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juin2024

juin 2024

Ecolo serait en prise à "une dérive oligarchique" qui l'a éloigné de ses valeurs, et c'est ce qui expliquerait sa défaite électorale, affirme l'eurodéputé sortant Philippe Lamberts.
Déroute d'Ecolo, Philippe Lamberts livre ses vérités
Le 16 juillet prochain prendra fin mon troisième et ultime mandat de député européen. A trois reprises, les membres de l’assemblée générale d’Ecolo puis les citoyennes et citoyens de Belgique francophone m’ont octroyé leur confiance. Je leur suis et leur resterai à jamais profondément reconnaissant pour cette confiance, qui m’a permis d’écrire la plus belle et plus passionnante page de ma carrière professionnelle, au service de la cause d’une société plus juste, plus durable et plus démocratique. Pendant ces quinze années, j’ai mis toute mon énergie et toutes mes qualités au service des responsabilités qui m’ont été confiées. J’ose croire que cet engagement a été apprécié à sa juste valeur par celles et ceux qui m’avaient fait confiance.
31.806 personnes composent l’effectif politique belge. Voilà ce qui ressort d’une étude réalisée par les professeurs Jean Hindriks et Alexandre Lamfalussy. Cette étude publiée par l’UCLouvain propose une analyse détaillée des fonctions qu’occupent ces 31.806 mandataires politiques belges. A quel niveau de pouvoir se situent-ils ? Quelle région du pays emploie le plus de mandataires ? Analyse.
Ce 18 juin, nous lançons un appel solennel à toutes les forces social-écologistes en Belgique, y compris celles qui sont isolées, à former un front commun. Les résultats des élections du 9 juin dernier ont été un véritable séisme pour les forces progressistes. En Belgique comme dans de nombreux autres pays européens, elles ont essuyé une défaite cinglante face à des formations politiques faisant fi des immenses défis environnementaux et sociaux auxquels l’humanité est confrontée. Une semaine plus tard, le choc et l’incrédulité demeurent. Comment les artisans de la destruction des équilibres naturels et du creusement des inégalités ont-ils pu être plébiscités par les urnes ?
Comme chaque matin, Maxime Binet reçoit dans le “Café sans filtre” un invité afin d’évoquer les sujets chauds de l’actualité. Etienne de Callataÿ voit positivement le glissement vers des gouvernements de centre-droit : “J’y vois du positif par rapport à ce qui était redouté au niveau européen et au niveau belge. Du côté francophone, ce glissement vers la droite est tout à fait étonnant même si, au niveau européen, c’est la tendance de ces dernières décennies. La surprise, c’est que la Wallonie participe à ce glissement.”
D’un côté, la possibilité d’une union des gauches que beaucoup croyaient irréconciliables. De l’autre, le compromis dangereux entre libéralisme autoritaire et fascisme, un classique du XXe siècle dont le macronisme use depuis 2017.
Dimanche, presque partout en Europe, et très cruellement en Belgique, l’écologie – au sens le plus large – a perdu une nouvelle bataille. Cette défaite est celle de l’ensemble du mouvement écologique. Une prise de recul montre que, plus qu’une bataille, et à force de défaites, c’est la guerre que perd l’écologie, depuis 50 ans qu’elle a émergé. Or l’enjeu de cette guerre est l’habitabilité planétaire pour les vivants, dont les Humains. Mais c’est en particulier la défaite de la forme « parti » qu’a prise ce mouvement depuis les années 1980. Le parti belge Ecolo en particulier, un des premiers à entrer dans un parlement national en 1980 précisément, se distingue depuis lors par son incapacité à parvenir au pouvoir et s’y maintenir structurellement, afin de pouvoir déployer son programme, en temps utile. La défaite du dernier étage de la fusée « écologie », celle du gouvernement de la société, devient dès lors une question existentielle. C’est pourquoi nous plaidons ici pour un aggiornamento total – une remise
De jeunes militants pour le climat parlent de l’état de la politique dans le monde. Cette année, des élections ont lieu dans le monde entier, couvrant près de la moitié de la population mondiale. Il est également probable que cette année soit, une fois de plus, la plus chaude jamais enregistrée, alors que la crise climatique s’intensifie. Le Guardian a demandé à de jeunes militants pour le climat du monde entier ce qu’ils attendaient des élections et si la politique est efficace dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Les Verts sont les grands perdants des élections européennes. L’avenir pour l’écologie en Europe devient plus incertain, explique le Réseau Action Climat (RAC). Les élections européennes ont modifié l’équilibre des forces au Parlement européen. Les conservateurs du Parti populaire européen (PPE) renforcent leur première position avec 186 eurodéputés (contre 176 en 2019). L’extrême droite fait une percée importante, avec désormais trois groupes : les Conservateurs et Réformistes européens (ECR), où siègent (...)


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