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Encyclopédie de l’Anthropocène, épisode 2Usbek & Rica accueille des extraits de l’Encyclopédie de l’Anthropocène, dont chaque entrée entend participer à bâtir des repères utiles pour s’orienter dans un futur où l’impact des activités humaines sur les écosystèmes de la planète ne peut plus être ignoré.
After 50 years, there is still an ongoing debate about the Limits to Growth (LtG) study. This paper recalibrates the 2005 World3-03 model. The input parameters are changed to better match empirical data on world development. An iterative method is used to compute and optimize different parameter sets. This improved parameter set results in a World3 simulation that shows the same overshoot and collapse mode in the coming decade as the original business as usual scenario of the LtG standard run. The main effect of the recalibration update is to raise the peaks of most variables and move them a few years into the future. The parameters with the largest relative changes are those related to industrial capital lifetime, pollution transmission delay, and urban-industrial land development time.
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A 1972 MIT study predicted that rapid economic growth would lead to societal collapse in the mid 21st century. A new paper shows we’re unfortunately right on schedule.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec la présidente du Club de Rome "Sandrine Dixon-Declève" est une leader d'opinion internationale sur le changement climatique, l'écologie et les systèmes complexes. Elle est aussi conseillère en transition économique et environnementale auprès de l’Union européenne, notamment. Il faut, à ses yeux, tourner le dos au « business as usual » du passé si on veut répondre aux défis de l’avenir. « La société du XXe siècle nous a rendus malades, il faut la réinventer » Nous aborderons forcement le rapport pour le club de Rome devenu un livre "The limits to Growth" (1972). Nous parlerons de choses forcement réalistes mais aussi nous allons nous laisser le droit d'imaginer des futurs radieux notamment en abordant le livre : EARTH 4 ALL
À l’occasion du cinquantième anniversaire de la parution du rapport des Limites à la croissance, celui-ci a fait l’objet d’une importante médiatisation. Afin d’éclairer les discussions à venir, cet article revient sur des caractéristiques méconnues ou oubliées de ce rapport telles que son origine (les commanditaires et les auteurs), sa vocation, la méthode employée pour construire le modèle mathématique et les réactions qui ont suivi sa publication. Il évoque aussi la traduction française du titre original du rapport.
le rapport Halte à la croissance ?, publié en 1972, a suscité beaucoup d’interrogations et de questionnements. Ces derniers portaient tant sur le modèle utilisé, World3, que sur les hypothèses ou les conclusions. Après 50 ans passés à y répondre régulièrement, cet article compile les réponses de Dennis Meadows à 21 des questions les plus récurrentes sur Halte à la croissance ?
Au printemps 1972, un groupe de chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology), conduit par le physicien Dennis Meadows, rendait public un rapport explosif commandé par le Club de Rome, groupe de réflexion et d’influence fondé par un industriel italien, Aurelio Peccei. Paru en France chez Fayard dans une collection créée par les Amis de la Terre sous le titre trompeur « Halte à la croissance », ce rapport révélait les conséquences dramatiques d’une croissance illimitée dans un monde fini, pointant un probable épuisement des ressources naturelles, et en particulier des combustibles fossiles, à l’horizon des années 2000.
Professor Joseph Tainter is an American anthropologist and historian studied anthropology at the University of California, Santa Barbara, and Northwestern University, where he received his Ph.D. in 1975. As of 2012 he holds a professorship in the Department of Environment and Society at Utah State University. In this interview Professor Tainter discusses the thesis of his widely acclaimed work “The Collapse of Complex Societies”, 25 years after its publication in 1988. His book is among great classics of the study of collapse. In my view a work whose quality and relevance is comparable to Limits to Growth.
En 1972 paraissait un rapport scientifique qui fit l’effet d’une bombe : Les Limites à la croissance. Sous la direction de Dennis Meadows, des chercheurs du MIT révélaient les conséquences dramatiques d’une croissance illimitée dans un monde fini. Pour la journaliste Audrey Boehly, la lecture de ce livre a été un choc. Préoccupée par l’avenir de ses deux filles et de leur génération, elle a mené l’enquête : qu’en est-il aujourd’hui des différents scénarios d’effondrement annoncés ? Quelles sont les perspectives pour le XXIe siècle ? Existe-t-il des solutions et des voies désirables pour concevoir un mode de vie soutenable, qui soit respectueux des limites planétaires ?
Alors que les limites planétaires sont dépassées les unes après les autres, un récit mortifère opposé fleurit tout de même : celui de l’illimitisme, la croyance dans la toute-puissance des capacités humaines, la croyance dans un progrès sans fin... Il y a 50 ans paraissait un rapport scientifique rédigé par une équipe du MIT supervisée par le chercheur Dennis Meadows, qui évaluait pour la première fois l’impact de l’activité humaine sur notre planète. Ce rapport intitulé Les limites à la croissance, publié en 1972, était sans appel : poursuivre la croissance économique, qui va de pair avec une consommation toujours plus grande des ressources planétaires, mène inévitablement à une impasse au cours du XXIe siècle. Pourtant l’époque Anthropocène se caractérise plutôt par une perte du sens des limites, avec l’illusion de l’infini induite par les puissances thermo-industrielles extractivistes.
