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La compagnie ferroviaire évoque une « interférence illégale » comme cause de la catastrophe, qui a aussi causé une trentaine de blessés. L’effondrement de deux ponts dans les régions russes de Koursk et de Briansk, frontalières de l’Ukraine, dans la nuit de samedi 31 mai à dimanche 1er juin, a été provoqué par « des explosions », selon le Comité d’enquête de Russie. L’incident de Briansk a causé la mort de sept personnes et 66 blessés, selon le gouverneur de l’oblast, Alexandre Bogomaz.
Au moins sept personnes ont été tuées et près de 70 autres blessées dans l'effondrement d'un pont sur une voie ferrée dans le sud-ouest de la Russie, qui a fait dérailler un train samedi soir près de la frontière ukrainienne, selon les autorités russes. Un autre effondrement de pont ayant provoqué la chute d'une locomotive a été signalé dans la région de Koursk.
"Le diable sur l'épaule de Poutine", le surnomme-t-on souvent. Il faut dire que l'homme est aux côtés du maître du Kremlin depuis de très nombreuses années. Et qu'il fait partie des rares personnes à qui le président russe fait confiance. Au point que certains le voient comme le futur successeur du chef d'Etat... Dans le cadre de sa série "Il était une fois", La Libre dresse le portrait de "l'homme le plus dangereux de Moscou" aux prises de position extrêmes et violentes qui murmure à l'oreille de Vladimir Poutine.
Le gouvernement suédois a annoncé samedi instaurer à partir du 1er juillet de nouvelles règles renforçant le contrôle de navires étrangers, une mesure qui cible la "flotte fantôme" de la Russie en mer Baltique.
La Russie a revendiqué samedi 31 mai la prise d’un nouveau village ukrainien. Kyiv a ordonné des évacuations, pour parer à d’éventuelles attaques.
L'Ukraine se dit prête à participer à de nouveaux pourparlers avec la Russie, prévus lundi à Istanbul, mais exige un document précisant les conditions de Moscou pour une paix durable. Un premier cycle de négociations, tenu le 16 mai sous pression américaine, n'avait pas abouti.
Pour s’attaquer vraiment aux racines de la guerre en Ukraine, la Russie doit commencer par reconnaître et combattre la corruption systémique, qui représente une menace pour les Russes comme pour le reste du monde, estime le spécialiste américain en affaires publiques et internationales Matthew H. Murray, dans une tribune au « Monde ».
Le Kremlin a écarté ce vendredi 30 mai l’hypothèse d’une rencontre Poutine-Zelensky-Trump, sous l’égide du Turc Erdogan, conditionnant tout sommet de ce type à l’obtention de «résultats» dans les négociations avec Kyiv.
Les États-Unis exhortent la Russie à accepter l'accord actuel sur la guerre en Ukraine. "L'accord proposé actuellement est le meilleur résultat possible pour la Russie. Le président Poutine devrait l'accepter", a déclaré un représentant américain au Conseil de sécurité des Nations unies.
La Russie a dénoncé jeudi les attaques israéliennes dans la bande de Gaza comme une "punition collective de la population civile", en appelant à mettre fin "immédiatement à l'effusion de sang".
Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que Moscou massait plus de 50.000 soldats près de la région ukrainienne de Soumy (nord-est), en vue d'une possible offensive contre ce territoire frontalier où Moscou dit vouloir créer "une zone tampon" pour prévenir des incursions de Kiev.
Moscou avait prévenu que des livraisons directes d’armes à longue portée, qui permettraient à Kiev de se défendre contre des cibles militaires sur le territoire russe, seraient considérées comme une implication de Berlin dans la guerre. La production en commun annoncée par le chancelier permet de contourner cet obstacle.
Quelque chose est en train de bouillir à la Maison blanche. Comme une soupe épaisse sur un feu médiatique. Un mélange de frustration, de justifications et de craintes. De "Je m’entends bien avec Vladimir Poutine", à "Il a dû lui arriver quelque chose", Donald Trump change progressivement son discours sur le président russe. Un changement pas encore radical mais perceptible en cinq mois à peine.
La Russie a proposé mercredi à l'Ukraine une deuxième séance de pourparlers directs à Istanbul, le 2 juin, afin de lui transmettre son "mémorandum" censé exposer les conditions russes pour un accord de paix durable
La Belgique a décidé de se joindre à la "coalition des drones" en faveur de l’Ukraine, a annoncé mercredi le ministre de la Défense, Theo Francken (N-VA) en marge d’une réunion à Riga, en Lettonie. En janvier dernier, on apprenait qu’une coalition internationale visant à fournir des drones à l’Ukraine, codirigée par le Royaume-Uni et la Lettonie, allait envoyer 30.000 nouveaux engins à Kiev. La Belgique en fera donc partie.
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