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Emmanuel Morimont
Plus d’une zone de distribution sur quatre en Wallonie et à Bruxelles ne répond pas aux limites de qualités fixées en France et au Danemark. C’est ce qui ressort d’une enquête des cellules #Investigation et Décrypte de la RTBF qui ont parcouru l’ensemble des analyses réalisées par les distributeurs d’eau en 2024. En cause, des résidus de pesticides.
Peut-on encore faire confiance à l’eau que l’on boit ? Que retrouve-t-on réellement dans notre eau du robinet ? Les questions ont fusé après la diffusion de l’enquête sur les PFAS en novembre 2023. À l’époque, #Investigation révélait une forte pollution de l’eau de distribution à Chièvres, dans le Hainaut. L’équipe d'#investigation a relancé cette enquête pour trouver des réponses à ces questions. Elle a fait analyser en laboratoire plusieurs types d’eaux : eau du robinet, filtrée ou non et 6 eaux en bouteille très consommées en Belgique.
Une nouvelle étude menée par des scientifiques scandinaves et suisses met en lumière la nécessité d’une action urgente face à l’accumulation exponentielle de l’acide trifluoroacétique (TFA) dans le monde. Ce composé chimique, surnommé le plus petit des polluants éternels, est mobile et extrêmement persistant dans l’environnement. Selon les auteurs, "les données sont suffisantes pour conclure que le TFA présente un risque pour l’homme et l’environnement". Publiée dans la revue Environmental Science & Technology, leur étude souligne que cette substance répond aux critères d’une menace planétaire.
Pour la première fois, l’acide trifluoroacétique (TFA), le plus petit des 'polluants éternels', a été analysé sur...
La recommandation du Conseil Supérieur de la Santé pour un groupe de PFAS est dépassée dans 40 zones de distribution...
Les bases aériennes belges sont-elles à l’origine de pollutions locales aux PFAS ? L’enquête d’Investigation et de Décrypte révèle des niveaux élevés de contamination dans le sol et les eaux de certains quartiers militaires, mais aussi dans les puits et les robinets de civils. C'est le cas à Beauvechain où la teneur en PFAS dans l'eau potable est dix fois au-dessus des recommandations sanitaires.
C’est l’histoire de la multinationale belge de la chimie, Solvay, qui possède l’un des cinq sites français...
Les documents consultés par la rédaction d’#Investigation sont édifiants. Les recycleurs de métaux présents en Wallonie ne respectent toujours pas l’ensemble des critères fixés dans leur permis. Dans les retombées atmosphériques, on voit des dépassements de polluants cancérogènes pouvant aller jusqu’à 600 fois au-dessus des normes.
Voilà près d’une semaine qu’une enquête d'#Investigation et de Décrypte a révélé que plusieurs communes de Wallonie présentaient des teneurs élevées en PFAS dans l’eau potable, sans que les autorités interviennent avant mars 2023. Pointée par de nombreux élus de l’opposition, la ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier, a dû répondre de cette situation en Commission de l’Environnement au Parlement wallon ce mardi matin. Dans son argumentaire, elle insiste notamment sur la chronologie des évènements et les échanges d’informations entre son cabinet, le Service public de Wallonie (SPW) et la Société wallonne des eaux (SWDE) à propos du cas de Chièvres.
Certains fusibles seraient-ils déjà en train de sauter, avant l’audition de la ministre de l’Environnement ce mardi matin au Parlement wallon ? Nous apprenons que le fonctionnaire qui avait reçu l’alerte de la Société wallonne des eaux (SWDE) sur une contamination aux PFAS de l’eau potable à Chièvres ne fait plus partie du cabinet de la ministre wallonne Céline Tellier. Il aurait été évincé suite à l’éclatement du scandale et aux critiques sur la gestion des autorités dans ce dossier. Son mail explique dorénavant qu’il ne fait plus partie du cabinet, alors qu’il est pourtant toujours bien mentionné sur le site internet.
Le magazine #Investigation a proposé ce mercredi 8 novembre une enquête qui a révélé l’existence de PFAS (dit aussi "polluants éternels") que l’on retrouve dans l’eau potable de communes comme Chièvres ou Ath dans des proportions trop élevées par rapport aux normes recommandées. Pour la population de ces communes, c’est l’inquiétude.
Les équipes d’#Investigation et de Décrypte de la RTBF ont mis la main sur des documents mettant en cause la transparence des pouvoirs publics. Il s’agit d’analyses de l’eau de distribution à Chièvres. Ces analyses montrent qu’entre octobre 2021 et mars 2023, les habitants de 12 villages (Chièvres, Tongre-Saint-Martin, Tongre-Notre-Dame, Huissignies, Ladeuze, Moulbaix, Villers-Notre-Dame, Ormeignies, Tourpes, Blicquy, Chapelle-à-Oie, Ellignies-Sainte-Anne, Aubechies) ont consommé une eau contaminée aux PFAS dépassant de 5 fois la dose tolérable fixée par l’Autorité européenne de la sécurité des aliments.
Rouge, bleus, violets… 17.000 petits points ont contaminé la carte de l’Europe. Chacun d’entre eux représente les sites où des substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS) ont soit été détectées soit utilisées soit présumées. Dans notre vie, ces PFAS sont partout : nos emballages, nos cosmétiques, nos voitures, nos avions, nos mousses anti-incendie… Leur persistance dans l’environnement et dans les êtres vivants est telle que ces polluants qui se déclinent en des milliers, voire des millions de composés chimiques, ont été qualifiés d’"éternels".
En 2022, #Investigation révèle une étude inédite sur la contamination des voisins d’une usine de Solvay. Avec l’aide de scientifiques belges, l’équipe journalistique identifie des concentrations trop élevées de PFAS dans le sang des habitants de Spinetta Marengo en Italie. Ces polluants extrêmement persistants sont surnommés les produits chimiques éternels.
En Italie, le parquet d’Alessandria vient de terminer son enquête préliminaire sur le pôle chimique de Solvay spécialisé dans la production de polymères spéciaux à Spinetta Marengo dans le Piémont. Il inculpe pour catastrophe environnementale coupable Stefano Bigini, directeur de l’usine entre 2008 et 2018 ainsi qu’Andrea Diotto, l’actuel directeur du site.
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