La prise de conscience environnementale est loin d'être récente. En 1972, le rapport Meadows, issu des travaux de scientifiques du MIT, alertait sur le risque de dépasser les limites planétaires, avec de graves conséquences pour l'humanité. Depuis, six sur neuf ont été franchies. Décryptage.
Programme Accueil par Didier Viviers, Secrétaire perpétuel Introduction par Isabelle Ferreras, Directrice de la Classe La commande du Rapport Meadows par le Club de Rome. Retour sur l'histoire par Daniel Janssen Le Rapport Meadows a 50 ans. Quels constats quant aux rapports entre science, technologie et société ? Intervenants : Bruno Colmant, Dominique Méda et Jean-Louis Migeot Présidente : Véronique Cabiaux
Cinquante ans après le rapport Meadows sur la croissance: «Nous pensions que l’humanité écouterait…»
(02/10) - Coralie Schaub,Jorgen RandersEn 1972, le rapport intitulé «les Limites à la croissance» ébranle le monde en expliquant que l’augmentation continue de la production n’est pas soutenable pour la planète. L’un des co-auteurs de ce document fondamental, Jorgen Randers, décrit les scénarios désormais possibles.
Réduire le prix de l’énergie pour les entreprises, c’est octroyer une prime proportionnelle à la pollution. Qu’y aurait-il de plus absurde ?
Le Club de Rome, un groupe de réflexion de scientifiques et d’économistes fondé en 1968, publie un nouvel ouvrage sur les catastrophes que notre civilisation pourrait bientôt endurer : "Earth For All : A Survival Guide for Humanity" (La terre pour tous : guide de survie pour l’humanité).
Il n’y a pas de croissance infinie dans un monde fini. L’évidence posée par Dennis L. Meadows et son équipe en 1972 avait alors pour beaucoup des airs de prophétie lointaine. Pourtant l’humanité dépassait déjà la capacité de charge de la planète. Cinquante ans plus tard, le chercheur étasunien n’hésite plus à affirmer que « l’effondrement a déjà commencé ».
Le Club de Rome publiait le rapport Meadows il y a 50 ans. Destiné à alerter l'opinion publique sur les limites de la croissance dans un monde aux ressources finies, le rapport annonçait un effondrement de la société au courant du présent siècle. En cause: une augmentation de la population, l'épuisement des ressources et la pollution. Ce document, traduit en français par « Les limites de la croissance », a été à la fois encensé et décrié depuis un demi-siècle. Il revient à l'avant-scène depuis quelques années, avec la crise climatique en tête. Qu'est-ce que l'avenir nous réserve? Pour en parler nous recevons, le professeur Ugo Bardi, qui a réactualisé le rapport Meadows. Il est professeur et chimiste au département des sciences de la Terre à l'université de Florence et membre du Club de Rome.
Des entreprises inscrivent leurs actions dans le cadre des limites planétaires. Elles sont considérées comme des pionnières alors que ce réflexe aurait pu être instauré depuis 50 ans, si on avait suivi le rapport Meadows. En 1972, des chercheurs du MIT avaient alerté sur les risques d’une croissance économique infinie dans un monde aux ressources limitées.
Sandrine Dixson-Declève est coprésidente du Club de Rome et conseillère en transition économique et environnementale auprès de l’Union européenne, notamment. Il faut, à ses yeux, tourner le dos au « business as usual » du passé si on veut répondre aux défis de l’avenir. « La société du XXe siècle nous a rendus malades, il faut la réinventer », assure-t-elle.
A DEMANDER L’historien Christophe Bonneuil rappelle, dans une tribune au « Monde », que la réduction du poids des combustibles fossiles et de leurs effets néfastes sur le climat a été inscrite à l’agenda politique international dès 1972.
Aurélien Boutaud, docteur en sciences de la terre et de l’environnement et co-auteur des ouvrages “L’empreinte écologique” et “Les limites planétaires” aux éditions La Découverte.
À l’occasion du 50e anniversaire du « rapport Meadows », le professeur émérite à l’université du New Hampshire, aujourd’hui âgé de 79 ans, nous livre sa vision lucide de l’état du monde, actuel et à venir.
Il y a 50 ans, sortait le rapport Meadows. L’un des premiers cris d’alarme lancé pour la planète. Au début des années 70, des scientifiques américains alertaient déjà, “si nous ignorons et poursuivons la croissance, nous atteindrons un point de non-retour.” Lumière sur ce document précurseur avec Ludivine Lopez et les archives de l’INA.
Cinquante ans après sa publication, le rapport Meadows sur les limites à la croissance démontre chaque jour son actualité. Entretien avec l’un de ses co-auteurs, Jørgen Randers, aujourd’hui âgé de 76 ans.
