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Lancée dans une course à l’IA impliquant l’expansion des centres de données, l’industrie du numérique commence à jeter son dévolu sur cette source d’énergie dont le caractère « vert » est sujet à caution.
La Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par les Etats-Unis et Israël, va laisser ses centres fermés mercredi dans le territoire palestinien assiégé par la guerre après plusieurs scènes chaotiques marquées par des dizaines de morts en marge de ses distributions.
Risque pour la transition énergétique, adaptabilité du réseau électrique, enjeu de souveraineté… L’essor des centres de données pose de nombreux défis.
Le projet du fonds canadien Brookfield à Cambrai, dans le Nord, vise à créer un data center consommant l’équivalent de la production d’un réacteur nucléaire.
En 2024, les centres de données belges ont consommé 3,2 TWh, ce qui correspond à 4% de la consommation belge totale d'électricité, alors que la moyenne européenne se situe autour des 2%. Selon un rapport du Boston Consulting Group (BCG) que L'Echo relaie samedi, cette consommation va être multipliée a minima par trois dans les dix prochaines années. En 2035, les data centers consommeront ainsi 10% de l'électricité belge.
« Rediriger l'énergie non utilisée » L'IA générative requiert une puissance de calcul colossale pour traiter l'information accumulée dans de gigantesques bases de données et a fait bondir la demande mondiale en énergie. Bien que le Pakistan ait une puissance installée de quelque 45 000 mégawatts, ses besoins ne dépassent guère 30 000 mégawatts en été, selon l'Institut de l'économie du développement du Pakistan, et le gouvernement doit payer aux fournisseurs d'énergie indépendants sa capacité non utilisée.
Depuis, quelques années, les data centers sont au cœur d’une polémique environnementale, notamment en raison de leur côté énergivore. Et s’il était possible de les envoyer dans l’espace ? Justement, la société Latitude désire y parvenir en soutenant le projet d’une société basée aux Émirats Arabes Unis.
Deux entreprises concurrentes ont développé des systèmes optiques prometteurs pour parvenir à réduire la consommation électrique des data centers.
Dernièrement, un collectif d’investigation sur le changement climatique et un célèbre quotidien britannique ont mené une enquête. Selon ces travaux, Amazon, Google et Microsoft continuent de construire des data centers et ce, dans des régions déjà très impactées par la sécheresse.
Les opérateurs télécoms et les centres de données, régulièrement pointés du doigt pour leur impact environnemental, ont vu leurs émissions de gaz à effet de serre à nouveau progresser en 2023 en France, d'après une enquête de l'Autorité de régulation du secteur publiée jeudi. Les émissions venant des opérateurs Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free ont atteint 397.000 tonnes d'équivalent CO2, en augmentation de 4% sur un an, a précisé l'Arcep, soit l'équivalent de 225 vols aller-retour entre Paris et New York. La même année, les émissions de gaz à effet de serre avaient au total diminué de 5,8% en France.
Jusqu’à la dernière goutte. D'après une enquête menée conjointement par SourceMaterial et le Guardian, Microsoft, Amazon et Google n’hésiteraient pas à construire de nouveaux datacenters dans des régions déjà frappées par la sécheresse dans le monde.
A cette échéance, les data centers nécessiteront un peu moins de 3 % de l’électricité mondiale, « soit la consommation totale d’électricité du Japon aujourd’hui », précise le rapport. Portée par l’essor de l’intelligence artificielle (IA), la consommation d’électricité des centres de données devrait « plus que doubler » d’ici à 2030, un défi pour la sécurité énergétique et un facteur de hausse des émissions de CO2, selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) publié jeudi 10 avril.
Dopée par l'intelligence artificielle, la consommation d'électricité des centres de données devrait "plus que doubler" d'ici 2030, un défi pour la sécurité énergétique et un facteur de hausse des émissions de CO2, selon un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) publié jeudi.Consulter le rapport Energy and AI (Agence internationale de l'énergie, avril 2025)
Un immense gâchis. Des millions de logements pourraient être chauffés grâce à la chaleur des centres de données gigantesques qui se multiplient. Mais faute de volonté politique, tout reste à faire.
Le secteur de l'électricité en opération séduction: à l'occasion du sommet de l'intelligence artificielle (IA) à Paris, le groupe électricien français EDF et le gestionnaire du réseau haute tension RTE ont dévoilé leurs offres pour attirer sur le territoire national des centres de données, très gourmands en énergie.Le gouvernement a dévoilé la carte des régions avec les 35 sites "prêts à l'emploi" qui pourront accueillir les centres de données dédiés à l'IA, ces gigantesques bâtiments qui stockent les données et fournissent les énormes capacités de calcul requises par l'IA.
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