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Les États-Unis viennent de franchir une nouvelle étape dans la modernisation de leur arsenal nucléaire. La bombe à gravité B61-13, une arme de dernière génération, est entrée en production complète sept mois plus tôt que prévu. Développée pour s’adapter aux défis stratégiques du 21e siècle, cette bombe possède une puissance dévastatrice et des technologies avancées.
Le patron de Boeing Dave Calhoun a reconnu mardi la "gravité" de la situation concernant la qualité de la production du constructeur, assurant devant une commission d'enquête du Sénat américain, que des progrès avaient d'ores et déjà été effectués. Au début de son témoignage, M. Calhoun s'est levé, a fait volte-face et présenté des excuses "au nom de tous les employés de Boeing à travers le monde, passés et présents, pour (leurs) pertes". "Je m'excuse pour le chagrin que nous avons causé, et je veux que vous sachiez que nous sommes totalement mobilisés, en leur mémoire, à travailler sur la sécurité aussi longtemps" que nécessaire.
Dans un entretien fin juillet au magazine allemand «Spiegel», le professeur avait répondu qu’un tel réchauffement de la planète ne conduirait pas à une extinction de l’humanité. Une phrase pas toujours reprise dans son contexte.
Alors que les épidémies de variole du singe et de coronavirus continuent leur progression, un nouveau virus a récemment été détecté en Chine. Selon la revue médicale "The New England Journal of Medicine", une nouvelle zoonose, une maladie infectieuse se transmettant de l'animal à l'homme, a été observée dans les provinces chinoises de Shandong et Henan. Plus précisément, il s'agit d'un nouveau henipavirus, dont les formes les plus connues sont le Nipahvirus et le Hendravirus. Le premier est particulièrement létal, avec un taux de mortalité oscillant entre 40 et 75%, selon l'OMS. Trente-cinq cas de ce nouveau virus, dénommé "Langya" par les experts, ont pour l'heure été enregistrés. Les patients atteints de Langya ont développé différentes sortes de symptômes, dont la fièvre (100 % des patients), la fatigue (54 %), la toux (50 %), la perte d'appétit (50 %), les douleurs musculaires (46 %), les nausées (38 %), les maux de tête (35 %) et les vomissements (35 %).
Fleuves asséchés, récoltes menacées, eau rationnée... Le nord de l'Italie est confronté à une sécheresse historique due au manque de pluie mais aussi à des infrastructures vieillissantes et au sous-investissement.
Un coup de gueule à l'antenne pour faire réagir. Provoquée par une arrivée d'air chaud venue du Maghreb, une vague de chaleur a commencé à toucher le sud-ouest de la France, avec des températures qui sont montées jusqu'à 34°C à Bordeaux et 37°C à Toulouse mardi. D'après Météo-France, elle frappera tout le pays d'ici le week-end, avec des pics qui pourront être supérieurs à 40°C localement.
La limite planétaire de la perte de biodiversité était initialement mesurée grâce aux taux d'extinction des espèces, mais cette mesure, ainsi que d'autres, se sont avérées insuffisantes pour déterminer un seuil mondial de perte de biodiversité. À l'heure actuelle, nous ne pouvons pas déterminer de seuil mondial de perte de biodiversité, ou d'intégrité de la biosphère, comme on l'appelle aujourd'hui.
Quel est l’impact des rapports du Giec ? La société, les médias et les politiques s’en saisissent-ils assez ? La voix des climatosceptiques porte-t-elle toujours autant ? Analyse avec Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du groupe de travail I du Giec, centré sur les constats physiques de l’évolution du climat.
Covid, inondations, énergie… Les crises sont multiples et touchent particulièrement les personnes vulnérables. Christine Mahy, secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté, invitée de Matin Première, fait le point.
Températures, gaz à effet de serre, précipitations, fonte des glaces, hausse du niveau de la mer, acidification des océans, famine… Le rapport provisoire de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) sur l’état du climat en 2021 dresse un nouveau panorama alarmant de la situation climatique actuelle. Avec un réchauffement de “seulement” 1,09 °C environ.
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