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Une ONG a dénombré plus de 500 participants de la COP30 liés, de près ou de loin, à des entreprises ou institutions promouvant les technologies de captage de CO2, accusées de retarder l'abandon du pétrole et du gaz, selon la liste fournie en exclusivité à l'AFP. Le Centre pour le droit environnemental international (Ciel), basé à Washington et à Genève, a analysé la liste des quelque 42.000 participants accrédités à la conférence climatique de Belem publiée par les Nations unies. Il en conclut que 531 d'entre eux peuvent être qualifiés de "lobbyistes du captage et du stockage du dioxyde de carbone" (CCS, en anglais), nom donné à ces techniques visant à capter le CO2 dans l'air ou immédiatement dans les cheminées industrielles, et de le stocker de façon permanente dans le sol.
La coalition Kick Big Polluters Out a identifié plus de 1 600 lobbyistes des énergies fossiles parmi les 40 000 inscrit·es au 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat à Belém (Brésil). C’est la plus forte concentration jamais observée à une COP.
À quelques encablures du sommet onusien et de ses zones d’exposition officielles, le gouvernement brésilien a installé une «Agrizone», sponsorisée par les grands noms de l’agrobusiness. Les organisations de la société civile enragent de cette collusion affichée et dénoncent les multiples ravages de l’agriculture industrielle.
Six jours avant l’adoption de la loi interdisant les polluants éternels, l’activiste Camille Etienne a assisté à une entrevue entre l'élu RN Frédéric-Pierre Vos et deux communicants du groupe Seb.
Au moins 1.773 lobbyistes des énergies fossiles ont été autorisés à accéder à la COP29 Climat à Bakou, selon le compte réalisé par la coalition d'ONG Kick
Près de 1.800 personnes liées à des intérêts dans les énergies fossiles ont obtenu selon une coalition d'ONG une accréditation pour la conférence de l'ONU sur le climat (COP29) qui se tient jusqu'au 22 novembre en Azerbaïdjan.
La 4ᵉ session de négociations internationales (INC 4) pour parvenir à un traité contre la pollution plastique se déroule actuellement au Canada. Les 175 pays réunis à Ottawa ont jusqu’au 29 avril pour avancer sur une version du traité. Le document provisoire de travail (zero draft), tel qu’il a été élaboré lors de la 3ᵉ session à Nairobi, ressemble pour l’heure surtout à un catalogue de toutes les options possibles sur lesquelles il va falloir trancher. 196 lobbyistes inscrits aux débats Deux blocs s’opposent (...)
Au moins 2 456 représentants de l’industrie fossile ont été autorisés à participer au sommet mondial sur le climat à Dubaï, dévoile la coalition Kick Big Polluters Out (KBPO). C’est quatre fois plus que le précédent record. Le Français TotalEnergies a envoyé 12 représentant·es, selon notre décompte. Décryptage.
C'est le chiffre choc de la COP28. 2 456 lobbyistes fossiles - "au moins" - ont obtenu une accréditation pour participer à ce nouveau sommet pour le climat, qui se tient actuellement à Dubaï. Ce nombre dévoilé par une coalition d’ONGs, Kick Big Polluters Out, montre à quel point l’ombre des lobbies des énergies fossiles plane sur ces pourparlers à l’heure où la question de leur sortie se fait de plus en plus pressante.
L'ONU Climat a accordé au moins 7 200 accréditations à des personnes ouvertement affiliées au monde des énergies fossiles pour assister aux négociations sur le changement climatique (COP) ces vingt dernières années, révèle mardi une coalition d'ONG.
Lors de la COP27 en Égypte, le nombre de lobbyistes des industries pétrolières et gazières a augmenté de 25 % par rapport à l’année dernière. « Le rapport de force est complètement déséquilibré », alerte notre chroniqueuse.
Témoin et spécialiste des stratégies lobbyistes depuis des années, le journaliste scientifique Stéphane Foucart revient pour Novethic sur les récentes attaques dont son journal, Le Monde, a été la cible après la publication d'un papier sur les résidus de pesticides dans les fruits et légumes qui annuleraient certains de leurs bénéfices. Pour l'enquêteur, les "semeurs de doute" sont toujours à l'œuvre et c'est aux journalistes de donner l'alerte malgré les intimidations.
Le Parlement européen s’apprête à voter une nouvelle réforme de la politique agricole commune (PAC) qui dessine les lignes du modèle agricole européen pour les prochaines années (2023-2027). Pourtant, cette nouvelle version est incapable de répondre aux enjeux actuels agricoles, sociaux, environnementaux et climatiques.
La présence massive des représentants de l’industrie des combustibles fossiles dans les négociations internationales sur le climat inquiète les ONG environnementales, qui demandent des règles plus strictes.
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