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groenland fonte
Selon une alerte du réseau scientifique World Weather Attribution (WWA), ce mercredi 11 mai, cette fonte accélérée serait le résultat d’une vague de chaleur record entre le 15 et le 21 mai, qui a aussi touché l’Islande.
Un nouvel article du grand climatologue James Hansen affirme que le réchauffement a accéléré il y a quelques années. La réduction des aérosols liés au fuel des navires en serait la cause. La fonte du Groenland dépasse les prévisions et mènera à un arrêt de la circulation océanique dans 20 -30 ans, ce qui provoquera plus tard une importante montée du niveau de la mer. Il suggère des prévisions climatiques complémentaires à celles du GIEC, qui s’appuieraient plus sur les observations de la réalité.
L'océan arctique (pôle nord) est habituellement dominé par la glace de mer qui s'accumule à chaque saison, et qui reste en place pendant des années, même si son épaisseur et son étendue varie en fonction de la saison. Or, les mesures satellitaires de plus en plus précises et multicritères montrent que la banquise arctique fond à une vitesse élevée, suivant une tendance lourde. Dans quelques années, elle ne sera plus.
Climatologues et ingénieurs appellent à une action urgente pour freiner le réchauffement climatique et protéger les régions vulnérables.
Un réchauffement climatique qui fait froid dans le dos. C’est un peu paradoxal. Pourtant, c’est bien l’effet que fait la dernière étude en date sur la fonte du Groenland. Le processus s’accélère. Et ce qui se passe au Groenland... ne restera pas au Groenland !
Dans une étude publiée dans la revue “PNAS”, des scientifiques livrent les conclusions de l’analyse d’une carotte de glace prélevée à trois kilomètres de profondeur. Elle prouve que, dans une période géologique récente, l’ensemble de la glace du Groenland a été sujette à la fonte. Dans le contexte actuel de montée des températures, cette découverte fait craindre une hausse du niveau de la mer plus importante que prévu.
The story of Greenland keeps getting greener—and scarier. A new study provides the first direct evidence that the center—not just the edges—of Greenland's ice sheet melted away in the recent geological past and the now-ice-covered island was then home to a green, tundra landscape.
Total is 20% higher than thought and may have implications for collapse of globally important north Atlantic ocean currents The Greenland ice cap is losing an average of 30m tonnes of ice an hour due to the climate crisis, a study has revealed, which is 20% more than was previously thought. Some scientists are concerned that this additional source of freshwater pouring into the north Atlantic might mean a collapse of the ocean currents called the Atlantic meridional overturning circulation (Amoc) is closer to being triggered, with severe consequences for humanity.
En 45 ans, les plus grandes plateformes de glace flottantes de la calotte polaire ont perdu 35 % de leur volume, montre une étude publiée à la veille du premier sommet international consacré aux glaciers et aux pôles, qui se tenait aujourd’hui à Paris.
La disparition de ces barrages naturels a des effets importants sur les glaciers, dont les points d’ancrage au sol reculent et qui déversent plus de glace qu’auparavant.
Une couche de glace épaisse de plus d'1,5 km a fondu au Groenland il y a 416.000 années, au cours d'une période de réchauffement climatique naturel modéré, signe de sa plus grande vulnérabilité qu'imaginée au changement climatique actuel, selon une étude publiée jeudi.
Nous sommes déjà à mi-chemin du point de non-retour en ce qui concerne la fonte des glaces au Groenland. Et si nous continuons à émettre autant de CO2 que ces dernières années, ce seuil critique sera peut-être atteint avant 2040
Certains glaciers du Groenland pourraient être en train de fondre à un rythme cent fois supérieur aux estimations précédentes.
Des chercheurs attirent l’attention sur le rôle de la circulation atmosphérique, et donc des vents, dans la fonte de la calotte du Groenland. Depuis 1990, ces derniers seraient en effet responsables de la moitié du réchauffement de surface et de la perte de masse associée. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Communications le 14 novembre dernier.
Les glaciers situés à la périphérie du Groenland sont littéralement attaqués par les deux bouts. En effet, de nouveaux travaux ont montré que les impacts liés au réchauffement de l’atmosphère et de l’océan se renforçaient mutuellement, illustrant la grande vulnérabilité des rivières de glace. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Geoscience le 3 octobre dernier.
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