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universel
Sam Altman, PDG d'OpenAI (à qui l'on doit ChatGPT) a financé une étude afin de connaître l'impact d'un revenu universel, à l'heure où l'intelligence artificielle menace toujours plus d'emplois. Après trois ans, les premiers résultats de l'étude ont été partagés. "Notre objectif est d'apprendre des expériences des participants et de mieux comprendre à la fois le potentiel et les limites des transferts d'un revenu de base", peut-on lire sur le site de l'étude. "L'exhaustivité de cette étude nous a permis de recueillir des données sur le revenu universel afin de mesurer et de comprendre plus rigoureusement son impact."
Au niveau du droit universel à l’eau, à la vie, plus de 2 milliards d’êtres humains sont encore privés du droit à accéder à la source de vie qu’est l’eau potable et 4,2 milliards ne disposent d’aucun service hygiénique (toilettes, par exemple). En outre, 4 milliards se trouvent dans un état de stress hydrique élevé
À l’heure où nous nous effarons sans cesse des progrès de l’intelligence artificielle, une réflexion sur le travail est plus que jamais nécessaire.
Les forêts font l’objet d’une attention croissante des pouvoirs publics et de la société civile. Elles fournissent de la matière première et des réserves précieuses de biodiversité. Elles ont également des fonctions récréatives et écosystémiques. Le droit lui aussi évolue et fait face aux mêmes défis sociétaux, environnementaux, économiques et sanitaires. Cet ouvrage analyse les influences réciproques entre le droit et la forêt. Il interroge la capacité du droit à accompagner l’évolution de la forêt en fournissant des instruments adaptés, existants ou à inventer. Appréhender différemment la forêt contribuerait à son tour à penser le droit autrement, les rapports de pouvoirs qu’il organise, et à revoir ses méthodes et ses concepts.
Jamais auparavant une consultation publique de l’Union européenne (UE) n’avait reçu autant de réponses sur ce type de sujets. 5600 contre quelques centaines habituellement. Représentant près de 60% des répondants, les entreprises chimiques ont fait bloc pour faire connaître leur désaccord à la question posée : celle d’évaluer une possible restriction universelle des molécules per- et polyfluoroalkylées (PFAS) au sein de l’UE.
Jamais auparavant une consultation publique de l’Union européenne (UE) n’avait reçu autant de réponses sur ce type de sujets. 5600 contre quelques centaines habituellement.
Les quatre piliers de la politique mondiale de l’eau à la sauce de l’économie capitaliste. . . Primo. La préférence donnée à la gestion des ressources hydriques et des services « publics » de l’eau potable et de l’assainissement par des entreprises privées à capital privé et, même, cotées en Bourse. Secundo. La généralisation à l’échelle internationale de la gestion de l’eau fondée sur le prix de l’eau fixé selon le principe de la récupération totale des coûts de production, comprise la rémunération du capital investi (le profit). Tertio. La soumission de la gestion de l’eau et des services hydriques aux règles du commerce international fixées par l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) créée en 1994.
Wat wensen ouders hun pasgeboren kind? Dat het gezond is, dat het opgroeit tot een fijne tiener en uitgroeit tot een volwassen persoon. Er zijn geen ouders bekend die verlangen dat hun kind groeit en blijft groeien, en dus steeds groter wordt. Dat lijkt eerder iets voor een sprookje of beter een griezelverhaal. En toch is dit laatste verlangen de overheersende wens als het over onze economie gaat. Die moet groeien, en blijven groeien. Een land gaat zogezegd achteruit als het bruto binnenlands product niet groeit, als we niet steeds, jaar na jaar na jaar, meer producten en diensten produceren. En terwijl we ons goed kunnen voorstellen hoe onwezenlijk het zou als een kind zou blijven groeien – het huis, de stoelen, het eten, het zou allemaal te klein of te weinig zijn – lukt dat dus niet als het over de groei van de economie gaat in het huis van de mens, onze aarde. Terwijl die ook niet groeit. Sterker nog, ons leven gedijt enkel in die dunne laag boven en net in de aardkorst, de kwetsbare zone van de biosfeer,
Jusque dans les années 1980, la notion d’effondrement, dans le sens d’effondrement de civilisation, était réservée à l’étude des sociétés anciennes disparues par les historiens et archéologues. Cette étude des civilisations antiques trouve ses origines dans les travaux précurseurs de savants et d’amateurs du XVIIIe siècle, fascinés par les ruines antiques. Le XIXe siècle, siècle du Romantisme, augmentera massivement la fascination pour les ruines et le sort funeste de ces civilisations disparues. On parlera de « ruines romantiques ». Comme si l’essor -ou le déchaînement- de l’industrie, du capitalisme et de la mondialisation, avait intuitivement fait comprendre à ces observateurs la fragilité des sociétés humaines, de la nature, des paysages contemporains, au travers du constat des civilisations du passé anéanties malgré leur architecture monumentale, leur technique avancée et leur art raffiné.
Une des limites importantes concernant l’élargissement des droits est la question du financement. Cela renvoie en premier lieu au taux des cotisations sociales, ainsi qu’au nombre d’emplois et au niveau global des salaires à l’échelle nationale.