– Outil de recherche de références documentaires –
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
Russie Ukraine guerre États-Unis plan paix Europe
A en croire Donald Trump, il ne reste que "quelques points de désaccord" à régler: l'activité diplomatique s'est accélérée pour trouver une issue à la guerre en Ukraine, mais les frappes russes se sont poursuivies mercredi sans répit. Les services de secours ukrainiens ont annoncé que la ville de Zaporijjia (sud) avait subi une attaque russe "massive" dans la nuit de mardi à mercredi. Le bilan de ces frappes, qui ont touché une trentaine d'immeubles, a été porté à 18 blessés, a indiqué Ivan Fedorov, chef de l'administration militaire de la région.
Le Kremlin a relevé mercredi certains points "positifs" dans le plan américain pour mettre fin au conflit en Ukraine, après avoir rejeté une contre-proposition européenne, tandis que Kiev et ses alliés continuent de plaider pour une paix "juste et durable".
Les négociations de Genève ont permis de retirer du projet américain les points les plus problématiques pour les pays de l’UE et l’Ukraine. Mais ce plan en 19 points reste à finaliser et doit être soumis aux Russes.
Une pluie de drones et missiles s'est abattue sur Kiev dans la nuit, faisant au moins sept morts, tandis que s'activent mardi en coulisses Ukrainiens, Américains et Européens pour tenter de trouver une issue au conflit après la publication d'un plan américain. Des réunions "secrètes" sur l'Ukraine entre Américains et Russes se sont tenues lundi et devraient se poursuivre mardi à Abou Dhabi pour tenter d'avancer sur un cessez-le-feu, ont affirmé mardi des médias américains et britanniques.
À l’issue de leurs négociations à Genève, l’Ukraine et les États-Unis sont parvenus à un projet de document complètement révisé, qui a suscité l’optimisme des deux pays. Selon la presse internationale, les aspects les plus délicats – notamment les questions territoriales et le soutien de l’Otan – restent toutefois en suspens.
L'Ukraine a accepté, après consultation avec les émissaires américains, les conditions d'un possible accord de paix, a déclaré mardi un responsable américain à ABC News.
Le secrétaire d’Etat américain a évoqué d’« énormes progrès » lors de ses discussions, dimanche, avec les Ukrainiens et les Européens. Mais les contre-propositions des capitales européennes restent très éloignées du projet du président américain.
A l’issue de pourparlers «constructifs» à Genève entre Américains, Ukrainiens et Européens, qui ont permis une avancée par rapport au plan Trump favorable à Moscou, les discussions devraient se poursuivre ce lundi 24 novembre.
Côté européen, les conseillers à la sécurité nationale des dirigeants français, allemand, britannique et italienne seront présents à Genève pour prendre part aux discussions, selon plusieurs sources.
Américains, Ukrainiens et représentants européens se retrouvent, dimanche, à Genève, pour discuter le texte proposé par Donald Trump qui vise à mettre fin au conflit provoqué par près de quatre ans d'invasion russe. De son côté, l'administration américaine présente désormais le document en 28 points comme "un cadre pour des négociations".
Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a contesté samedi 22 novembre au soir le fait que ce texte annoncé dans la semaine soit calqué sur les exigences russes. Trois sénateurs américains ont déclaré le contraire.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio est arrivé dimanche à Genève où des responsables ukrainiens, américains et européens se retrouvent pour discuter du plan de Donald Trump pour l'Ukraine, qui fait craindre à Kiev une capitulation forcée mais ne constitue pas, selon Washington, une offre finale.
Donald Trump a accusé dimanche les dirigeants ukrainiens de ne faire preuve "d'aucune gratitude" envers les Etats-Unis, alors qu'il tente d'imposer un accord pour mettre fin au conflit, contesté par Kiev. Dans un message sur Truth Social, le président américain s'en prend également aux Européens, "qui continuent d'acheter du pétrole à la Russie" et à son prédécesseur Joe Biden, qu'il accuse d'inaction au début du conflit.
Donald Trump a accusé dimanche les dirigeants ukrainiens de ne faire preuve "d'aucune gratitude" envers les Etats-Unis, alors qu'il tente d'imposer un accord pour mettre fin au conflit, contesté par Kiev.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a estimé que des "progrès substantiels" avaient été faits après une journée de pourparlers à Genève avec des responsables ukrainiens et européens. Il a ajouté que Donald Trump était satisfait.
Donald Trump a donné jusqu’au 27 novembre à Kiev pour consentir à l’accord proposé, largement favorable à la Russie. Les Européens, mis devant le fait accompli, s’efforcent de soutenir Volodymyr Zelensky et de faire des contre-propositions.
Au lendemain de la présentation du plan de paix américain pour l'Ukraine, plusieurs acteurs internationaux dont des dirigeants européens et l'ONU ont réagi à cette proposition des États-Unis en 28 points. Tour d'horizon des différentes déclarations, alors que Donald Trump a fixé le 27 novembre comme date butoir pour la réponse de Kiev.
Le plan américain pour l'Ukraine requiert du "travail supplémentaire", ont estimé samedi dans une déclaration commune les dirigeants de 11 pays et de l'Union européenne, après une réunion en marge du sommet du G20 à Johannesburg.
Washington accélère sur un accord de paix en Ukraine, tandis que l'Europe reste à l'écart - La Libre
(22/11) - Ricardo Martins,La Maison Blanche avance sur un plan de paix discuté directement avec Moscou, sans réelle implication de Kyiv ni des partenaires européens. Alors que des émissaires américains se rendent en Ukraine et que le président Zelensky subit une pression accrue, Washington paraît décidé à imposer son initiative comme un fait accompli.
Parmi les nombreux appels et visioconférences organisés dans l’urgence vendredi, le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga a indiqué avoir discuté avec plusieurs homologues européens, dont ceux de la France et du Royaume-Uni, des "prochaines étapes" à suivre.
Donald Trump a déclaré samedi que son plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine n'était pas sa dernière offre et qu'il souhaitait que cessent les combats "d'une manière ou d'une autre".
Un responsable américain a déclaré jeudi que le plan américain pour l'Ukraine comprenait des garanties de sécurité pour Kiev équivalentes à celles de l'Otan en cas de future attaque, confirmant des informations de presse.
Alors que le plan négocié entre les émissaires du président américain et ceux du maître du Kremlin fait la part belle aux exigences russes, les Européens doivent continuer à refuser la perspective d’une solution imposée à l’Ukraine, qui aurait les allures d’une « capitulation ».
Le texte élaboré par la Maison Blanche sans consultation de Kyiv ou de l’Union européenne prévoit de nombreuses concessions à Moscou. Revue de détails des différents points.
Le projet en 28 points prévoit notamment que Kyiv cède au Kremlin les régions de Donetsk et Lougansk et que la Russie réintègre le G8. Des mesures défavorables à l’Ukraine dénoncées par l’Union Européenne.
Dans une adresse à la nation, le président ukrainien a promis des « alternatives » aux 28 points du plan américain.
Alors que Volodymyr Zelensky est fragilisé par un scandale de corruption dans son entourage, la Maison Blanche et le Kremlin lui ont transmis un plan faisant la part belle aux exigences russes sur la fin de la guerre et la sécurité du continent.
Après la révélation, mercredi, d’un nouveau plan de paix discuté par l’envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, et celui du maître du Kremlin, Kirill Dmitriev, les Européens ont rappelé fermement leurs lignes rouges.
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.


