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avril 2025

Certes, le président américain a dû reculer dans sa guerre commerciale. Mais le fondement idéologique de ses décisions est plus solide que ne le laisse supposer leur forme confuse, clownesque et brutale. Le trumpisme a des racines profondes et il est là pour durer.
Joe Biden, 82 ans, a accusé l’administration Trump de s’en prendre à l’agence fédérale notamment chargée de distribuer les retraites publiques ou les pensions d’invalidité à 68 millions de bénéficiaires. [...]«Ils attaquent la Sécurité sociale à coups de hache, licenciant 7 000 fonctionnaires, y compris les plus chevronnés. Ils s’apprêtent à en pousser des milliers d’autres vers la porte», a dénoncé l’ancien chef d’Etat.«Pourquoi veulent-ils la dévaliser ? C’est pour offrir d’énormes baisses d’impôts aux milliardaires», a martelé l’ancien président démocrate «La Sécurité sociale mérite d’être protégée pour le bien de la nation tout entière, a-t-il ajouté. Il ne s’agit pas seulement de pensions de retraite. Il s’agit d’honorer un lien de confiance fondamental entre l’Etat et le peuple.»
Le Bureau de la gestion et du budget (OMB) du gouvernement américain a proposé de supprimer le financement des missions de paix des Nations unies, rapporte l'agence de presse Reuters mercredi, citant des documents internes. .
Ces fonds avaient été alloués dans le cadre des législations sur le climat et les infrastructures adoptées par le Congrès lorsque le démocrate Joe Biden était encore président. La juge a ordonné aux agences de reprendre immédiatement le versement des fonds, a rapporté Politico. La juge Mary McElroy a déclaré que Donald Trump avait le droit de mettre en œuvre son programme de coupes dans les dépenses, mais que "les agences n’ont pas un pouvoir illimité pour promouvoir le programme d’un président ou pour bloquer à jamais les lois adoptées par le Congrès".
Lors d’une conférence à Chicago, l’ancien président démocrate est sorti de sa retraite pour critiquer l’actuelle administration, l’accusant de solder la « Sécurité sociale » pour « offrir d’énormes baisses d’impôts aux milliardaires ».
C’est l’histoire d’un homme dont vous n’avez sans doute jamais entendu parler… mais qui pourrait pourtant décider de notre avenir. Un homme de l’ombre, la plus noire qui soit. Un homme pour qui seuls les élites mériteraient de vivre. Les autres, juste de survivre, en se soumettant. Un homme qui, depuis son ermitage californien, tisse depuis vingt ans une toile idéologique où la démocratie est une maladie infantile, la presse un virus et la liberté pour tous une plaisanterie de mauvais goût. Cet homme, c’est Curtis Yarvin.
L’administration Trump a annoncé lundi le gel de 2,2 milliards de dollars de subventions à Harvard, sur fond de tensions liées aux mobilisations étudiantes contre la guerre à Gaza. L’université américaine, comme d’autres, est visée par la Maison Blanche, qui dénonce une mauvaise gestion des actes jugés antisémites sur les campus.
L’administration Trump a annoncé lundi le gel de 2,2 milliards de dollars de subventions à l’université Harvard, l’une des plus prestigieuses au monde, après son refus de se plier aux exigences de la Maison Blanche. Harvard, comme d’autres universités américaines, a été le théâtre d’une mobilisation étudiante contre la guerre menée par Israël à Gaza, et ciblée par la Maison Blanche depuis le retour au pouvoir de Donald Trump.
L’armée américaine recourt à l’IA depuis plusieurs années dans le développement de technologies militaires, à l’image des drones autonomes ou des systèmes de vision assistée par ordinateur. Désormais, une nouvelle étape est franchie avec l’intégration de l’intelligence artificielle générative — un outil conversationnel — au sein même des opérations de terrain.
Le président américain demanderait de choisir entre les États-Unis ou la Chine.- […] Nos confrères du Irish Times, nous apprennent l'existence d'un document qui met en évidence les attentes des États-Unis quant aux accords commerciaux avec la Chine. Washington voudrait couper les ponts avec Pékin.- […] Ce même document préciserait que tous les pays qui désireraient conclure un accord commercial avec Donald Trump, devront renoncer à la Chine. Cette information aurait été transmise à Dublin auprès de Simon Harris, vice-Premier ministre irlandais et à Howard Lutnick, secrétaire américain au Commerce dans le courant de la semaine dernière.


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