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Poussées par la Commission européenne et des associations de consommateurs, 21 entreprises vont cesser de «prétendre» neutraliser, compenser ou réduire directement les émissions de CO2 de leurs vols par des «écocontributions» des passagers, a-t-on appris ce vendredi 7 novembre.
Les compagnies pétrolières sont de plus en plus attaquées en justice pour leur responsabilité dans le réchauffement de la planète, mais elles n'ont pas abandonné tout marketing climatique, contrairement à d'autres secteurs davantage contraints par l'étau réglementaire et judiciaire. "Elles rassurent en disant: ne vous inquiétez pas, il ne faut rien changer", dit à l'AFP Benjamin Franta, chercheur spécialiste du contentieux climatique à l'université d'Oxford, qui les accuse de "greenwashing" ou écoblanchiment, soit le fait de se présenter comme plus vertueux pour l'environnement qu'en réalité. "Le greenwashing est aussi important que le climatoscepticisme, voire plus, car c'est la forme dominante de fausse réassurance", poursuit-il.
Les grandes compagnies aériennes européennes ont affirmé mardi qu'elles seraient forcées de demander un "délai" face à l'obligation de recourir à davantage de carburants d'origine non fossile, sauf action rapide de la Commission européenne pour en stimuler la production sur le Vieux continent. Ces transporteurs, fédérés par le groupe Airlines for Europe (A4E), avaient déjà mis en doute fin mars la faisabilité des objectifs d'incorporation de ces carburants d'aviation durable (en anglais "sustainable aviation fuels", SAF) dans les réservoirs de leurs avions à l'horizon 2030.
Le gouvernement américain veut interdire plusieurs compagnies chinoises de survoler l'espace aérien russe.
Gavin Newsom, qui pourfendait il y a encore un an leurs « mensonges » et leur « cupidité », a opéré un revirement qui consterne les écologistes.
A l’image de l’industrie automobile, le secteur aérien réclame un assouplissement de leurs obligations en matière d’incorporation de carburant « durable » imposées par Bruxelles.
Objectif emblématique du secteur aérien, sa décarbonation à l'horizon 2050 s'avère aujourd'hui "en péril" en raison des politiques climatosceptiques, dont celle de Donald Trump, a prévenu dimanche la principale association de compagnies, l'Iata. L'émergence de dirigeants privilégiant les énergies fossiles et des reculs réglementaires récents constituent "évidemment un revers", a déclaré la vice-présidente de l'Iata chargée du développement durable, Marie Owens Thomsen.
Cinq ans après que les groupes pétroliers européens comme TotalEnergies et Shell avaient amorcé un virage « vert », c’est le grand retour à une orthodoxie « tout fossile », la fin d’une illusion sur les promesses environnementales des compagnies, analyse dans sa chronique Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ».
Les principales compagnies aériennes européennes ont mis en doute jeudi la faisabilité des objectifs d'incorporation de carburants renouvelables dans les réservoirs de leurs avions à l'horizon 2030, estimant que leur production risquait de ne pas être suffisante. L'Union européenne, dans le cadre de ses efforts de décarbonation, impose qu'une partie croissante des carburants d'aviation soit issue de sources non-fossiles ("sustainable aviation fuels", SAF en anglais). Fixée à 2% depuis le début de l'année, cette proportion doit monter à 6% en 2030 et progressivement jusqu'à 70% en 2050.
Une vie après la mort. C’est en quelque sorte ce qui attend les avions mis au rebut par les compagnies aériennes. Certains, rachetés par des transporteurs de pays pauvres, voleront à nouveau. Mais beaucoup seront entièrement désossés et revendus sous forme de pièces détachées. Un recyclage indispensable au bon fonctionnement du transport aérien, explique “The Economist”.
Donald Trump souhaite que les extractions pétrolières mondiales augmentent afin de diminuer les prix du baril. Une énergie meilleur marché impacterait en effet à la baisse l’inflation et permettrait de réduire les taux d’intérêt pour stimuler la croissance aux États-Unis. Le président américain a donc demandé aux pays pétroliers de l’OPEP de se plier à sa requête. La proposition, à effet ricochet, semble séduisante. Cependant, elle ne résiste pas aux contingences des compagnies pétrolières, des pays extracteurs et des investisseurs.
Le New-York times et le Premier ministre polonais Donald Tusk confirment que la Russie a planifié des actes de terrorisme aérien en Europe et en Amérique.
Quelque 86 recours ont à ce jour été engagés dans le monde contre les grandes compagnies du pétrole, du gaz et du charbon, accusées de dérégler le climat, et plus du tiers impliquent désormais des demandes d'indemnisation, selon un rapport publié par Oil Change International et Zero Carbon Analytics.
Les compagnies aériennes s’attendent à transporter deux fois plus de passagers dans 20 ans, une croissance surtout nourrie par l’Asie, a annoncé jeudi leur principale organisation mondiale.
Les grandes compagnies pétrolières avaient tendance à rester discrète lorsque les gouvernements et les militants les exhortaient à accélérer leur transition énergétique et à diminuer leurs émissions de CO2 et de méthane. Aujourd'hui, la situation est en train de changer. Les compagnes pétrolières n’en n’ont plus rien à faire !
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