Le politiste Luc Semal analyse dans une tribune au « Monde » la « situation inextricable » à laquelle ont mené cinquante ans de déni politique depuis la publication du rapport Meadows, en 1972
Dans un entretien au « Monde », le physicien, coauteur il y a cinquante ans du rapport du Club de Rome « Les Limites à la croissance », estime que l’impératif est aujourd’hui de changer « les valeurs et les objectifs » des sociétés contemporaines, qui courent à leur perte.
Intervention à distance de Dennis Meadows le 16 mars 2022 lors de la soirée intitulée "50 ans du rapport Meadows : A-t-on dépassé les limites planétaires ?" à Ground Control à Paris.
C’est un rapport qui a marqué les esprits quand il est sorti en mars 1972 et qui fête donc ses 50 ans, le rapport Meadows, du nom de Dennis Meadows, professeur au MIT, qui, à la demande du Club de Rome, a étudié cette question : quelles sont les limites à la croissance ? Avec une équipe de scientifiques, il s’est attelé en pleine Trente Glorieuses à cette problématique.
Du haut de ses cent ans, le sociologue dénonce « un somnambulisme généralisé », analogue en tant qu’inconscience à celui qu’il a connu de 1933 à 1940.
Il y a 50 ans jour pour jour paraissait Les limites à la croissance, un rapport scientifique qui fit l’effet d’une bombe. Cette étude du Massachusetts institute of technology (MIT), supervisée par le professeur Dennis Meadows, concluait que la poursuite de la croissance économique nous mènerait inévitablement à dépasser les limites planétaires, provoquant un effondrement de la population humaine. Devenu une référence, ce document a pourtant été ignoré pendant plusieurs décennies. Alors qu’une nouvelle édition paraît aujourd’hui chez Rue de l’échiquier – quelques jours seulement après la sortie à bas-bruit du dernier rapport du Giec – Dennis Meadows s’exprime au sujet de l’actualité brûlante de son étude et confie son espoir pour le futur.
Le « Rapport Meadows » a 50 ans. Sa réédition, publiée le 3 mars, reste critique : notre monde basé sur la croissance court à sa perte. L’effondrement est une réalité, précise dans cet entretien le chercheur émérite Dennis Meadows, coauteur du texte. Pour lui, « vivre avec moins » est primordial.
Il y a 50 ans, le rapport “Les limites à la croissance » faisait l’effet d’une bombe. Pour la première fois, une équipe du MIT modélisait les impacts de l’activité humaine sur la planète et la conclusion était brutale : nous allons droit dans le mur. 50 ans après, le Professeur Dennis Meadows, coauteur du rapport, continue inlassablement de lancer l’alerte : la quête d’une croissance infinie dans un monde fini nous conduira à notre perte, mais nous avons encore une petite fenêtre de tir pour empêcher le pire.
En 1972 paraissait un rapport scientifique qui fit l’effet d’une bombe. Le rapport Meadows, intitulé « The limits to growth », annonçait pour la première fois au monde les limites physiques de la croissance économique. Sa conclusion est formelle : la persistance du modèle de société actuel et l’épuisement des ressources qui en découle conduit inévitablement à un « crash » dramatique au cours du XXIe siècle. Pourtant, 50 ans plus tard rien ne semble avoir changé. Dans le podcast Dernières Limites, la journaliste Audrey Boehly fait le point en interrogeant des experts et des scientifiques de la question. Quelle marge de manœuvre nous reste-il pour inverser la tendance ? Quel avenir est encore possible à la lumière des ressources disponibles et des enjeux écologiques à venir ? Entretien.
Cinquante ans cette année 2022 après le rapport Meadows et trente ans après la conférence de Rio, Philippe Roch doute que notre civilisation puisse perdurer face, notamment, au dérèglement climatique et à l’effondrement de la biodiversité. Mais l’ancien directeur de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) et nouveau membre du conseil scientifique de la fondation Zoein ne baisse pas les bras.
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Aujourd’hui, dans Affaires sensibles, un rendez-vous manqué avec l’histoire…
Conférence
En 1972, le rapport Meadows nous alertait déjà sur l’insoutenabilité environnementale de notre régime de croissance du fait des coûts en termes de pollution et d’épuisement accéléré des ressources terrestres induites. Plus de trente ans plus tard, à l’initiative du chercheur en soutenabilité globale, Johan Rockström, 28 spécialistes des sciences environnementales lancèrent un travail de recherche sur la situation écologique globale de la terre se structurant autour du concept de limites planétaires.
Carte blanche - Par ConcertES (Concertation des organisations représentatives de l’économie sociale) et ses membres: ACFI-FIAS, AID, ALEAP, CAIPS, Collectif 5C, CoopAC, Crédal, Fecoopem, Febecoop, Financité, InitiativES, Propage-s, RES, Ressources, SAW-B, Syneco, USCOP*