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Un collectif de députés et de sénateurs appelle à rejeter le projet de loi, présenté ce mardi 17 juin à l’Assemblée nationale, qui consiste à autoriser l’exportation de CO2 liquéfié en vue de son enfouissement dans des failles géologiques sous-marines.
Alors que la banquise fond, les tensions montent. En juin 2025, la Russie mettra en service un nouveau mastodonte de sa dissuasion nucléaire : le Knyaz Pozharsky, un sous-marin de classe Borei-A conçu pour opérer dans l’Arctique. Loin d’un simple ajout à la flotte, ce sous-marin symbolise une stratégie plus vaste : ancrer la puissance militaire russe dans le Grand Nord, où les enjeux économiques, géopolitiques et climatiques s’entremêlent.
Dans une tribune au « Monde », Rémi Parmentier, à l’initiative de la plateforme Let’s Be Nice to the Ocean, estime que la conférence de Nice est l’occasion de diminuer enfin, sinon de supprimer, les aides publiques à la pêche intensive, dévoreuse de carburant, semeuse de déserts sous-marins et de ruine pour les petits pêcheurs.
D’après le service de sécurité ukrainien, 1 100 kilogrammes d’explosifs auraient été déclenchés ce matin sur les piliers de l’édifice.
Excalibur fait partie du projet triennal Project Cetus, une initiative stratégique britannique visant à intégrer la robotisation dans la guerre sous-marine, domaine longtemps réservé aux sous-marins habités classiques.
Le 27 mai 2025, dans le port militaire de Cherbourg, un géant silencieux a été mis à l’eau. Son nom : De Grasse. Ce n’est pas seulement un sous-marin nucléaire d’attaque de plus — c’est le dernier-né d’un programme de 10 milliards d’euros qui redéfinit la puissance navale française pour les décennies à venir. Ce lancement marque une étape majeure dans la modernisation de la flotte française, mais aussi dans l’équilibre stratégique des forces sous-marines au sein de l’OTAN.
À l’ère des tensions croissantes sous les mers, la Royal Navy britannique mise sur l’intelligence artificielle pour surveiller les profondeurs. Son nouveau système baptisé Lura, conçu pour traquer les sous-marins ennemis, promet une révolution dans la guerre sous-marine. Et le tout… sans torpilles ni humains à bord.
L’océan, vaste et souvent silencieux, devient progressivement un terrain de jeu pour les technologies militaires les plus avancées. Parmi les innovations qui façonnent la guerre navale du futur, les drones sous-marins (ou véhicules sous-marins autonomes – VSA) figurent en tête de liste. Ces appareils furtifs et autonomes pourraient bien redéfinir l’équilibre des forces en mer, au point de rendre obsolètes certaines tactiques navales traditionnelles. Bien plus qu’un simple gadget technologique, ces drones représentent une véritable révolution stratégique qui pourrait bouleverser la manière dont les nations se préparent et se battent en mer.
La Chine vient de franchir un nouveau cap dans sa course à la suprématie maritime avec la mise en service opérationnelle de sa deuxième frégate de type 054B. Baptisée Qinzhou (numéro de coque 555), cette nouvelle unité n’est pas un simple ajout à la flotte : c’est une plateforme technologique avancée, conçue pour la guerre moderne, et en particulier pour la traque des sous-marins nucléaires américains qui sillonnent les océans.
Alors que la société canadienne The Metals Company et les Etats-Unis s’allient en vue d’extraire des minerais des grands fonds océaniques, les experts avertissent sur les quantités exploitables limitées, le coût et les risques de la production.
Le président américain voit dans les fonds marins une opportunité de devancer son adversaire chinois ainsi qu’une mine d’or financière. Un coup de force juridique aux conséquences extrêmement graves pour la biodiversité marine.
La Chine fait une nouvelle avancée spectaculaire dans le domaine de l’exploration énergétique. La China National Offshore Oil Corporation (CNOOC) a récemment annoncé la découverte d’un gisement pétrolier colossal au large de la mer de Chine méridionale. Situé à 170 kilomètres au large de Shenzhen, dans la province du Guangdong, ce champ pétrolier, baptisé Huizhou 19-6, pourrait contenir jusqu’à 110 millions de tonnes de pétrole.
L’outil ressemble à une simple scie circulaire fixée à un bras articulé, mais, conçu en alliage de titane, il peut résister à la pression de profondeurs jusqu’à 4 000 mètres, soit deux fois plus bas que le plus profond des câbles sous-marins actuels. Les chercheurs d’un institut officiel chinois qui l’ont créé le présentent comme un instrument de « développement des ressources marines », mais il pourrait aussi s’avérer une arme redoutable dans une bataille de plus en plus évidente ciblant les câbles optiques posés au fond des océans.
La Chine a développé un appareil permettant de couper les câbles de communication en haute mer. Le dispositif a été mis au point par un centre de recherche scientifique maritime et un institut s’occupant de navires sous-marins habités ou non, rapporte entre autres le journal anglophone South China Morning Post (SCMP). L’appareil pourrait mettre hors service des câbles de communication hautement sécurisés jusqu’à une profondeur de quatre kilomètres. C’est-à-dire la quasi-totalité des câbles existants dans les fonds marins.
Le Royaume-Uni et la Norvège, deux pays aux liens énergétiques très étroits, vont, face à la menace russe, accroître leur coopération dans la protection des infrastructures sous-marines, a annoncé jeudi le ministre norvégien de la Défense.Cette annonce est survenue dans le cadre d'une visite de deux jours du ministre britannique de la Défense, John Healey, dans le nord de la Norvège, à l'heure où les propos de Donald Trump font craindre un désengagement militaire américain d'Europe.
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