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MERS

août 2025

Le riche homme d’affaires Gerard Barron est le cerveau de The Metals Company, une entreprise canadienne qui veut être la première au monde à extraire des métaux précieux des abysses, dès 2026. Son projet est sur le point de se concrétiser grâce à ses liens étroits avec la sphère politique américaine, encore faut-il que l’Autorité internationale des fonds marins le laisse faire. Portrait.

juillet 2025

Le code minier, en discussion depuis des années, n’a pas été finalisé. Le représentant du président français espère que de nouveaux Etats se positionneront en faveur d’une pause de précaution et vise « une coalition de 80 pays » à l’été 2026.
Grâce à Donald Trump et sous couvert de greenwashing, Gerard Barron est l’une des figures de l’exploitation des abysses, très décriée. Le riche PDG veut y extraire des minerais, quitte à tout y détruire.
Le Japon a déclaré que le mandat d’arrêt contre le militant écologiste américano-canadien restait valide, appelant « les parties concernées à procéder à son extradition ».
Ces nouvelles zones doivent permettra au pays d’atteindre l’objectif de protéger 30 % de ses eaux territoriales d’ici à 2030. La pratique décriée du chalutage de fond y sera interdite.
La compagnie fait miroiter aux investisseurs les profits tirés des minerais abrités au fond de l’océan et tente de forcer le passage pour obtenir un permis d’exploiter, malgré les risques pour l’environnement. Mais la faisabilité technique et la rentabilité de cette activité sont sujettes à caution.
La restauration des écosystèmes détruits par l'extraction minière en haute mer n'est pour l'instant qu'un mirage, estiment les scientifiques. De quoi remettre en question les futures réglementations internationales de la pratique, qui pourraient utiliser la notion de "remise en état des fonds marins".
C’est une tendance qui ne faiblit pas sur les réseaux sociaux. Face à la crise écologique, des centaines de jeunes témoignent de leur pessimisme quant à notre capacité à redresser la barre : on les appelle les "climate doomers". Résultat d’une éco-anxiété grandissante, ce phénomène participe à freiner l’action climatique.
Les ressources minières des fonds marins n’en finissent plus de cristalliser des tensions internationales. Alors que la prochaine session de négociations de l’Autorité internationale des fonds marins (AIFM) doit débuter le 7 juillet, l’autorité onusienne se trouve sous pression. Tandis qu’elle planche encore sur l’élaboration d’un Code minier international pour les fonds marins, elle pourrait fait face à une tentative de passage en force de certains industriels et de leur allié américain.

juin 2025

La crise climatique menace notre droit à la vie, a alerté lundi le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, au moment où un intense phénomène de canicule se poursuit dans le sud de l'Europe. "La hausse des températures, l'élévation du niveau de la mer, les inondations, les sécheresses et les incendies de forêt menacent nos droits à la vie, à la santé, à un environnement propre, sain et durable, et bien plus encore", a déclaré Volker Türk, lors d'une discussion sur le changement climatique devant le Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève.
Despite working on polar science for the British Antarctic Survey for 20 years, Louise Sime finds the magnitude of potential sea-level rise hard to comprehend
L’Australie avait annoncé en 2023 offrir l’asile aux habitants de Tuvalu, un archipel du Pacifique où habitent 11 000 personnes et dont deux atolls sont déjà largement submergés par la montée des eaux. Un habitant sur trois de l'île cherche désormais à obtenir un visa climatique, selon un décompte obtenu par l'AFP.
Selon une soixantaine de chercheurs de renom, une dizaine d’indicateurs climatiques clefs sont dans le rouge.
Even if agricultural practices adapt in response to higher temperatures, five of the world's six main staple crops will suffer severe losses due to climate change. Global corn yields are projected to fall by about 12 or 28 per cent by the end of the century
La chaleur est restée la nouvelle norme dans le monde au mois de mai, aussi bien sur terre que sur les mers, nombre d'entre elles connaissant toujours des températures "inhabituellement élevées" comme depuis plus de deux ans.


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