toronto.
Matériaux d’utilité publique pour certains, éléments polluants à bannir absolument pour d’autres. C’est ainsi que pourrait se résumer, aujourd’hui, la vision – Ô combien contrastée – de notre société à l’égard des matières plastiques. Avec la prise de conscience collective du réchauffement climatique et de la pollution des écosystèmes, de nombreuses voix se sont élevées pour interdire l’usage des plastiques dans notre quotidien. Mais est-ce réellement une bonne option ? Est-ce que le bannissement ne va pas induire des effets environnementaux encore plus délétères ? Quelles sont les options d’améliorations revendiquées qui pourraient être envisagées par le secteur de la plasturgie ? Décryptons ensemble le « dilemme des plastiques » ou comment concilier les bénéfices indispensables avec la nécessité de réduire les impacts environnementaux du secteur.
Des chercheurs de l'université américaine de Cornell ont étudié l'exposition aux microplastiques pour les habitants des 109 pays les plus développés et industrialisés.
D’importantes quantités de microplastiques ont été détectées dans les testicules de tous les sujets testés dans le cadre d'une récente étude. Ces particules seraient impliquées dans la baisse de la qualité des spermatozoïdes et de la fonction testiculaire globale.
Les crédits carbone ont fait des émules. Il existe aujourd’hui sur le marché tout un tas de crédits pour “protéger” l’océan, la forêt, les pandas… Les entreprises désireuses d’afficher une bonne empreinte environnementale acquièrent ces crédits dont la fiabilité n’est pas toujours démontrée. Tout l’enjeu est de ne pas répéter les erreurs du marché carbone.
L'Union européenne a finalisé la loi sur les emballages qui vise à atteindre une réduction de 5% du volume de déchets d’emballages d’ici 2030 (par rapport à 2018), puis de 10 % en 2035 et de 15 % en 2040. Voici les cinq principales mesures à retenir.
Companies knew for decades recycling was not viable but promoted it regardless, Center for Climate Integrity study finds
Les océans vont contenir plus de plastiques que de poissons en 2050. Scientifiques et militants s'associent pour la préservation des océans.
Les microplastiques ont envahi divers environnements. Or, une étude suggère qu'ils pourraient même influencer la météo.
Pour la première fois, des travaux ont signalé la présence de microplastiques dans la couche de neige du continent le plus isolé et le plus inhospitalier du monde, l’Antarctique. Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique The Cryosphere le 8 juin dernier. La découverte a été faite suite à l’analyse d’échantillons de neige prélevés en 2019 par une doctorante de l’Université de Canterbury (Nouvelle-Zélande) au niveau de la barrière de glace de Ross. « Lorsqu’Alex s’est rendue en Antarctique en 2019, nous étions optimistes sur le fait qu’elle ne trouverait pas de microplastiques dans un endroit aussi vierge et éloigné », relate Laura E. Revell, coauteure de l’étude.
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Deux ans après le vote de la loi pour l’interdiction des plastiques à usage unique ou jetables au Sénégal le 20 avril 2020, des défenseurs de l’environnement estiment que les promesses entrevues n’ont pas été tenues. À l’instar d’un activiste bariolé, Modou Fall, qui arpente les rues des villes sénégalaises autant que les réseaux sociaux pour alerter sur les dangers du plastique, ils dénoncent “l’immobilisme” du gouvernement.
Une centaine de pays se réunira lundi à Nairobi, au Kenya, pour lancer les pourparlers au sujet d’un traité international sur les plastiques, sources d’importantes pollutions marines et terrestres. Le processus devrait durer deux ans.
Banken in België spelen een belangrijke rol in de plastic-crisis via hun investeringen in de voedingsindustrie, stelt FairFin in een rapport. De banken kunnen die investeringen, goed voor 78 miljard euro, ook gebruiken als hendel om het gebruik van wegwerpplastic drastisch te doen dalen, zegt de ngo.
Un rapport, publié le 31 août par les Nations unies et la convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage, alerte sur les effets de l’ingestion et de l’utilisation des débris issus de la pêche par les oiseaux.
L’industrie est à l’origine de 30% des gaz à effet de serre en Wallonie et induit de nombreuses pollutions. Mais quantité de matériaux qu’elle fabrique nous servent au quotidien. Ciment, béton et briques, pour nos bâtiments et infrastructures non-biosourcés ; acier et métaux pour nos véhicules et équipements ; plastiques pour certains de nos objets et emballages ; engrais pour l’agriculture conventionnelle ; ou encore verre et papier consommateurs de chaux et autres ressources pour être fabriqués.
L'usure des pneus est responsable de la plus grande partie des résidus plastiques présents dans l'environnement. Une étude récente a montré la dangerosité de ces résidus pour certaines espèces de poissons.
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La pollution plastique souille à ce point les océans et mers du globe qu'une nouvelle niche écologique, d'origine anthropique, s'y est formée : la « platisphère ». Les bactéries qui y prolifèrent pourraient provoquer de nouvelles crises sanitaires.
