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Sècheresse
L'Iran traverse l'une de ses pires sécheresses depuis des décennies. Le dérèglement climatique aggrave la gestion de l'eau défaillante depuis des décennies.
Imaginez vivre dans une capitale de 9 millions d’habitants et apprendre que votre président évoque publiquement son évacuation possible. Ce scénario, digne d’un film catastrophe, est devenu une réalité tangible pour les Téhéranais cet automne. Face à la pire sécheresse qu’ait connue l’Iran depuis des décennies, le gouvernement a décidé de prendre le ciel d’assaut, littéralement, en lançant des opérations massives d’ensemencement des nuages.
« Un vol d’ensemencement des nuages a été effectué dans le bassin du lac d’Ourmia », dans le nord-ouest du pays, a fait savoir samedi soir l’agence officielle IRNA, qui précise que d’autres sont prévus dans les provinces de l’Azerbaïdjan oriental et occidental.
Les désastres naturels, accentués par le réchauffement climatique, ont causé la perte de milliards de tonnes de récolte entre 1991 et 2023, menaçant la sécurité alimentaire, révèle ce vendredi 14 novembre les Nations unies.
Le pays traverse sa sixième année de sécheresse consécutive et les réservoirs alimentant plusieurs grandes villes, dont la capitale, sont au plus bas. Une situation exceptionnelle liée au réchauffement climatique mais également provoquée par une mauvaise gestion de la ressource.
Sur les 31 provinces que compte le pays, 15 n’ont pas reçu la moindre goutte de pluie depuis le début de l’automne, selon les médias locaux.
Les quatre barrages alimentant Machhad, deuxième plus grande ville du pays, sont pratiquement à sec. A Téhéran, alimentée par cinq barrages, la situation est particulièrement critique.
Face à la sécheresse, des coupures d'eau prévues à Téhéran pour limiter la consommation - RTBF Actus
(08/11) - Belga,L'Iran est confronté cette année à sa pire sécheresse depuis des décennies. Le président iranien a averti que Téhéran pourrait devoir être évacuée en raison des pénuries d'eau s'il ne pleut pas d'ici la fin de l'année. Info
Le gouvernement prévoit des coupures d'eau à Téhéran pour limiter la consommation - L'Orient-Le Jour
(08/11) - Afp,Le gouvernement iranien prévoit de couper périodiquement l'eau à Téhéran, métropole de plus de 10 millions d'habitants, afin de limiter la consommation et d'enrayer le « gaspillage », au moment où l'Iran fait face à une sécheresse sans précédent.
Le pays fait face à une situation sans précédent, avec un taux de précipitation 40 % inférieur à la moyenne. Même avec une eau rationnée, la capitale aux 10 millions d’habitants pourrait ne plus pouvoir faire face, a déclaré le président iranien ce vendredi 7 novembre.
Décès dus aux vagues de chaleur ou à la pollution de l'air, expansion des maladies infectieuses à vecteur, zones de sécheresse… Les chercheurs du "Lancet Countdown" alertent sur les menaces sanitaires dues au changement climatique. Treize des 20 indicateurs de suivi ont atteint "des niveaux sans précédent" pour cette édition qui paraît ce mercredi.
Les forêts tropicales humides australiennes sont désormais les premières à passer du statut de puits de carbone à celui de source d’émissions, selon une analyse s’étendant sur plusieurs décennies. Ce basculement serait lié à des températures toujours plus extrêmes et à des épisodes de sécheresse plus intenses, entraînant une hausse notable de la mortalité des arbres. Ces observations pourraient annoncer la trajectoire que suivront les forêts tropicales du monde au cours des prochaines décennies.
Alors que le gouvernement expérimente un nouveau dispositif de prévention contre le retrait-gonflement des argiles dans plusieurs départements, dans le Périgord, une des zones pilotes, sinistrés et élus dénoncent des critères d’indemnisation opaques.
Dans « 2049. Ce que le climat va faire à l’Europe » (Seuil), Nathanaël Wallenhorst, chercheur en sciences de l’environnement et membre de l’Anthropocene Working Group (AWG), a compilé un nombre colossal de données scientifiques pour nous avertir : ce que nous vivons depuis quelques années (canicules, mégafeux, sécheresse…) n’a désormais plus rien d’exceptionnel. Nous devons apprendre à composer avec cette nouvelle donne climatique.
Avec des barrages presque vides et des nappes phréatiques surexploitées, la côte égéenne turque vit une grave crise hydrique. La troisième plus grande ville du pays impose des coupures d’eau aux habitants et les agriculteurs sont contraints de changer de semences.
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