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Depuis plusieurs années, Natagora participe à la mise en place d’un réseau de mares en milieu agricole, pour restaurer la biodiversité. En raison des coupes budgétaires du gouvernement wallon, elle n’est cependant plus en mesure d’accompagner les agriculteurs qui souhaitent apporter leur petite pierre à l’édifice. Plusieurs dizaines de projets en cours pourraient être abandonnés.
Les Wallons vivant dans des communes contaminées par les PFAS sont invités à ne plus consommer les œufs de leur poulailler, a indiqué vendredi le ministre wallon de l'Environnement, Yves Coppieters (Engagés) sur la Première (RTBF).
Le réchauffement planétaire aura des impacts de plus en plus marqués dans notre pays. Des chercheurs se sont penchés sur les perspectives en Wallonie. Déjà, dans un monde à 2 ºC, très probable, la facture s’élèverait à près de deux milliards par an.
Du plomb, du mercure, de l’arsenic, des pesticides comme du glyphosate, des bisphénols ou des polluants éternels...
L'agriculture wallonne utilisait pour ses pesticides un peu plus de 4 % de substances actives Pfas en 2010. Désormais, ce serait aux alentours de 7 %, selon l'ASBL Corder, qui vient de consacrer une étude sur le sujet. Les scientifiques dénoncent les risques pour l'homme et la nature.
La Wallonie soutient-elle suffisamment l’agriculture bio ? En regard du plan visant 30% de surfaces agricoles en bio d’ici 2030, la question se pose. Actuellement, ce sont 7,6% des terres belges qui sont exploitées en bio. Mais malgré les primes, les agriculteurs bio rencontrent des obstacles financiers. De plus, le développement des circuits courts et des filières locales détourne parfois l’attention du bio.
L'éolienne domestique Liam F1 est d'ores et déjà disponible en vente. Son prix oscille de 3 500 à 4 000 euros.
L’Institut Scientifique de Service Public (ISSeP) a analysé le sang et l’urine de 121 adolescents et “les résultats sont interpellants” : “Une augmentation des concentrations en polluants avec la proximité des broyeurs est constatée”.
En 2023, BSCA a enregistré 3887 mouvements de jets privés et Liege Airport 3115, "ce qui ne représente qu’un nombre anecdotique au vu du nombre de mouvements commerciaux réalisés au départ des deux aéroports, d’autant plus qu’une part non négligeable de ces mouvements concerne des vols à caractère médicaux, militaires ou des vols d’Etat", a indiqué le ministre wallon en charge des Aéroports, Adrien Dolimont, lundi, en commission du parlement régional.
Les entreprises de recyclage de métaux présentes en Région wallonne continuent à relâcher dans leur environnement immédiat d'importantes quantités de poussières cancérogènes mettant ainsi en danger la santé de leurs riverains, révèle un reportage à paraître du magazine #Investigation de la RTBF.
Les documents consultés par la rédaction d’#Investigation sont édifiants. Les recycleurs de métaux présents en Wallonie ne respectent toujours pas l’ensemble des critères fixés dans leur permis. Dans les retombées atmosphériques, on voit des dépassements de polluants cancérogènes pouvant aller jusqu’à 600 fois au-dessus des normes.
Les explications des quatre membres du comité de direction de la Société wallonne des eaux (SWDE), vendredi matin en commission du parlement wallon, sont loin d'avoir répondu à toutes les questions qui entourent la pollution aux PFAS de l'eau de distribution au sud du pays, ont pointé, au terme de ces auditions, de nombreux députés wallons.
Google consomme un peu plus d'un million de m3 d'eau pour son centre de données de Saint-Ghislain, près de Mons, soit l'équivalent de la consommation annuelle d'environ 10.700 ménages wallons, lit-on mardi dans Le Soir.
Près de huit agriculteurs wallons sur 10 (77%) affirment rencontrer des difficultés liées aux changements climatiques, des difficultés largement perçues comme structurelles et nuisibles à la rentabilité financière des exploitations, ressort-il d'une étude réalisée par la banque CBC auprès d'un échantillon représentatif de 300 agriculteurs.
Quelque 64% des Belges redoutent de ne pas arriver à payer leurs factures d'énergie, selon le Grand Baromètre Le Soir-RTL-Ipsos relayé par le quotidien lundi. C'est au sud du pays que cette peur est la plus prégnante puisque 73% des Wallons vivent dans cette crainte (pour 59% des Flamands et 70% des Bruxellois). Face à cette flambée des prix et la peur de ne pouvoir y faire financièrement face, une majorité de Belges disent toutefois avoir modifié certains comportements. Près de huit personnes interrogées sur dix disent ainsi utiliser "moins d'électricité, de gaz, d'eau ou de combustible de chauffage".
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