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Dans un monde saturé par les déchets plastiques, des chercheurs japonais ont franchi une étape décisive en mettant au point un carton transparent. Cette percée technologique illustre comment l’innovation peut contribuer à la recherche de solutions durables face aux défis environnementaux que pose le plastique.
"La Seine et des microplastiques", dit une étude publiée vendredi dans la revue "Environmental science and pollution research" et qui montre que les microplastiques polluent les fleuves d’Europe. Cette recherche se base sur 2700 échantillons, relevés en 2019 dans neuf fleuves du continent : la Seine, l’Elbe, l’Ebre, la Garonne, la Loire, le Rhône, le Rhin, la Tamise et le Tibre. Quarante chercheurs ont procédé à ce recueil et l’analyse de ces eaux.
Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Nocives pour la santé et l’environnement, capables de charrier bactéries et produits toxiques, ces particules souvent invisibles à l’œil nu sont omniprésentes dans la Garonne, la Tamise ou le Tibre, dévoile ce lundi une étude inédite.
Les plastiques sont partout, de nos océans à nos poumons. Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, ils ne disparaissent jamais vraiment. En se fragmentant, ils deviennent des polluants invisibles, encore plus dangereux pour notre environnement et notre santé.
À tort et à couverts. Alors que les contenants en plastique sont interdits dans les services de restauration scolaire depuis le 1er janvier, le gouvernement souhaite déjà revenir sur cette décision. Plusieurs associations protestent contre la proposition d’un décret qui lèverait cette restriction destinée à limiter l’impact environnemental et sanitaire de ces ustensiles.
Le plastique utilisé pour emballer carottes, endives, poires va-t-il disparaître ? Pour l’heure, les industriels se réjouissent du nouveau texte européen qui reporte l’interdiction à 2030.
Des militants de Greenpeace ont abordé samedi un navire pétrochimique au large de la Corée du Sud, où se tiennent des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique. "Des militants de Greenpeace International sont montés à bord d’un pétrolier qui devait charger des produits chimiques plastiques toxiques provenant du complexe sud-coréen Hanwha TotalEnergies", indique Greenpeace dans un communiqué. Ce complexe est situé à Daesan, à environ 60 kilomètres au sud-ouest de Séoul.
Nous sommes exposés à des pollutions invisibles au quotidien, mais savons-nous vraiment ce qui entre dans nos corps ? De l'air que nous respirons aux produits que nous consommons, ces toxines invisibles envahissent notre organisme et affectent notre santé. Dans cette vidéo, découvrez les sources cachées de cette pollution et ce que vous pouvez faire pour vous protéger. Préparez-vous à être choqué par ce que vous allez apprendre !
Le gouvernement fédéral, premier acheteur de biens et de services au monde, prévoit dans un premier temps d’arrêter d’ici à 2027 de s’approvisionner en plastiques à usage unique pour ses activités de restauration, d’événementiel et pour les emballages, avant un élargissement à toutes ses activités.
Omniprésents dans l’environnement, les microplastiques pénètrent profondément dans l’organisme des poissons, jusqu’à se retrouver en grand nombre dans les filets que nous mangeons, révèle une étude canadienne réalisée près de Toronto.
Matériaux d’utilité publique pour certains, éléments polluants à bannir absolument pour d’autres. C’est ainsi que pourrait se résumer, aujourd’hui, la vision – Ô combien contrastée – de notre société à l’égard des matières plastiques. Avec la prise de conscience collective du réchauffement climatique et de la pollution des écosystèmes, de nombreuses voix se sont élevées pour interdire l’usage des plastiques dans notre quotidien. Mais est-ce réellement une bonne option ? Est-ce que le bannissement ne va pas induire des effets environnementaux encore plus délétères ? Quelles sont les options d’améliorations revendiquées qui pourraient être envisagées par le secteur de la plasturgie ? Décryptons ensemble le « dilemme des plastiques » ou comment concilier les bénéfices indispensables avec la nécessité de réduire les impacts environnementaux du secteur.
Des chercheurs de l'université américaine de Cornell ont étudié l'exposition aux microplastiques pour les habitants des 109 pays les plus développés et industrialisés.
D’importantes quantités de microplastiques ont été détectées dans les testicules de tous les sujets testés dans le cadre d'une récente étude. Ces particules seraient impliquées dans la baisse de la qualité des spermatozoïdes et de la fonction testiculaire globale.
Les crédits carbone ont fait des émules. Il existe aujourd’hui sur le marché tout un tas de crédits pour “protéger” l’océan, la forêt, les pandas… Les entreprises désireuses d’afficher une bonne empreinte environnementale acquièrent ces crédits dont la fiabilité n’est pas toujours démontrée. Tout l’enjeu est de ne pas répéter les erreurs du marché carbone.