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Le pétrole peut-il aider à en finir avec le pétrole? C'est le credo du président brésilien Lula, qui défend l'exploitation d'hydrocarbures dans son pays, y compris près de l'Amazonie, pour financer la transition énergétique.
Les grandes compagnies aériennes européennes ont affirmé mardi qu'elles seraient forcées de demander un "délai" face à l'obligation de recourir à davantage de carburants d'origine non fossile, sauf action rapide de la Commission européenne pour en stimuler la production sur le Vieux continent. Ces transporteurs, fédérés par le groupe Airlines for Europe (A4E), avaient déjà mis en doute fin mars la faisabilité des objectifs d'incorporation de ces carburants d'aviation durable (en anglais "sustainable aviation fuels", SAF) dans les réservoirs de leurs avions à l'horizon 2030.
La compagnie pétrolière nationale du Koweït a annoncé lundi la découverte "majeure" d'un gisement de gaz naturel, d'une capacité estimée à 28 milliards de mètres cubes. "La découverte du champ de gaz naturel offshore de Jazah" est "une grande avancée en matière d'exploration dans la région offshore du Koweït", a indiqué la Kuwait Petroleum Corporation (KPC) dans un communiqué. Le champ recouvre une superficie d'environ 40 kilomètres carrés, et la ressource en gaz est estimée à "environ un trillion de pieds cubes de gaz", soit 28,3 milliards de mètres cubes, a-t-elle indiqué.
L’europe sera démocratisée, quand son oligarchie sera renversée ! L’Europe est dirigée par des oligarques. Oligarques qui possèdent les appartements dans lesquels nous vivons, les banques qui gardent notre argent, les vaccins qui nous sauvent la vie, les applications dont nous avons besoin pour travailler, les données que ces applications collectent sur nous, le pétrole et le gaz qui chauffent notre planète – et, plus important encore, oligarques qui possèdent les politicien.ne.s qui étaient censé·e·s nous défendre contre ces mêmes oligarques. Ils et elles sont le résultat d’un système terrible dans lequel les riches sont autorisés à faire ce qu’ils veulent, tandis que les gens ordinaires paient quand « ce qu’ils et elles veulent » ne fonctionne pas.
Une attaque aérienne massive a mis hors d’usage environ 60 % des capacités de production gazière de l’Ukraine. Kiev devra dépenser environ 2 milliards d’euros d’ici à mars pour importer du gaz venant de l’Europe.
Gavin Newsom, qui pourfendait il y a encore un an leurs « mensonges » et leur « cupidité », a opéré un revirement qui consterne les écologistes.
Issus à 99 % du pétrole, les plastiques alimentent la crise écologique et climatique tout au long de leur cycle de vie. Derrière l’image trop familière des déchets qui polluent les rivières puis les océans, la production et le recyclage des plastiques sont aussi source d’émissions considérables de gaz à effet de serre, de quoi compromettre les efforts mondiaux de réduction des émissions. Surtout, les plastiques, un débouché du pétrole, entretiennent la dépendance de l’économie aux énergies fossiles. Le risque serait qu’ils deviennent la planche de salut des industriels de la pétrochimie à l’occasion de la COP30 sur le climat, qui se déroulera du 10 au 21 novembre 2025, à Belem, au Brésil.
Les sanctions de Washington visant NIS, la compagnie nationale pétrolière de la Serbie, sont entrées en vigueur jeudi. Détenue majoritairement par Gazprom et d’autres sociétés russes, elle assure environ 80 % des besoins en carburant des 6,5 millions de Serbes.
Malgré son nom, le biocarburant reste d’abord un combustible polluant. Sa production mondiale émet 16 % de CO2 de plus que les carburants fossiles qu’il doit remplacer, selon un rapport commandé par la Fédération européenne pour le transport et l’environnement (T&E). Cette pollution est due aux effets indirects de l’agriculture et de la déforestation nécessaire pour le produire.
Dans la course effrénée à l’intelligence artificielle, particulièrement énergivore, le grand gagnant pourrait bien être le charbon. En déclin ces dernières années aux Etats-Unis, il est activement relancé pour répondre à la soif d’électricité des data centers.
La Russie a lancé pendant la nuit "la plus grande attaque" sur des sites de production de gaz en Ukraine depuis le début de son invasion en 2022, avec 35 missiles et 60 drones, a annoncé vendredi l'opérateur d'Etat Naftogaz. L'armée russe pilonne les installations énergétiques - surtout électriques - ukrainiennes depuis 2022 mais c'est l'hiver dernier qu'elle a commencé à spécifiquement cibler les sites de gaz. "L'ennemi a mené la plus grande attaque massive contre l'infrastructure d'extraction de gaz depuis le début de la guerre", a déclaré Naftogaz dans un communiqué. La Première ministre ukrainienne Ioulia Svyrydenko a accusé la Russie de "terroriser la population civile" et de chercher à perturber "la saison de chauffage", sur Telegram.
Le président russe a dénoncé, ce jeudi 2 octobre, l’interception au large des côtes françaises d’un navire qui pourrait appartenir à la flotte fantôme de Moscou.
Le président français Emmanuel Macron a appelé jeudi les Européens à franchir "un pas" dans "la politique d'entrave" de la flotte fantôme russe qui permet à Moscou d'exporter son pétrole en contournant les sanctions occidentales, et dont l'un des navires clandestins a été arraisonné par la France au large de ses côtes. Jeudi soir, le président russe Vladimir Poutine a qualifié cette interception de "piraterie".
La vague d’attaques de drones ukrainiens désorganise le raffinage russe, plongeant le pays dans une grave pénurie d’essence. Pour tenter d’y répondre, le Kremlin multiplie les mesures d’urgence, de l’établissement de restrictions à la pompe à la recherche d’autres sources d’approvisionnement à l’étranger.
La Hongrie n'est pas prête à renoncer à importer du pétrole russe, comme le réclament les Etats-Unis de Donald Trump, et une majorité de pays de l'UE, a indiqué mercredi son Premier ministre Viktor Orban. "Nous n'avons aucune autre option, aucune", a-t-il affirmé devant la presse à Copenhague, assurant au passage que le président américain ne lui avait jamais demandé de fermer le robinet du pétrole russe.
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